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| Athanor
17/8/2007
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ah.. l'absence...
Malgré le thème, très souvent travaillé, c'est un joli poème qui exprime bien la profondeur des sentiments. "...Tu es la gardienne de mon bonheur..." Quelle belle image ! Cependant, j'aurais aimé un vocabulaire plus soutenu. Les vers 11 et 12 sont un peu lourds (ça n'engage que moi). Enfin, peut-être serait-il intéressant de limiter le terme "tu me manques" que l'on retrouve tous les deux vers -sans doute l'auteur y a-t-il déjà pensé- et incorporer des mots un peu plus forts, passionnés. |
| Cyberalx
13/7/2008
a aimé ce texte
Pas
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Ce que j'aime dans la poésie : c'est qu'on peut pratiquement tout faire, tout dire et ce, de façon originale, là, je trouve que certaines phrases ne sont là que pour la rime : "tu me manque, je te le dis sans détours", ça ne veut rien dire, je crois :
Une fille me manque. Je le lui dit sans détours. Parce que quand même, "Tu me manque", c'est pas très méchant et je te le dit sans détours, c'est plutôt pour dire un truc violent, non ? |
| Couette
27/9/2007
a aimé ce texte
Pas ↑
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Même s'il y a des erreurs de prosodie cet amour déçu t'a inspiré(e) et avoir transcrit cette douleur en vers t'a soulage(e) c'est l'essentiel! amitiés!
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| Anonyme
27/9/2007
a aimé ce texte
Un peu ↑
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une visite d'un coeur bléssé qui s'exprime pudiquement avec émotion
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| guanaco
1/10/2007
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Le message est clair mais il se noie dans des lieux communs. Dommage.
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| lotus
27/12/2007
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Le manque est un sentiment qui "déchire" et si le style est bon, j'aurais chosisi personnellement des mots plus forts mais c'est bien rédigé .
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| lotus
27/12/2007
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Pardon pour la faute de frappe(dans mon mail précédent) que je m'empresse de corriger:j'aurais choisi...
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| Anonyme
29/4/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il serait bien difficile de ne pas saisir le sens profond de votre écrit, mais c'est bien dommage ce "tu me manques" toutes les deux lignes, cela n'apporte rien de plus au texte, bien au contraire il l'alourdit et le rend ennuyeux à force. On sent à cette manière de faire, que cela en devient pour vous une obsession, maladive plutôt un véritable "manque". Vous avez en procédant ainsi occulté la teneur des mots qui suivent et qui auraient à eux seuls suffi à étayer la sincérité de ce "manque" légitime.
Pour cette raison je n'ai pas ressenti d'émotion à la lecture de cet écrit, je suis restée en retrait. |
