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Lebarde
10/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Le « pain » est, qu’il soit « blanc » ou gris,
Depuis Ramsès, « source de vie «. Jeter un « crouton » ou « la mie » … Jamais ! C’est ce qu’on m’a appris. « Aujourd’hui » le « pain « ordinaire Ou trop mou, dur ou bien trop sec Ne convient guère qu’au gros-bec ; Sans faim, il n’a plus l’heur de plaire. « Bel épi », un joli poème, Huit syllabes à tous les vers. Je lis et rien n’est à l’envers. Belle écriture, bravo…j’aime. |
Vincent
18/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour papipete
Sauf pour tous les affamés et il y en a de plus en plus Ceux qui mangent les dates dépassées des super marchés etc etc Mais je m'égare, revenons à votre texte et d'ailleurs pour être honnête vous en parlez dans votre intro Il est très poétique et après tout c'est le principal... Avec les métaphores adéquates et une belle écriture Donc ça m'a plu |
Mokhtar
18/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Moi je dis « fourniiii », mais il semble que fournillll soit admis. Je m’abstiendrai donc de sortir mon fusillll, ou de rouler l’auteur dans la farine. Et d’en faire toute une tartine.
Petit poème sympathique, dénonçant ce gâchis de nourriture, qui, dans le cas du pain, est le plus symboliquement inadmissible. Énigmatique dernière strophe…Faut-il y rechercher un deuxième ou un troisième degré ? « Encore un crouton, cher Marquis ? » : cela ressemble à une citation, mais j’ai beau chercher… Merci pour ce texte apprécié…On attend celui sur la langouste. |
Robot
18/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Le pain est encore un symbole même s'il n'a plus aujourd'hui le même impact nourricier qu'il a pu avoir jusqu'à des périodes pas aussi lointaines.
Chez moi, à la sortie de la seconde guerre mondiale, il était interdit de "jeter du pain". Et je me le défends toujours. - Il y a tant de possibilités pour recycler des restes de pain - Et c'est valable pour beaucoup d'aliments que la société de consommation gaspille. On chipote sur ce pain alors que dans notre pays même certains connaissent la disette. Et dans d'autres contrées pour d'autres aliments de base la famine sévit toujours. Un poème bien rythmé en octo qui vient à juste raison nous rappeler que nous sommes des enfants gâtés. |
Boutet
18/9/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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L'homme n'est jamais content ou satisfait et ce petit poème sur le pain montre bien cette insatisfaction quasi-permanente mais d'un autre coté la qualité du pain n'est plus ce qu'elle était non plus. Les vraies boulangeries ayant plus ou moins disparues des villes.
Petit poème sans autres prétentions et tant mieux que le Nil existe. |
Annick
24/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour papipoete,
L'auteur présente le pain à la fois comme symbole sacré, nourriture essentielle pour la vie et la survie et enfin un produit banal bien qu'ancré dans la tradition. Deux époques s'opposent, le passé et le présent pour deux comportements sociaux tout en contraste également. Une différence encore : le pain noir et le pain blanc. Manger ce dernier était considéré autrefois comme une marque de raffinement et pourtant, c'est bien le premier qui recèle les précieux nutriments : Monde à l'envers pour fine bouche, C'est noir que le pain est exquis Quand le blanc reste sur la touche. « Encore un croûton cher Marquis ? » Une critique sociale sur fond d'ironie tout en restant un poème léger, fluide, agréable à lire. Un très beau final qui emporte définitivement mon adhésion. Merci ! |
Cristale
18/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Un poème bien sympathique sur cet indispensable du quotidien, surtout en France, qui accompagne nos aliments ou se grignote pour combler une petite faim.
Perso je n'ergote plus, je le fais moi-même ^^ Des octosyllabes aux rimes croustillantes pour des vers à croquer. Voilà une plume bien loin de s'encroûter. |
poldutor
18/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Pierre
Beau poème évoquant l'aliment sans doute le plus symbolique et sacré, le pain. Dieu a dit à Adam " tu gagneras ton pain à la sueur de ton front !" Oui le pain est la nourriture minimum dans l'assiette du miséreux. Mais, il est vrai que pour le pain comme pour beaucoup d'autre chose, le respect disparait On n'en jetait jamais, enfants, on nous disait : si tu manges sans pain, c'est que tu n'as plus faim... (c'était pendant et juste après la guerre !), je suis depuis un mangeur de pain invétéré... Les français en mangent de moins en moins parait-il, signe sans doute d'une aisance alimentaire... pourvu que cela dure ! Dernier quatrain plein de sagesse. Beau thème original. Cordialement. poldutor |
Cornelius
18/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour papipoète,
Un jour sans poésie est bien plus long qu'un jour sans pain. |
Provencao
18/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Vite à table Bel ami papipoete......
J'ai adoré cette source de vie ô combien agréable au toucher et au goût diversifié . Heureuse de partager avec vous, une tranche de ce succulent pain en vos vers. Bel appétit à vous. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Ascar
19/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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"manger son pain noir' : une expression qui a perdu de son sens aujourd'hui...
Poème intelligent que l'on peut extrapoler vers d'autres sujets. Beaucoup de gens vivent hors-sol... merci de ce partage croustillant |
BlaseSaintLuc
20/9/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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simplicité et la nécessité vitale du pain,importance fondamentale dans différentes cultures,Le poème critique la société contemporaine qui, malgré l’abondance, trouve toujours des raisons de se plaindre.
L’ironie est présente dans la description des préférences modernes pour le pain noir par rapport au pain blanc, et dans la question finale “Encore un croûton cher Marquis ?”, qui semble se moquer des goûts sophistiqués et des caprices des gourmets modernes. Ce poème invite à réfléchir sur notre rapport à la nourriture et sur la manière dont les valeurs et les priorités ont changé au fil du temps. Et papy fait son "beurre",avec un néo classique en octo syllabes,pas piqué des hanneton ! |
Yannblev
22/9/2024
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Bonjour Papipoète,
Ahhhhhh ! le pain ! celui qui se partage, celui qui se donne, celui qui lie les hommes et qui fait leur bonheur. Celui aussi de la discorde et celui qui pousse à la révolution quand il vient à manquer…celui qu’on associe au jeu pour calmer la foule. Celui que Dieu lui-même est censé donner chaque jour, et qu’il multiplie à l’occasion… celui qui se déguste même quand il est perdu. le pain ? une production artisanale existentielle et quasi indissociable de la condition humaine, au moins sous certaines latitudes. Elle méritait bien cette évocation poétique qui, mine de rien, comme un rappel, avec les mots qu’il faut et le rythme qui va bien, touche à l’essentiel. Merci du moment. |
Catelena
25/9/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Il y a de belles tournures dans ce Bel épi :
j'aime bien ce ''du soir qu'étouffait l'abat-jour'' et ce ''de la faim à... la fin'' qui joue avec un brin de malice sur les homophones pour donner toute sa dimension à la symbolique du pain. … Il se pare aussi d'une jolie petite musique pour nous rappeler, tant il le faut, que le pain aussi humble soit-il est indispensable à la vie. J'ai peut-être mal compris le dernier vers "Encore un croûton cher Marquis ? " qui me dit que le plus petit croûton de pain constitue la première richesse des nantis ? Tu sauras me le dire, cher Papipoète ? Merci Cat |