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Provencao
20/7/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour saintsorlin,
J'ai bien aimé cette soif de sens et d'amour qui sont exacerbés à l’adolescence. Mais si cette soif de sens est une quête, quelle percée affecter pour la rencontrer et la découvrir? "Ce n’est pas de ma faute c’est l’autre moi celle qui est partie lundi matin te laissant seule une dernière fois" Mon passage préféré. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
papipoete
20/7/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour saintsorlin
- maman, comment tu m'as fait, j'suis pas beau...allo maman bobo me vient alors à vous lire ; mais ce passage à l'âge supérieur, peut rendre aussi joli, quand la nature vous a constellé d'acné par exemple ? NB mais ici, pas de considération esthétique, mais plutôt le corps d'une autre, qui chasse de son for intérieur, la fillette éperdue d'amour pour sa mère... des moments, que parent on a grand mal aussi à traverser - pourquoi tu me parles comme ça ? dis, pourquoi ? - ce n'est pas moi, c'est l'autre... l'ultime strophe est particulièrement douloureuse PS à la seconde strophe, ne faut-il pas écrire : ... mais refuse ( s ) ? |
Lebarde
21/7/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Difficile au passage à l'adolescence, de voir son corps changer, prendre de nouvelles formes qu'on accepte pas toujours facilement et auxquelles il faut s'habituer, de vivre de nouvelles sensations et pulsions et d'attraper le regard des autres sans honte.
"Parle-moi mon corps change Tu le vois mais refuse le départ de l’enfance offre-moi une chance" "Je ne veux plus de ce corps il n’est pas le mien" Le sujet sans être orignal n'est pas souvent abordé et vous le traitez avec la pudeur, la sensibilité et le sérieux qui convient. Bien sûr il y a la forme dont la ponctuation minimaliste et l'utilisation aléatoire des majuscules me gênent un peu et fait hésiter sur l’accord des verbes, mais rien de choquant en libre et cela ne concerne que moi. cordialement |
Volontaire
31/7/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Ce poème me touche, notamment la dernière strophe, où le sentiment de la faute brise l'identité, comme si on devenait multiple pour ne pas être exclusivement celle qui trahit. La présence d'une interlocutrice muette dans la narration m'interpelle. On dirait autant une forme de dialogue mental, comme on en voit souvent dans les films, qu'un début de lettre, voire de conversation (qui ne tarderait pas à une devenir une foutue dispute). Cette incertitude renforce l'impression d'entre-deux, de passage, entre les pensées et les paroles, l'adolescente choisissant ici le silence tout en semblant se rapprocher sans cesse de la prise de parole. C'est comme une petite vibration à chaque fois que les mots manquent tomber. Merci pour ce partage :) Bonne journée |
DAMEROYALE
7/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai ressenti la quête de l'affection, le désir de l'acceptation. C'est un cri de cœur audible.
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