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Poésie libre
Mandragore : Les songes de Morphée
 Publié le 01/08/21  -  4 commentaires  -  892 caractères  -  179 lectures    Autres textes du même auteur


Les songes de Morphée



Éternelles déesses
Indomptables princesses
Belles et rebelles
Les cheveux au vent
Nous ensorcellent
Dans leur tour d'argent
La tête dans les nuages
Leurs pensées tournées vers le rivage

Dans ce ciel magnifié
Le soleil blanc de Cassiopée
Répand sa douce chaleur d'été
Et déverse sa lumière

Mi-magiciennes mi-sorcières
Si libres, si fières
Envoûteuses dans leurs robes de pétales
Brillent comme des papillons de cristal

Sous une myriade de pluies d'étoiles
De l'autre côté du voile
Nous envoûte le chant des cygnes
Aussi vaporeux que leurs plumes
Glissant sur le royaume des écumes
Attendant le signe

Dans les songes de Morphée
Les anges veillent sur le sommeil des Fées
Et font ruisseler la poussière de Lune
Dormez petites nymphes brunes


 
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   papipoete   
1/8/2021
 a aimé ce texte 
Beaucoup
bonjour Mandragore
Morphée ici, fait la part belle aux rêves merveilleux, peuplés de fées avec leurs anges-gardiens, nous assurant d'un sommeil tranquille, au point d'être si déçu de se réveiller !
Dans ce monde de la nuit, où tout n'est que douceur et tranquillité, les étoiles scintillent de tous leurs éclats, telle boule en discothèque, et l'on slow sur la piste avec la reine de la soirée...
NB idyllique poème dont le scénario ne se joue qu'en rêve ; on aimerait bien qu'il fût reflet d'un jour ; mais bien que la vie en vrai, puisse en prendre la teinte, trop de malheurs, et le mauvais oeil sont là pour nous remettre les pieds sur terre !
Je vois que votre texte ne reçut aucun commentaire en lecture aveugle... le comité d'édition lui, fut séduit ; tant mieux pour Vous... et nous lecteurs !
L'avant-dernière strophe est un bouquet de douceur.
à la dernière seconde, pas moyen d'envoyer !
5, 6, 7, 8 fois !

   Anonyme   
1/8/2021
Il ne serait sans doute pas inutile de connaître l'âge de l'auteur pour lui donner des conseils d'écriture et lui proposer quelque lecture qui pourrait étoffer son arsenal de beautés, lui offrir de jouer sur plus de contrastes, lui suggérer un élargissement de sa palette par des nuances plus ombreuses, subtiles, étranges, dures, coriaces, infernales peut-être ; cette éternelle beauté de la femme réduite à la contemplation des poètes a pourtant l'air très datée.
Je proposerais bien à l'auteur de ces vers de se lancer directement à la recherche esthétique d'un auteur comme Lautréamont, mais le choc pourrait être des plus vains, et peut-être l'a-t-il déjà lu sans en saisir les délices délirantes, ou sans s'en soucier pour ce texte (ni le précédent) ; cela dit, je ne peux m'empêcher de lire ces mots comme une accumulation de belles images, très peu antithétiques, dans le sens d'une blancheur idéalisée et éthérée, d'une pureté virginale plutôt fade, dont beaucoup ont rêvé dans leur jeunesse bien malheureusement pour le monde et la passion.
S'il fallait être ironique, je dirais qu'il manque de la chantilly et du sucre glace, quelques flocons de neige, de libres hirondelles et les colombes de la paix, sous le regard d'un ange malheureux dont la larme d'or tomberait sur une chevelure d'ambre.

N'hésitez pas à me contacter si vous désirez échanger ou que je retire ce commentaire que je prendrais plaisir à supprimer,

Bien à vous.

   Provencao   
1/8/2021
 a aimé ce texte 
Beaucoup
J'ai bien aimé cette structure magicée presque sorcière, à cet écrit envouteur, que l'espace d'un instant infini d' immortalité, de pérennité presque intemporel s'abandonnent .

Votre écrit est en chemin, entre la chaleur d'été et la poussière de lune ...

Au plaisir de vous lire
Cordialement

   Raoul   
14/8/2021
Bonjour,
Désolé,mais je me suis beaucoup ennuyé à la lecture. C'est un enchaînement d'images très (trop) typées fantaisy et stéréotypées qui donnent au final un texte froid et sans incarnation. Manque l'originalité qui fait que le lecteur se sente impliqué dans ce qu'il lit.
Le travaille de la langue n'aide pas, il est trop imprécis pour être évocateur. Le texte se contente de dire plutôt que d'évoquer ce qui fait qu'on reste en dehors du texte - par exemple " mi-magiciennes ,mi-sorcières" est trop général, alors que l'une aurait été une babayaga on situerait l'ensemble du texte dans un lieu géographique et pourtant relativement étrange - .
Pour moi ce poème n'est pas assez habité, pas assez personnel.
Sur un autre texte, certainement...


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