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Poésie libre
MCEBonte : Larmes
 Publié le 04/11/17  -  10 commentaires  -  323 caractères  -  237 lectures    Autres textes du même auteur

Je ne sais pas comment résumer le poème. Désolé.


Larmes



Quelques larmes… Il prit son arme
Puis la porte, au nom de la paix.
Quelques affaires… Quelques portraits…
Seuls restes d’une époque morte.

Quelques larmes du jour au soir.
Quelques lettres passent la porte,
Puis les fentes, au nom de l’espoir.
Lettres et mots : un corps. Sans âme.


 
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   Anonyme   
4/11/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour,
Et bien moi aussi, je ne sais comment commenter votre poème.
J'y vois bien néanmoins quelques images. Le gars qui prend les armes après avoir versé des larmes, qui tourne la page de son existence pour régler un compte, ailleurs.
C'est comme ça qu'ont été manipulées les populations de toutes les nations du monde, de tout temps. Larmes riment avec armes. Et cela continue aujourd'hui.
Votre poème ne dit rien de plus. C'est dommage. Il aurait pu changer un peu le cours de cette manipulation ancestrale, œil pour œil, dent pour dent, étant un rien ringard.
Désolé.

PS/ il y a bien cette solution...https://youtu.be/gjndTXyk3mw

   papipoete   
4/11/2017
 a aimé ce texte 
Pas
bonjour MCEBonte,
pas facile votre pseudo !
Un texte libre et très court, qui résume selon l'auteur quelque chose ( à pleurer quoi qu'il en soit ) dont la trame m'échappe !
NB je comprends qu'il s'agit de tristesse, de désespoir .

   Anonyme   
4/11/2017
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Ce texte aurait mérité quelques vers de plus afin de cerner un peu mieux l'idée que vous tentez d'exprimer ; dommage.

Pour ma part, j'y vois un homme parti combattre.
Cette époque a-t-elle brisé un amour, dont il ne reste que " quelques larmes du jour au soir " et des lettres qu'il envoie ; pour garder l'espoir...

   Anonyme   
4/11/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
Il serait fort qu'une larme sous ce temps gris retienne mon attention.
La vôtre, devant mes yeux, passe inaperçue.
Il lui manque du volume, de l'ampleur et je ne sais quoi de beauté qui puisse la différencier.
j'en suis sûr, l'envie est là, la brièveté le montre où l'on voudrait tout dire.
Il me manque les clefs des portes que vous voulez que j'ouvre, moi ou autre lecteur.
Cette tentative poétique, même si je sens derrière des influx, ne me convainc que modérément.
Merci à vous

   Marite   
4/11/2017
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
Le premier quatrain évoque, pour moi, la scène d'un départ, douloureux.
Par contre la seconde strophe est assez hermétique et mériterait d'être retravaillée dans la forme et dans le fond car c'est un peu difficile de saisir ce que l'auteur a souhaité transmettre.
J'aurais été plus sensible à une mise en forme différente :
Quelques larmes…
Il prit son arme puis la porte,
Au nom de la paix.

Quelques affaires…
Quelques portraits…
Seuls restes d’une époque morte.

Les vers libres peuvent être réellement "libres" sans règle de rimes obligatoires, c'est l'émotion transmise et à transmettre qui commande l'écriture ... enfin, c'est ainsi que je les conçois et les apprécie.

   Anonyme   
4/11/2017
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Autant j'ai aimé la première strophe mais la deuxième me semble un peu redondante et sans doute mal formulée.
"Quelques lettres passent la porte/puis les fentes" par ex
La répétition du mot - Quelques - qui alourdit un texte aussi court.
C'est dommage car autrement il y a malgré cela un petit quelque chose qui pourrait me plaire. J'image un type qui part régler un compte. Avec qui ? Peut-être avec lui même mais on ne le saura pas.
L'auteur lui même le sait-il ?

   Anonyme   
4/11/2017
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
Parfois j'aime ces poèmes qui me laissent toute latitude.
Il laisse planer un mystère comme d'ailleurs chacun
en dissimule dans sa propre vie.

Il y a des douleurs profondes qui se terrent au fond
de nous, ici elles vont crescendo, et c'est ce qui me trouble,
me bouleverse, car on ne peut rien faire face à tel dénouement,
seulement le constater, le ressentir, et s'en imprégner.
Et espérer des jours meilleurs ...

J'aime ici le fond autant que la forme, parce que je suis
poussé dans l'étrangeté, de mots parlants muets.

"Les larmes" ont toujours une bonne raison de s'exprimer.

   Brume   
5/11/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour MCEBonte

Ce que je comprends de votre poème c'est qu'il s'agit d'une mère ou d'une épouse pleurant son fils ou son homme mort au combat.
Le sujet m'aurait peut-être touchée si je n'avais trébuché sur plusieurs passages. Les nombreux "quelques" appuient un peu trop sur ce chagrin, ça manque de délicatesse. Et j'ai du mal avec certaines expressions comme :
- " Seuls restes d'une époque morte" ou " Quelques larmes du jour au soir" que je trouve lourdes à la lecture.

Mais malgré tout il y a de l'émotion, la tristesse plane à chaque lignes. Et la ponctuation, expression muette, met bien en valeur cette émotion.

   Anonyme   
5/11/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Beaucoup d'émotion (malgré un zeugma qui rend ce départ presque comique).

J'aime ce pas cadencé bien rendu à la fois par la répétition de "quelques" et par l'accumulation de bribes : la mort est là avant le départ.

Une chute brutale qui saisit.

   Gabrielle   
20/6/2018
 a aimé ce texte 
Bien
Ce poème est marqué par l'omniprésence de la mort.

Le départ renvoie à une"époque morte" et l'absence à "un corps"... "sans âme".

Cela donne un effet "poignant" au texte ressenti à la lecture de l'ensemble.

Merci à vous.

Bonne continuation.



G. Michel


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