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|     Anonyme   
		    21/7/2008 
		
		 a aimé ce texte  
	Un peu 
	
		          
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             Melenea 
          On oublie souvent que la poésie est un chant, une musique. Bien sûr le sens et ce que l'on a à dire.. mais ce n'est pas suffisant. Allitérations, assonances et dissonances..ici restent pauvres pour la musique. Pauvre également la mesure de la partition..Il faut clamer le texte, toujours. Or ici pauvreté encore des accents syllabiques... Je vois aussi quelques erreurs de mètre (par bien grave en soi, mais qui dénote un non maîtrise) Le lecteur ordinaire pense souvent qu'en poésie la maîtrise est impossible. Quelle erreur ! Non seulement elle est POSSIBLE mais NECESSAIRE aussi. L'auteur ordinaire, se laisse aller à ces élans à ces EMOIS. C'est banal, courant... Le poète, lui, sort de cette banalité je ne sais pas par quelle magie. Ceci dit je salue tout de même ce poème que j'aime bien sûr... Certes si la poésie joue sur le sensible elle n'en est pas moins dénuée de règles (Attention aux règles ! Les connaître pour les transgresser: c'est la loi du genre..). On est tous tenté de dire 'J'aime' ou 'j'aime pas'...sur mode d'indifférence, sans savoir, sans avoir appris. Intelligentia disaient les latins.. Moi j'aime pas Hugo mais je reconnais son génie.. Tu vois. Alors je dépasse un peu ce mode un peu trop banal. On est tous des poètes bien sûr.. :D Oui, mais encore *sourire*  | 
        
|     mimich   
		    22/7/2008 
	
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             J'approuve pleinement les commentaires d'Emrys et puisque je ne saurais mieux dire, les miens s'arrêteront là. 
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|     Anonyme   
		    23/7/2008 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
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             Ha, oui... Ben moi je commente avec mon émoi justement...  
          Bon, la dernière strophe est ma préférée, de loin. C'est vrai qu'il y a quelques banalités comme "au milieu de nulle part", "départ d'un voyage sur le quai d'une gare", "aucune lueur ne perce le noir", "désert sentimental"... Mais dans l'ensemble j'ai aimé la sincérité qui se dégage de ce texte et je l'ai trouvé assez fluide pour ma part.  | 
        
|     David   
		    24/7/2008 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour Melenea, 
          J'ai beaucoup aimé les deux vers de la fin, ça me revient régulièrement mais je me suis encore rappelé à cette occasion ces vers du cyborg dans Blade Runner : "mes mots se perdront dans la nuit Comme des larmes sous la pluie" Pour les poèmes trés humains  | 
        
|     FABIO   
		    12/8/2008 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Je ne suis pas un dieu en formules poétiques, je suis un petit amateur 
          de jolies textes en rimes et celui ci dégage une émotion qui m interpelle particulièrement. Le sentiment de solitude et de manque affectif et si bien écrit bravo  | 
        
|     marogne   
		    14/9/2008 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Mes coups de coeur: 
          "Fracasser le mur de glace au pic nu des mots" et "Pour se couper à un un sourire en renouveau" ainsi que la fin les "chants au fusain". Une bien douce évocation de la solitude, et des espoirs parfois vains et douloureux de la vaincre. encore une fois je suis "fana" des vers de melenea; un regret peut être, ces vers sont universels, amors pourquoi les rendre "féminins exclusivement"?  | 
        
|     Anonyme   
		    25/6/2017 
		
		 a aimé ce texte  
	Pas 
	
		          
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             Ce qui est le principal défaut de votre poésie, c'est qu'elle est faite tout d'un même registre. 
          D'un poème à l'autre, la même structure poétique installe une certaine platitude. Vos mots ne sont absolument pas mis en valeur,. De ce fait, les mots ne font que passer ne m'apportant aucune émotion, il manque de "chaleur humaine". Vos mots me vous les exposez plus que vous ne me les faites partager. Comme dans cette strophe : " Rugir à la lune, pieds sur le macadam Préserver les braises pour élever la flamme Chasser les ombres sèches pesant sur les heures La tourmente des absences opprime le cœur Et creuse son trou dans ma chair avec dédain Pour tracer, solitaire, mes chants au fusain…" Tous ces mots me laissent à distance.  | 
        


 

