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|     papipoete   
		    13/7/2025 
		
		trouve l'écriture 
	très aboutie 
		et 
	aime beaucoup 
		          
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             libre 
          Voyez ce ruisseau près duquel nul ne s'arrête, comme si ce n'était qu'à moi, qu'il réserve toute son attention...en effet, près de lui je me repose et entends encore, l'écho des cris joyeux de mes petits voilà bien longtemps, et peu à peu son rythme se fait silencieux. NB pas besoin d'en dire davantage, et votre plume se fait miroir des bruits, et d'une encre bien sympathique nous dévoile ce joli coin... la première strophe ( ... aux tristes risettes ) me touche particulièrement papipoète  | 
        
|     Lebarde   
		    16/7/2025 
		
		trouve l'écriture 
	convenable 
		et 
	aime un peu 
		          
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             Je retiens de ce court poème l'évocation "bruit "/"silence "dont l'oxymore se décline sous de nombreux vocables et formules quasiment dans tous les vers: clapotis/bruit/souffle/silence/vibre/rythme silencieux/balbutiements/onde/frissonnante/écho/sans bruit. 
          L'effet est réussi. Tout cela est "susurré" créant il est vrai, une atmosphère poétique délicate et diaphane qui prend le pas sur le sens du propos. Mais tout cela est voulu et je l'accepte volontiers. En EL Lebarde  | 
        
|     Luz   
		    17/7/2025 
		
		trouve l'écriture 
	aboutie 
		et 
	aime un peu 
		          
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             Bonjour, 
          Il est question de bruit (feutré) et d’absence de bruit : « le clapotis sans bruit », « mon souffle », « un silence », « rythme silencieux », « balbutiements », « l’écho », « sans bruit »... ; la rencontre des âmes, peut-être, entre le silence et le presque bruit : vibrations et frissonnements. Cela produit quelques répétitions. Je pense bien connaître les ruisseaux, mais je n’ai jamais ressenti son clapotis sans bruit..., outre ombre, peut-être... J’ai du mal à juger, je reste dans la majorité silencieuse.  | 
        
|     Donaldo75   
		    18/7/2025 
		
		trouve l'écriture 
	aboutie 
		et 
	aime bien 
		          
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             Bonjour, 
          Pas la peine d'écrire des pages pour amener de la poésie. Ce poème respecte cet adage. Dans ma lecture, il s'immisce directement dans mon envie de lire de la poésie, soit autre chose que du (a+b) au carré décliné en métrique, en rimes et en poncifs en tous genres. J'ai été sensible à sa petite musique, si courte soit elle. Je ne dirais pas que j'ai tout compris mais vu que ce n'est pas un théorème ça ne change pas la donne ni l'impression de lecture. La matinée commence bien. Merci pour le partage.  | 
        
|     Vincent   
		    23/7/2025 
		
		trouve l'écriture 
	très aboutie 
		et 
	aime beaucoup 
		          
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             Bonjour Provencao  
          Ma grand mère disait à son mari aimant quelques temps avant sa mort "Un peu moins d'amour et plus de tranquillité", elle devait être philosophe !! Ce qui se dégage pour moi de votre beau texte c'est un désir profond de calme Et j'adhère complétement à cet horizon Merci Provencao  | 
        
|     Boutet   
		    23/7/2025 
		
		trouve l'écriture 
	aboutie 
		et 
	aime bien 
		          
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             Beaucoup de poésie dans ce petit poème même si je peine à l'interpréter correctement, n'étant pas très 
          familier des formes libérées. Un rythme silencieux s'étale éternel en balbutiements caresse l'onde à l'écume claire sous la brume frissonnante. J'aime bien ce quatrain.  | 
        
|     Damy   
		    23/7/2025 
		
		trouve l'écriture 
	très aboutie 
		et 
	aime beaucoup 
		          
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             Des vers évanescents dans l’univers unique de Provencao que j’aurais reconnue si j’avais lu « Aussi libre… » en EL. 
          La nature (clapotis, écume, brume, clair de lune…) est un refuge pour garder secrètes la nostalgie, la mélancolie ( fragile, triste), et aussi pour méditer en « silence » et en écouter « l’écho ». L’élégance des métaphores et des oxymores (euphorie aux tristes risettes), me fait lire en points de suspension délicats, « libres… et majestueux… » « Aussi libre… » m’inspire bien d’autres émotions, car il ne s’agit pas de la liberté de la raison, et vouloir l’interpréter comme je viens d’essayer de le faire est assez blasphématoire. Je ne voudrais pénétrer plus l’intimité mystique de l’auteure. J'ai rencontré une "âme".  | 
        
|     Cristale   
		    24/7/2025 
		
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	très aboutie 
		et 
	aime beaucoup 
		          
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             Bonjour Provencao, 
          La symbiose entre les chuchotis de la nature et les émotions humaines laisse entendre entre chaque mot le bruit du silence. Le bruit du souvenir, le silence de l'absence. Le hurlement étouffé d'un pourquoi sans réponse. Et la Terre continue de tourner dans un fracas d'indifférence. Ici tout se fond, se confond dans le miroir muet d'une conscience éplorée et c'est très beau, fin, délicat. Merci pour ce moment de grâce.  | 
        
|     Eskisse   
		    25/7/2025 
		
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	aboutie 
		et 
	aime un peu 
		          
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             Bonjour Provencao, 
          Je loue le fait d'écrire sur les bruits et le silence un peu à la C. Bobin. Mais j'avoue avoir, cette fois-ci, tiqué moi aussi sur le " clapotis sans bruit" que je ne connais pas. De même, l'"euphorie aux tristes risettes" ne me parle pas. Un peu honteuse de n'avoir pas su goûter le souffle offert. J'attends vos prochains poèmes.  | 
        
|     DAMEROYALE   
		    3/9/2025 
		
		trouve l'écriture 
	convenable 
		et 
	aime bien 
		          
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             C'est une douceur. Peu de mots mais fortement poétique 
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