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Poésie contemporaine
REDBUCHE : Ô ville merveilleuse
 Publié le 14/10/15  -  6 commentaires  -  705 caractères  -  177 lectures    Autres textes du même auteur

Tentation et amertume, un vendredi soir à Rio de Janeiro...


Ô ville merveilleuse



Ô ville merveilleuse
Tes quartiers de rupins
Et tes putes somptueuses
En font frémir plus d'un

Car les bouches pulpeuses
Et les belles poitrines
Font oublier la sueur
Qui nous coule à l'échine

Que de rues tapageuses
Et de regards hautains
Pour supporter le flan
De ce menu fretin

Je ne sors plus le soir
J'ai trop peur d'attraper
Une grippe d'un soir
Que j'irai regretter

À quoi bon s’émouvoir
Devant l'éclat terni
D'un sourire de strass
Ou d'un téton bruni


Mieux vaut le vieux miroir
De l'antique gaieté
Mieux vaut se laisser choir
Au ronron du foyer


 
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   Curwwod   
28/9/2015
 a aimé ce texte 
Bien
Connaissez-vous réellement Rio ? Ville de contrastes et de contradictions où la misère côtoie le luxe effréné, où le vice et la recherche du plaisir sont un baume sur la pauvreté autant que la religion. Vous privilégiez avec une certaine complaisance les aspects triviaux de ce gigantesque chaudron humain.
"Devant l'éclat terni
D'un sourire de strass
Ou d'un téton bruni"
Sans doute cela explique-t-il votre attitude à la fin du poème, cette espèce de repli sur soi, à l'abri de cette vie frévreuse, parfois malsaine, et peut-être aussi aux tentations qu'elle impose.
Est-ce la bonne solution ?
Quelques expressions un peu obscures grèvent, à mon avis, la qualité du texte.
"En font frémir plus d'un...
Pour supporter le flan
De ce menu fretin..."

   Vincendix   
30/9/2015
 a aimé ce texte 
Un peu
Tout d'abord plusieurs rimes ne "riment" pas notamment tapageuses et flans, pulpeuses et sueur, s'émouvoir et strass. D'autres sont "limite".
L'idée est bonne, pas trop mal évoquée mais j'aurais aimé ressentir un peu plus l'ambiance sonore de cette ville "merveilleuse", une ambiance qui, dans certains quartiers, se démarque des autres grandes métropoles de la planète.

   Vincent   
30/9/2015
 a aimé ce texte 
Un peu
Je ne sors plus le soir
J'ai trop peur d'attraper
Une grippe d'un soir
Que j'irai regretter

ou

À quoi bon s’émouvoir
Devant l'éclat terni
D'un sourire de strass
Ou d'un téton bruni

bonjour

j'ai tout d'abord été choqué

par la répétition du mot soir

il n'a pas lieu d'être dans votre texte

et puis vous titrez Ô ville merveilleuse

je n'ai pas eu cette impression en vous lisant

mais plutôt au contraire comme une ville repoussante

car vous terminez par

Mieux vaut se laisser choir
Au ronron du foyer

j'ai un peu aimé votre texte

   papipoete   
30/9/2015
 a aimé ce texte 
Un peu
l'histoire de ce poème est intéressante, et sa morale bien sage, quand bien même est si attirante la rue; on serait tenté d'y succomber, mais à quel prix! " Mieux vaut le miroir de l'antique gaieté..."
Hélas, la catégorie " néo-classique " n'est pas au rendez-vous!
fausses rimes (rupin/d'un, pulpeuse/sueur, tapageuse/flan, émouvoir/strass )
2 vers de 7 pieds
absence de ponctuation
Je crains qu'il vous faille revoir cela, ou paraître en catégorie " contemporain "

   Anonyme   
14/10/2015
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Pour moi, la première strophe est la meilleure. En général je n'aime pas les mots vulgaires, comme celui que vous employez dans la strophe en question. Mais là, dans ce contexte et dis comme ça, ça change tout, comme quoi...

"Ô ville merveilleuse
Tes quartiers de rupins
Et tes putes somptueuses
En font frémir plus d'un"

Cette strophe restera en moi comme une marque indélébile.

Wall-E

   ikran   
16/10/2015
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour,

j'ai bien aimé la musique de votre texte, mais suis resté de marbre face au contenu, dont j'ai peut-être mal compris l'humour, désolé. Mais enfin, la musique, j'ai aimé.


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