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Poésie libre
Robot : Inspiration
 Publié le 13/06/19  -  23 commentaires  -  676 caractères  -  314 lectures    Autres textes du même auteur


Inspiration



Les mots en repos sur la feuille fraîche
comme la rosée
fondent au soleil.
Pour les ranimer la plume légère
cherche une encre claire
entre les graviers.
Douce mélodie, encore incertaine,
sa tendre vapeur s’élève en baisers.
Ils vont s’imprimer sur le bleu du ciel
comme autant d’étoiles.

Un vent capricieux mélange les rimes ;
sur un front d’orage
dépose un brouillon.
L’ébauche de verbes en masse brumeuse
s’est accumulée
pour tomber en bruine.
L’ondée généreuse étale les vers
sur la glèbe blanche de mes cahiers,
où je les cultive au gré de la muse
venue m’inspirer.


 
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   Corto   
13/5/2019
 a aimé ce texte 
Bien
Ce poème malgré son nom a du mal à m'inspirer. On y voit quelques belles images mais d'autres me restent hermétiques.

L'intérêt de ce texte est certes de donner une sorte de 'personnalité' à l' "Inspiration", celle qu'on appelle à chaque minute.

A ce titre les trois premiers vers sont bienvenus pour nous mettre en condition. Mais la suite étonne beaucoup: "la plume légère cherche une encre claire entre les graviers."

Reconnaissons toutefois une belle ambiance insaisissable, évanescente, proche et lointaine à la fois, autour de ce thème de l' "Inspiration" qui est en soi un mystère.

On trouve ici beaucoup de références à la nature et bien peu aux sentiments et au vécu personnel.

Bizarre Bizarre...

Merci à l'auteur pour cet élan qu'on aimerait approfondir.

   embellie   
13/5/2019
 a aimé ce texte 
Passionnément
J'aime beaucoup ce poème tout en délicatesse. Il s'en dégage une douce harmonie. L'auteur mêle avec bonheur l'écriture de sa poésie et les éléments de la nature qui l'entourent, donnant naissance à des métaphores si belles que je ne saurais laquelle choisir: les mots qui fondent au soleil? la plume qui cherche une encre claire? les baisers qui s'impriment au ciel comme autant d'étoiles? le vent qui mélange les rimes, dépose un brouillon? la masse des vers qui tombe en bruine? l'ondée qui étale les vers sur les cahiers? et pour finir l'auteur "cultive ses vers au gré de sa muse". Très beau. C'est un poème assez court mais très riche en images, et un auteur qui sait parler de l'écriture avec beaucoup de talent. Une réussite.

   arigo   
14/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Il se dégage une belle atmosphère de ce poème, malgré ce "vent capricieux", malgré ce "'front d'orage". Quoi de plus normal, puisque ces perturbations sont finalement de bon augure pour votre inspiration.

J'aime beaucoup la façon dont vous avez amené ce poème. C'est très bien fait.

Une chose cependant qui me chiffonne, le vers "comme autant d'étoiles", qui à la lecture, me coupe dans mon élan, comme s'il manquait quelques pieds, ou quelque chose... Impression personnelle bien entendu.

Merci pour ce partage.

   Lebarde   
23/5/2019
 a aimé ce texte 
Un peu
La recherche de l'inspiration: sujet bateau mainte fois traité avec plus ou moins de bonheur.
Ici le résultat est à mon avis assez moyen, l'auteur faisant état d'images banales et parfois inadaptées au thème à développer.

" Les mots reposent sur la feuille branche"?
En réalité pas encore...!

"Pour les ranimer la plume légère
cherche une encre claire
entre les graviers".......Non vraiment je n'adhère pas et à la suite du poème non plus.

Comme je n'aime pas trop la poésie libre qui par ailleurs me semble un peu simpliste et sans originalité dans le choix des mots,
je manque d'enthousiasme pour apprécier.
Désolé.

   Davide   
13/6/2019
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour Robot,

Un texte qui m'a plu de par sa musicalité, avec l'usage judicieux et réussi des pentasyllabes et décasyllabes.
Un balancement systématique en 5 syllabes n'est pas facile, les poètes ou amateurs d'écriture préférant la binarité du 4/6 syllabes (ou inversement) dans les décasyllabes.

Le fond, plus élégiaque, m'a moins emporté, notamment dans la première strophe, avec des images lues et relues : "comme la rosée", "plume légère", "en baisers", "bleu du ciel" etc.

La deuxième strophe opère une alchimie plus séduisante entre poésie et nature, s'achevant sur un vrai beau moment de poésie :
"L’ondée généreuse étale les vers
sur la glèbe blanche de mes cahiers,
où je les cultive au gré de la muse
venue m’inspirer."
N'oublions pas la petite rime "m'inspirer"/'cahiers" sympathique en conclusion.

Un bien joli poème !

Merci Robot,

Davide

   senglar   
13/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour Robot,


Jolie métaphore où la poésie à la nature se confond, ce qui me change de la muse éthérée, immatérielle.

Ici la muse est rosée qui fond au soleil, elle est eau courante,
"encre claire
entre les graviers",
elle est vapeur de baisers qui s'impriment sur le ciel.

Ici le vent se fait grouillot, le texte se fait bruine, l'ondée mélange les mots à la glèbe... où le poète se sert et cultive en façonnant sous l'oeil brillant de Déméter.

Ô Nature ! Universelle Muse !


Ben... maintenant que tu as rendu visite à Robot, tu peux passer chez moi, la porte est ouverte. Mais oui, suis païen moi-aussi ; Siteplaît :)))


Senglar

   Vincent   
13/6/2019
 a aimé ce texte 
Passionnément
bonjour Robot

je suis emballé par votre texte

je viens de le lire ayant très chaud

et il m'a rafraîchi par vos mots

cette douceur qui me calme tant

merci pour ce bon moment de quiétude

   papipoete   
13/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
bonjour Robot
Il n'y a pas si longtemps 2 jours, que le soleil nous montre l'ombre, nous invite à somnoler ! Mais si la main se repose, les neurones se bousculent dans la tête endormie ; il y a là quelques mots qui semblent piaffer, et des rimes qui les interpellent " hého, vous ne pourriez pas nous employer ? allez, rassemblez vos pieds, et nous vous ferons chanter ! " Et le poète inspiré ( à l'insu de son plein gré ), émerge de sa petite nuit, prend la plume et écrit un mot...
NB qui peut encore dire que la poésie libre " c'est fastoche " ! Ici, nous avons la démonstration de la tâche ardue, que requièrent des vers débridés à qui l'on fait dire de si belles envolées " douce mélodie, encore incertaine/sa tendre vapeur s'élève en baisers " ou " l'ondée généreuse étale les vers/sur la glèbe blanche de mes cahiers "
Si ce poème est le fruit de cette " culture ", nous glanons avec bonheur la récolte !

   leni   
13/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
c'est un poème en gestation selon la méthode de l'auteur
c'est une recette poétique bien jolie

Douce mélodie, encore incertaine,
sa tendre vapeur s’élève en baisers.
Ils vont s’imprimer sur le bleu du ciel
comme autant d’étoiles.

L’ébauche de verbes en masse brumeuse
s’est accumulée
pour tomber en bruine.

et la fin

L’ondée généreuse étale les vers
sur la glèbe blanche de mes cahiers,

mais pour reussir son écrit il faut du talent CLIN d'oeil à toi AMI ROBOT LENI

   jfmoods   
13/6/2019
Le poème est composé de 2 dizains de construction identique. Dans les 2 strophes, les vers 1, 4, 7, 8, 9 sont des décasyllabes et les vers 2, 3, 5, 6, 10 des pentasyllabes. On peut remarquer quelques rimes, suffisantes et pauvres ( 2-6-8, 4-5, 15-18-20).

Le processus de l'écriture (titre : "Inspiration", "mots", "la feuille fraîche comme la rosée", "la plume légère / cherche une encre claire entre les graviers", "Ils vont s’imprimer", "mélange les rimes", "dépose un brouillon", "L’ébauche de verbes", "étale les vers / sur la glèbe blanche de mes cahiers", "au gré de la muse / venue m’inspirer") obéit à la bienveillante complicité de la nature.

À l'attente première du poète ("en repos", "fondent au soleil"), à la promesse amoureuse du verbe ("Pour les ranimer", "en baisers", "Douce mélodie, encore incertaine"), répond une évaporation de l'humidité ("sa tendre vapeur s’élève", "sur le bleu du ciel / comme autant d’étoiles", "Un vent capricieux", "sur un front d’orage", "en masse brumeuse / s’est accumulée") qui prépare une pluie comblante ("pour tomber en bruine. / L’ondée généreuse"), la récolte pleine et entière du texte ("les vers [...] je les cultive").

Merci pour ce partage !

   taha   
13/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Robot,

Faire chanter le vers libre, s'étant défait des charitables auxiliaires que sont la métrique, la césure et la rime, pour ne citer que ceux- là ; Quoique l'on en puisse penser, est chose rarissime.

Robot, vos vers chantent, un chant éthéré, ondoyant, vaguement pastoral, et ses notes paisibles s'élèvent peu à peu, pour communier à la grande berceuse, à la poésie.

Me permettrez-vous un commentaire qui va à contre-sens de ce qui se dit généralement sur le sujet ?
Au vu du rythme de ce poème, lent, langoureux, une troisième strophe, lui aurait donné, avantageusement, une plus grande amplitude.

Personnellement, j'aurais souhaité, que cette sonate des "ondées généreuses", eût un troisième mouvement.
Bien à vous, taha.

   Anonyme   
13/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
L'inspiration ; cette fée capricieuse et lunatique qui mène le poète par le bout de la plume.
Je l'ai trouvée ici traitée de façon originale.

" Les mots en repos sur la feuille fraîche " qui vont " s'imprimer sur le bleu du ciel ".Puis un vent qui mélagent les rimes et les verbes qui " tombent en bruine ". " L’ondée généreuse étale les vers ".

Et voilà que naquit une charmante poésie.

   poldutor   
14/6/2019
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour Robot
Comme j'aimerai que mes vers "fondent au soleil et vont s"imprimer sue le bleu du ciel comme autant d'étoiles" ; chez moi,
ils ont plutôt tendance à subir "Un vent capricieux (qui) mélange les rimes"
"pour tomber en bruine", chez moi plutôt en "ruine"

Poésie amusante qui montre avec humour les difficultés de rimer, difficultés que le talent surmonte.
Bravo pour ces vers "frais"

Cordialement.
poldutor

   Robot   
14/6/2019

   Vincente   
14/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Une poème comme une originale ondée lancée par un brumisateur improbable, un poète assurément. Le regard et son dévers imagé, imaginé, sont sympathiques et singuliers. Ici la liquidité de l'encre, bien que claire, produit un lettrage contrasté qui fait promenade dans les vagabondages de l'esprit en quête d'inspiration. J'ai beaucoup aimé la façon et l'intention, une variation sur un thème qui a pourtant déjà fait couler beaucoup d'encre.

Mes vers préférés :
"Les mots en repos sur la feuille fraîche
comme la rosée
fondent au soleil."

"Un vent capricieux mélange les rimes ;
sur un front d’orage
dépose un brouillon."

"L’ondée généreuse étale les vers
sur la glèbe blanche de mes cahiers,"

   Donaldo75   
14/6/2019
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour Robot,

Tu as bien réussi, dans ce poème en forme libre, à restituer la magie de l'inspiration, pour nous les auteurs amateurs - et peut-être pour ceux qui en ont fait leur métier - de poésie, un genre littéraire difficile car la panne d'idées ne peut pas être cachée derrière un artifice narratif.

Bravo !

Don

   Pouet   
14/6/2019
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Slt,

j'aime beaucoup l'entame, les trois premiers vers sont très évocateurs, doux et reposants.

Du bucolique sur papier glacé.

L'ensemble d'ailleurs laisse une impression de calme, de douceur et de légèreté, de "naturel" et non-grimé, certainement pour marquer le côté coulant et non-forcé de l'écriture "inspirée".

Pour ma part, je n'ai jamais bien compris "l'inspiration".
Nous sommes sans doute sur un "souffle retenu", un oxygène vital inhalé, une rétention de sentiments, une apnée d'onirisme, peut-être une invitation au céleste... à l'inverse de "l'expiration" qui nous renverra du côté des vers, mais des vers de terre. Il y a sûrement aussi une part d'envie, une part "d'urgence", une part d'ennui dans l'acte d'écriture, une part de nous-même qu'on cherche à enfouir ou à exposer, peut-être les deux, peut-être la même chose... Une part de narcissisme et de timidité, d'ombre et de lueur, de partage et d’égoïsme.

Voilà ce que j'ai eu envie de dire après lecture.

Un thème qui nous parlera à tous, un thème universel dans son intimité.

   hersen   
14/6/2019
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour Robot,

c'est un beau poème sur l'inspiration, sur le choix des mots, leur place,
le rythme (j'aime particulièrement le vent capricieux !)

Mais, et sans que cela n'enlève rien à la qualité de ces vers, il me manque ce qui ferait résonner le tout : comme une sorte d'obsession d'un sujet, ou d'un embryon de sujet. La raison qui pousse à courir après cette inspiration.
Mais ceci est sans doute personnel à chaque auteur. Pour ma part, jamais je ne m'installe à l'ordi en me disant, bon, de quoi je vais parler ? je m'y mets toujours avec une idée en tête qui m'a taraudée un bout de temps. Et quelquefois, les mots, quand je me mets à écrire, m'emmènent plus loin que je ne le prévoyais...

mais j'ai eu plaisir à lire tes vers sortis comme une encre claire des graviers (excellent !)

   Cristale   
14/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
J'aime, entre autres, l'image très visuelle:

"Les mots en repos sur la feuille fraîche
comme la rosée
fondent au soleil."

L'image éthérée :

"Pour les ranimer la plume légère
cherche une encre claire
entre les graviers."

L'images des doutes:

"Un vent capricieux mélange les rimes ;
sur un front d’orage
dépose un brouillon."

Et cette image presque extatique où le poème prend forme :

"L’ondée généreuse étale les vers
sur la glèbe blanche de mes cahiers,
où je les cultive au gré de la muse
venue m’inspirer."

Poésie finement écrite dont l'entrée libre ne m'a, à aucun moment, bridé ni la lecture, ni l'imaginaire.

L'inspiration, ici, est bellement exprimée.

Bravo et merci Robot !
Cristale

   Mokhtar   
15/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
L’inspiration qui tombe du ciel … serait-elle divine ? C’est l’opinion de Platon. Pardon de donner dans le pédant, mais la citation est belle, sa conclusion rappelant l’albatros…

Ici le poète se sert de l’image du cycle de l’eau, les mots s’évaporant pour retomber entre ses mains en ordre dispersé. Ne peut-on les imaginer bénis par la muse, eux qui se sont « imprimés dans le bleu du ciel » ? Eux qui, retombant, cherchent le terrain fertile auprès d’un aède au délire…inspiré.

Encore faut-il, comme ici, qu’il ait la main verte (où la main chaude…)

Et qu’il n’habite pas un de ces pays imbéciles où jamais il ne pleut…


« Tous les poètes épiques, les bons poètes, ce n'est point par un effet de l'art, mais pour être inspirés par un dieu et possédés qu'ils débitent tous ces beaux poèmes. Il en est de même des bons poètes lyriques : comme les gens en proie au délire des Corybantes n'ont pas leur raison quand ils dansent, ainsi les poètes lyriques n'ont pas leur raison quand ils composent ces beaux vers. [...] C'est chose légère que le poète, ailée, sacrée ; il n'est pas en état de créer avant d'être inspiré par un dieu, hors de lui, et n'avoir plus sa raison ; [...] par un privilège divin, chacun d'eux n'est capable de composer avec succès que dans le genre où il est poussé par la Muse : l'un dans les dithyrambes, l'autre dans les éloges ; celui-ci dans les hyporchèmes, celui-là dans l'épopée, tel autre dans les iambes ; dans le reste chacun d'eux est médiocre. » PLATON

   Lulu   
16/6/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour Robot,

Je ne suis pas fan des poèmes qui porte sur ce thème. L'inspiration, les mots… mais j'adore savoir qu'ils sont comme un passage, et un retour vers l'écriture. Et je me dis que ce texte est comme ça, un exercice qui nous conduira à te lire davantage !

Cela dit, indépendamment du thème, j'ai beaucoup aimé ce poème. Il y a un rythme intéressant, et cela compte beaucoup dans l'émotion suggérée.

J'aurais juste mis une virgule au quatrième vers, après "Pour les ranimer". J'ai l'impression qu'elle s'impose, et qu'elle ne briserait pas la fluidité du vers.

La feuille fraîche, la rosée, les graviers pour aller jusqu'aux étoiles m'ont semblé être une belle ascension, et une belle image globale de l'inspiration.

Puis, moi qui adore la bruine, j'ai trouvé très beau ce passage du travail laborieux faite sur le brouillon.

En fait, pour un texte sur ce thème que je ne trouve pas génial, tu as dépassé mon attente, et cela de façon positive et j'en suis ravie.

Bonne continuation, et au plaisir de te relire.

   Anonyme   
17/6/2019
 a aimé ce texte 
Bien ↑
"La feuille est fraîche et le vent capricieux... "
Et la muse, papillon virevoltant s'amuse du poète qui veut retrouver ses rimes.

Pour connaître d'autres affres, j'ai l'impression qu'avec vous, tout se passe en douceur "sa tendre vapeur s’élève en baisers.", comme une goulée d'air frais, et que malgré les verbes embrouillonnés "l'ondée est généreuse"

En tout cas, c'est ainsi que je déguste, et c'est bien agréable.

Merci Robot.
A vous relire


Cat

   STEPHANIE90   
18/6/2019
 a aimé ce texte 
Passionnément
Bonsoir Robot,

vous avez vraiment été inspiré pour cette poésie ! Moi qui adore la nature, vous m'emportez avec votre plume légère qui cherche une encre claire entre les graviers pour ranimer vos mots au repos. Je me laisse donc porter par cette mélodie qui s'élève en baisers qui s'impriment comme les étoiles sur le bleu du ciel.

Si c'est pas beau ça, j'y connais rien. Alors juste un grand merci pour ce beau partage, mais l'ondée a été généreuse...

StéphaNIe


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