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| Curwwod  21/6/2018  a aimé ce texte  Bien | Il y a là un mouvement saccadé évocateur du déchainement des corps et globalement une évocation de l'agitation et de la folie d'une fête débridée. "les yeux verts et la peau brune serpent mange-lune"... me font penser à une Esméralda en transes. Je suis moins convaincus par d'autres passages et les calembours un peu faciles, mais vous avez vos raisons. | 
| Lulu  30/6/2018  a aimé ce texte  Un peu | Bonjour Mattirock, J'ai trouvé ce texte intéressant pour sa dynamique. J'ai notamment aimé les quatrième et cinquième strophe que je trouve plus vives que les autres, même si l'on peut se représenter un ensemble car c'est très évocateur. Je n'ai pas aimé ceci : "danse, dense", d'autant que c'est répété. J'ai aimé la sonorité, l'appel à la danse, mais le second terme "dense" ne m'a pas plu car je ne l'ai pas saisi ici. "densité" serait peut-être mieux passé ? Je ne sais. Enfin, je n'ai pas du tout aimé le long vers de la troisième strophe. Je trouve qu'il n'apporte rien, ni au contenu, ni dans la forme. Bonne continuation. | 
| Anonyme  30/6/2018  a aimé ce texte  Pas | Bonjour, Mon impression sur votre texte est simple. Si je n'avais pas été informée sur le sujet, j'aurais été bien incapable de me faire même ma propre idée de savoir de quoi vous parlez. | 
| papipoete  30/6/2018  a aimé ce texte  Pas | bonjour mattirock il m'est arrivé de faire une fête " débridée ", mais les " blanc-limé " effaçèrent le déroulé du programme ! Ce que vous narrez en bribes de phrases, relate peut-être le scénario d'une nouba ? Je pense néanmoins, que le héros était un brin illuminé ! | 
| Anonyme  30/6/2018  a aimé ce texte  Pas | Je trouve ces souvenirs de fête du narrateur relatés de façon assez sybilline, pour le lecteur lambda que je suis. Les jeux de mots du troisième vers ne m'ont pas convaicu. De même que " les vaisseaux sans gain " (?) Malgré trois lectures, ce texte n'a pas suscité d'intérêt pour moi. A vous lire une prochaine fois. | 
| leni  1/7/2018 | Modéré : commentaire trop peu argumenté. | 
| Donaldo75  1/7/2018  a aimé ce texte  Beaucoup | Bonjour mattirock, En lisant ce poème, je me suis dit: "elle a du être arrosée cette fiesta !". Et encore, quand je dis arrosée, c'est par respect pour celles et ceux qui ne connaissent pas les substances lysergiques dont beaucoup de fêtes sont pourvues. Parce qu'au final, c'est à ça que j'ai pensé, une forme poétique de prise d'envol dans une trance magnétique où les zéros et les uns deviennent une seule entité, mouvante, colorée, sonore. C'est réussi. Bravo ! Don | 
| jude-anne  1/7/2018  a aimé ce texte  Beaucoup | Bonjour Mattyrock, Jolie clin d’œil à la saison des festivals qui bat son plein. Perso, j'ai été transporté au Hellfest mais le rythme de votre poème semble plutôt mimer la musique des raves... Tout comme cette lumière violette et ses éclairs qui semble transpercer la nuit noire des campagnes désertes. Bien joué ! On s'y croirait. Vraiment réussi ce poème. | 
| Anonyme  15/7/2018  a aimé ce texte  Beaucoup ↑ | Bonjour mattirock,  Un titre que je trouve fabuleux. Ensuite un texte très moderne avec une recherche sur les sons et les sens qui me ravit. Un sujet, que je ne saisis pas entièrement mais qui laisse tant de place à l'imaginaire que je peux me l'approprier comme j'aime. Tour à tour et dans le désordre, j'ai vu l'Afrique, une piste de danse, un corps à corps amoureux, une création du Monde, sa fin. M'a fait penser à certains poèmes de Jean Vasca, que j'apprécie tant. Bravo et merci du partage, Éclaircie | 


 
  
											 

