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Poésie contemporaine
Seuilement : "Poème"
 Publié le 04/02/17  -  17 commentaires  -  17610 caractères  -  162 lectures    Autres textes du même auteur

Poème en monosyllabes.
Nées-en-moins, se rencontreront quelques entorses, clandestines compagnes des longs cheminements.


"Poème"



// Que nous, cinq-mâts paumé, blanchissant devant le déferlement, plongeâmes ainsi qu’une ancre follement assoiffée dont les mailles geôlières ne sont capables, en mesure, de rivaliser avec la résistance liquide, au sein du sillage de papillon ordonnant le chaos, élargit le vague creux en versant, l’approfondit en abîme, et en accentua l’écume !
L’ayant emprunté, rendons-le, avec intérêt, à non-terme…

Que nous, binôme de piles, chevauchant sans relâche rive et courant, atterrâmes dans un flot de foulées sur la plante emplie de durillons complexifiant l’extraction du nectar qu’entame, en vers et avec tout, pour tant, la trompe comme électrifiée à l’effet à la fois aimant et répulsif, décupla l’aspiration à la veine !
Que soit relevé, de la langue, le sucement du sang…

Que nous, pavillon d’os, mutinant toutes les directions, cinglant tous les horizons, accostâmes l’aile zébrée que traverse un corps et qui de ses battements mène la feuille vers la fleur, par la brèche ponctuée en bouquet de pétales, égaya les écailles d’un irisement inégal et d’implexité diffuse et lucide fantasmant l’absence, par l’excès !
Dans le volatile se cache l’humain créateur… //




Soi, moi et lui, peut l’être,
si, suis fils gris des lettres…

***

***

…car seul l’est ce qui est
et fut noir sur blanc fait.

***

Mais rien’est ce qu’il’est
sans les six qui l’ont fait,
et les six qui le font.
Ce fond où tant se fond.

***

Tant et tant de lieux, d’ans,
que la voie d’un mur autre
se plaint – un pont, mol outre,
tout à coup meut les dents ;

peu à peu, plie le plan,
et la voix d’un terme autre,
raz, vainc, se forme en l’outre :
roue, d’un cours, le neuf blanc !

***

Vieux chœur aux voix de mains,
drains en ce très bas-fond,
à vau-l’eau, proue de clue,
clan, gang, que ceint le cant,

sur ce ring de chaux mat,
fjord plat que le zef tord,
peau de lait, par le rif,
luit un bleu – oh la baffe ! –,

le tien !, coach, qui point, prie,
prend son bain dans le bief
ou sue en vrac au taf
– bic à brac ou à script !

***

Or à l’hoir que glue lest
zain, saur est le broc bu,
qu’il boit ! ; l’ard ce grief jus,
miel ou pus – que laid reste…

***

Où gît-il, en un laps,
qui sous les six d’hui, legs
vifs, rais ou dards peints, bègue
– un net frein –, le feu cap ?

Quand dort-il, en un site,
où se put sire ou serf,
bourgs, vaux, oc, oïl, hun, picte,
– trou sans fond – le mort hier ?

***

Sioux que la faux a pris,
toi, plat du bec à freux,
te fais tel le foie preux,
sain toast en la poix frit !

***

Corps vil et snob sans poche
ni piètre axe ou nœud moche.
Prêt, droit, fier, tronc, de jonc,
pal, hast, loin de son rond.

Stuc en toc, bris de flotte,
que le temps vêt – bête hôte :
roc, phlox, gnou, homme ou bot –,
que même un franc vœu n’ôte.

Dans les bans, hors les us,
vit cet hydre au cent cous.
Haïe !, tous aux fronts, dia !, hue !
Aï : l’ost double à tout coup !

***

Tsar à zek, lord à bouif,
ce trek du fjeld en tuf
fait par le rhé : tchin tchin !
Scotch !, – deux raies –, beuh, voit triple…

***

Lâche œil pers, vague et rare ! ;
de ce plot, le chat-pard
fut vu en lieu du lynx ;
lui, sous la sans fez hure,

rit aux grays du mi-lux,
se rit du sud plan, pin’s
sur le brol – snif ! : hop, bltiz… ;
ce point trois fois fait quiz !

***

V’là le crux
:
quand le flet
ne peut plus voirtout
  i
grec
et sans coup d’arc
  fait
seing non bof de son cri
  !

***

Onc nul ne vit mil clins
de cil que, las !, fruits blets
– à jeun, au gré des clains.
Donc, point ! – fors le puits bé.

Cul-de-sac où la paix,
gent qui paît, fort se plaît ;
plaie qui au fort sied guère,
pré cyan sis en la chair.

Ceux clos fôte au nul flair,
chant d’eaux ou air de fleurs,
mers d’herbe ou champs de l’air,
aux yeux du spleen sont leurre.

***

N’est-ce point-là la nue,
sœur à plis de la pluie,
que le vol des piafs nue,
à qui le teint strict nuit ? ;

le djinn qui pour ses parts
se bat, prend biens, fait rapts,
puis qui pour le pat opte
– couard face au zâr, il tope ? ;

le fin lai qui coud le
luth et le lys par tact,
que le chas rompt par trac,
car dans le rang se coule ? ;

l’âne à la moue qui mord,
brait pour du troc…le gain,
sous le bât suit le mors,
tel, sur les rails, le train ? ;

le raid qui, vers la horde
de biais, part, hors norme orde,
puis, près du graal, fait deuil,
se ment : gonds gourds au seuil ? ;

le flot qui ne tend à,
ce que le gel sout – certes :
des blocs, des faits, des cas ?
Que vaut le coût des pertes ?

***

Le pieu croît sec, fût mûr,
zen fend les jours sans heurts,
d’un bond va au bout – but.
Sa cible est un mont veuf.

L’arc tente un trait, puis d’autres,
plants lents, hors rush se tâte,
chasse au bush, tard trouve âtre.
Son sol est soûl de mottes.

***

La cour du vice, à l’aune
du souk, se fout à l’aise.
Aux soirs des bals de faunes,
les ris des saints se taisent.

Camps et coups de poings, rites
que le dos des gens lange,
sont prix de l’ex vieil ange,
sous gant que bue le mythe.

Pan pair : la paie du lien
qui cloue le gaz au grain
et rue sous les draps, dais
du mois de mars aux quais.

***

Bois, fuel, jais, blé, mie, mets
qui l’enfle, – on s’y fie –, semble
bien plein de cale en comble,
la nef, geint sous son fret,

verse aux lacs : son frais pain,
son affre au sein des poux,
son dû chez les mous pins ;
et au sort creux se voue.

***

Duc en son fief sans bruit,
gras de fiel quand la nuit
oint son chic ciel de suie.
Ouf, havre à un seul huis !

Qu’est-ce que…? Tour sans clef !
Au garde-à-vous peu bref
est mis un gueux, sous-chef,
tiers qui se prend les flèches.

***

Ci, hâte ire eut prou, plus
veut, qui au fur crie : sus !
Là, hâve heur, en son coin,
fait fi du for, dit : foin !

***

Nerfs non niais, proie au doute,
stress, sang-froid, nez sans fard,
né faux, sot qui nie, tare,…
Nid de vie où tout joute.

***

Si tôt pour soi… tant pis !
Cher sieur, cours sous leurs tirs,
marche au pif…sur leurs pas !
Soif ! Faim ! Liesse, à plus tard ?

***

Vu que le soit se fêle,
à la vue de bruts pics,
crêts nains au parc des cieux,
tel le droit face au dol

qui raye un oups par zèle,
quand sent la roue des hics,
quand sait les sas sans feux,
ruz sous-tend : pas de bol.

***

Il en est fort en stock,
de cols, paf !, qui dru choient.
Sans foi, sans loi, maint bloque,
craint tris et torts du choix.

***

De smolt à schnock, le daw,
fic dans l’ars, pas d’vis, meut
tank à lem, gap à grau,
par le je m’en fou-cosme !

***

Dik-dik, fuis viols du sphex
(froc, nat, tract) qui fond lez
ton têt (où lais : « zap lai
pour là-bas : hart !, tan !, ney ! ») !

Vous, frou-frous, raies du ros
que raie le set des mœurs :
rez ou top, mull ou mor,
vis-à-vis est le boss !

Du spot, le chien du colt,
sans let, tue watt et volt.
Le trip des sens, si vair !,
meurt dans les reins… Vis cerf !

À l’âme, en vair – faon bai –
que doue, joint, et flambe, et…
le p’tit rée… Clebs voit-il
son rai-de-cœur au gril ?

***

Or, gloire aux cœurs crus, dont
la main, du ton, fait don,
beau, doux, flou, comme un comme,
mot d’où sourd la vraie somme.

Noire onde, ode au son prime !
Toi, fol ô mis aux nues,
loue maux ou ce qui plut !
Jet de fin : que vers rime.

***

Du stoc, truie, laie et bif,
par sil et houe et queux,
à la soue, par le dah !,
mis à sac pour les chais :

pots de vin qu’en flag guéent
les clés de do, sol, fa ;
et fric…-frac ! – du fait que
scat bath en ud et fib ! :
Nec
, zou !
Hip !,
id-est
couic !, pis, miam !,
– Týr ! –, puis puy, lieu-dit
à-la-mords-moi-le-nœud-…oh !, hui’!

***

zeus roi mat par le flirt
du fou et de la fée
ne chaut au sphinx le euh
à la fois zist et zest

***

Youp, quand s’en vient le fog,
brick crond, s’en va le blot
gof, ...ou, à donf, le smog,
tel d’hab, s’en vient du clos...

Oust ! ... Ce reps – tout de go –
du treuil se joue du crawl,
dès lors le jas fait flop

et hie le bas du tub.

***

D’où test : « suis-je jeu ? » : c’est-
à-dire un clown de choix :
un, chiffre ou mot ?… S’i’l’es’(t)
d’eux ? Contre ou pour lourd poids ?

***

- Dot ou bail de la bague ?
– Quoi, ce bled !? Nul ne choie.
Cap ?
- Nan.
[Plouf fait, mât droit,
dans le suc en zig-zag.
]

***

« Chez l’oie au tour par tour,
ton gnon bis fait toc toc.
Du box, au bout, à bout,
moi, jar, sourd fait coin coin. »

***

« Hi !, de – (tilt !) – sous ton khôl,
de ton frac – ha ! – le col,
ton musc – ha ! – sur, un troll
se croit des cors au…pieux ! »

***

« Cré vingt !, ce (vau) que lèves
n’est que broue, est que veul,
– gnaff ! –, tel ko du go, lèse
slow sur zik du scud… seul ! »

***

« Lof qui te grées de bruies
braies mais dont ton tin oit
des docks le kriss qui bruit
& le pied bot qui bruit

Par ce zoom, – tel ping-pong :
(quid ?)... et, du tac au tac,
« je suis prems ! » –, le silt ponce
le grès sans le la…(vase). »

***

« Je bous sous ton faix…fouet !
Taon, je troue le deal – poète !
… Paon, toi, noue et noie, jouet,
la moelle en toux de "pouët"… »

***

« Çà, moi, scion que tu haches,
veau, chiot, (coiffe !), à la queue
qui te duit en leu leue,
suis plus, na !, muet… tel l’h…*

…ou si… dans le gaz l’eau,
n’est qu’un coup dans cette eau ?
Ouin… pouah… clerc, on te fraie
que sous taie et plains ais. »

*Note, aux inindécis : ne lisez pas plus, et lisez – donc élisez – "mouais… t’es lâche…"

***

« Au hall, les fleins que rafle
ton sketch ne sont sous kraft.
Sous tes ra et tes fla,
de bouc, je me fais krill !

Du sous-sol, ton bla bla
fait les frais du fla-fla.
Le kif : que fin kif kif
au rab. Un couac ? Oui da ! »

***

« Car je, gland roux et blond,
pends de ton groin, des gags,
des cracks vont sous ton tag
– quel scoop : « il n’est pas con ! ». »

***

« – Hep !, mon chou, banc de bars,
de soie, de talc, de nard,
il te sape et te floue,
ce Nil où le surf joue ! ;

– Hé !, de tout Le Tien quart,
que le sprint du quartz hue,
la claie en craie se pare
– t’es cuit si tu ne flues ! ;

– Hé ! – ni lin, haie ou buis,
mais ail, houx, brou, tors tek –
tel torr qui mue en tec,
du vert vire au brun, Gui ! ;

– Hé !, ton côt, on le moud,
pis, à seaux !, Marc, du moût,
pois ou lard, suif ou lut,
en pack, en pot, ça pue ! ;

– Hé !, Job, le sou en moins,
gaffe au four, trust, et rue,
à la boue au long rut,
– toit que tu tonds et teins ! »

***

« Pan !, plouc toc, ton pli chiale…
…or du bac, le tain, quant
à soi, trait jusqu’au cal
: (tel cuir :) ptyx qui pleut… – chiant !? »

***

« Par à-coups, frai pis-va !
(Et rots sont pets, ric-rac !)
Spin, cher fais-part, ma cour,
à l’à-quoi-bon, que prouve :

Est-ce vert chou, chou vert ?
C’est vert chou et chou–fleur !
Non, vert chou et chou–rave !
Non non ! : vert chou, chou–rêve… »

***

« – Pst !, laisse, au bis trot, stance,
aux pieds seuls, sert la strophe.
Truc : bluff sur sens, clair, sauf,
– mis, dit –, un brin trop dense. »

***

« Qu’en skip en cour_ la dive
pli_ de spics court se gave,
pis de vé_ !, par troy, fade
de l’à-peu-près à l’ide_

***

« Quel zoo vu du zinc – vlan !
Daim, pie et loir : du flan !
Est-ouest, il faut croix faire !
Sur-le-champ : trou de ver( )

***

(Zut !, mes vis sont trop gaies.
- Chut ! ce que je crypte, et
tais !, à son œil au guet,
qui, lit, couvre un dur gué.

- Tire-au-flanc, joue le match :
vends du qat – pas les maths –,
scalp de l’arc-en-ciel coint,
tics, tic-tac et li cois.

- Tiens les taux sous un taud,
mais mime au mieux leur sceau.
Sois pur tel pi ! Crée pro !
Plus de putsch au plomb gros !)

***

« D’ac. Si l’œuf pond le coq,
lors l’if mord la scie – croc ! ;
si la baie ploie les docks,
lors le gong broie les chocs ;… »

***

Ô bel ivre art, du corps
prêt !, sors les sons sans âge,
et lie-le à la page !
Quel très bon sang ! Quel cor !

***

Ce court nom hait le su
et mis, stries sans sel, lignes
en kit ; quiert et fouit signes
du mieux – que le bras tue !

***

Grand dam, le glas de l’ut :
lot d’os, au fil de luttes
à tout crin, au Styx va.
Stop ? - Du cran, prompt pouls, bats !

Loup aux crocs froids, le joug
perd du poil de la bête
quand le goût met en joue
moult port, songe hors du « Faites ! ».

Au faîte en joie, à bord,
la crue des pleurs se joint
si pions sont les dés, feints ;
gare aux fers chauds au nord !

Nie les rets du nu reg.
Rêve aux ors sous sable – erg,
flux, tas mus, sans fin, eux ! –
que nul soc, grue, char, n’eut.

Au lieu de vivre au ras
du sûr, fat lacs à rat,
le libre est l’œuvre à fleur
des dix doigts de tes heures.

Sans peur de la lie se
boit, ru des ceps, le vin ;
dès ! lors ! des sauts du vent,
haut mets le foc, oh hisse !

***

Soi, qui se grise au soin :
« - brai de sous les tifs vint ! » ;
et veut un pull sans suint :
- « oui !, si !, nul si n’est vain !…

***

***

P.S. : Las, y’en a ras-
le-bol, du rien, v/s
l’etc-et-cie – l’on rend l’as,
la der des ders : H.S.


____________________________________________
Ce texte a été publié avec des mots protégés par PTS.


 
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   silvieta   
22/1/2017
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
L'incipit donne le ton. "nous atterrâmes" (du verbe atterrir?)
Déjà dans l'incipit on ne comprend pas grand chose.

C'est un bon incipit puisque le reste est de la même veine.
L'incipit m'aurait largement suffi.

On ne comprend que dalle à ces phrases tranchées en plein vol et balancées en vrac, si ce n'est que s'en dégagent parfois des bribes qui ne sont pas sans rappeler Clément Marot ou d'autres poèmes médiévaux, mais on a surtout l'impression que l'auteur s'est saisi d'un vieux recueil de poésies de cette époque, en a copié les expressions, les a mises dans un chapeau et les a ensuite recopiées dans un ordre aléatoire.

Cela pourrait avoir son charme si ce n'était pas si horriblement long. Eh les auteurs, ayez pitié des pauvres lecteurs, et surtout des pauvres autres auteurs qu'on n'a pas le temps de lire quand on passe son heure à essayer de digérer pareil salmigondis.

Je souscris complètement à la notation en PS.
"Las, y' en a ras le bol, du rien".
(A part l'apostrophe surnuméraire, entièrement d'accord et las!)

   papipoete   
4/2/2017
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
bonjour Seuilement,
J'ai pris mon courage à deux mains, après avoir tenté de déchiffrer l'incipit de ce " poème " ; mais buttant sur le sens de chaque ligne, j'ai stoppé les machines devant cet iceberg avant de couler corps et bien !
Où êtes-vous allé chercher tout cela ? J'aurais bien voulu, au détour d'une phrase ordinaire, comprendre quel était votre itinéraire, son cap à tenir, mais la tâche ligne par ligne était infaisable !
Je serais curieux de voir un commentaire ci-dessous, où un lecteur fut transporté jusqu'à la fin de votre " gigantesque " texte, alors je pourrais lui dire << chapeau bas >>
NB si votre " poème " est ici publié, c'est qu'il séduisit un certain auditoire dont je ne pourrais me prétendre à la hauteur !

   Anonyme   
10/7/2017
Commentaire supprimé par l'auteur

   Anonyme   
4/2/2017
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Il doit certainement me manquer les bases adaptées pour élucider ce genre de ... " poème ", que je trouve à la limite de l'incohérence. Et pourtant j'ai essayé ! Mais quel échec ! Je veux parler du mien, bien sûr.

   Michel64   
4/2/2017
 a aimé ce texte 
Vraiment pas ↓
Je n'en rajoute pas. tout a été dit, je veux parler des commentaires.
Pour le texte rien n'a été dit.. de cohérent. Mais je m'avance peut-être car en réalité, je n'ai pas tout lu. Loin s'en faut.
Désolé.

   Anonyme   
4/2/2017
Bonjour Seuilement... Je profite de la parution de votre "Poème" pour vous souhaiter la bienvenue sur Oniris. Pour ce qui est de l'oeuvre précitée, que j'ai parcourue avec circonspection, je suis dans la totale incapacité de vous donner un avis. J'ai lu dans un commentaire précédent que (je cite) ça sortait du mièvre et du convenu... Sans doute, sans doute, je suis obligé d'en convenir.
N'ayant pas les clés pour pénétrer ce monde poétique qui n'est pas le mien, j'attendrai une prochaine parution de votre cru pour me faire une idée plus juste de la teneur de vos vers...
Au plaisir !

   Marite   
4/2/2017
Impossible de déchiffrer ce texte en dépit de plusieurs essais, en divers endroits. Comme parfois j'ai l'esprit un brin tortueux, je me suis même demandée si ce n'était pas une sorte de "test" soumis aux lecteurs du site. Dans quel but ? Mystère ... mais peut-être l'auteur daignera nous éclairer ou pas ...

   Anonyme   
4/2/2017
 a aimé ce texte 
Vraiment pas ↑
Après une première tentative infructueuse, je me suis hasardé avec courage à une deuxième. Waouh que c'est long, long, très long infiniment long à lire tout ce "charabia", rien de cohérent, de rationnel, et surtout de compréhensible, enfin pour moi. Mon cerveau s'est mis en mode de renoncement, cependant j'ai été jusqu'au bout de ce "supplice", qu'est-ce que ne ferait pas faire la curiosité, et aussi la ténacité.

Il me faudrait peut-être "tenter" une troisième lecture, mais je crains que cela reste du domaine de l'impossible, vu l'effort que j'ai dû fournir pour arriver au bout de ma deuxième lecture, car c'est laborieux à lire, et de plus à la longue, j'ai sombré dans l'ennui. Je ne voyais plus que des formes de mots assemblés les uns à la suite des autres.

Ce texte n'a vraiment rien pour lui, à aucun moment il n'a su attirer mon attention, et ne m'a procurer de ressenti plaisant. Ce n''est pas original, et surtout pas divertissant.

Pour aller plus avant, il me faudrait sans doute aborder cet écrit en m'appliquant en un bien compliqué travail de "décodage", mais je ne reste pas convaincu d'aboutir à un résultat quelconque ...

   Proseuse   
4/2/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour Seuilement !

Bon, j' avoue, je n' ai pas même essayé de lire la totalité de votre texte ... et je pense que j' ai bien fait, j' ai picoré de ci de là comme un soir de "ripailles" où la vue de "trop" tout à coup vous amenuise l' appétit ! Ceci dit , en picorant on se rassasie tout en gardant le sourire ! Je dois dire que oui, parfois , tout ces mots m' ont amusés, peut-être votre texte est-il une sorte d' exercice de style? je ne sais pas ? pourtant, je suis bien certaine qu' il vous a demandé bien du travail !
Peut-être auriez-vous du ne nous proposer qu' un extrait , pour que nous puissions de prime abord, nous familiariser à votre écriture car, c' est vrai que la longueur du poème ici, peut être rébarbative voire même à la fin, risque pour vous d' être préjudiciable, par le simple fait du découragement de certains lecteurs !
Alors, moi non plus, je n' ai pas compris, mais pour le travail et puis, pour l' audace d' aller dans des chemins d' expression dangereux ( !! ) et les p'tits sourires de ci-de-là, je vais évaluer avec un -bien- ( mais la prochaine fois, si vous voulez bien, essayez de nous apprivoiser en nous proposant un peu moins long !)
Merci Seuilement et avec la curiosité de vous relire !

   Brume   
4/2/2017
Bonjour seuilement

Je n'ai aimé que la dernière strophe.
Et le "luit un bleu- oh la baffe!" de je ne sais quelle strophe m'a fait sourire.
Attention à la ponctuation (écrits en italique) que je trouve assez aléatoire, j'ai été perturbée par le rythme, et leur dimension émotionnelle.

Pour le reste, pas une seule strophe ne m'a parlé. En dehors de la dernière bien sûr. Même en laissant ma raison de côté je n'ai pas été sensible.
Comme je n'ai pas tout lu et rien capté je note pas.

   Anonyme   
4/2/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Je ne commenterai que ce qu'il y a d'écrit en italique.
Et comment rester indifférent. C'est à couper le souffle. Il émane de votre écriture une force incroyable.
''Une ancre follement assoifée... etc, etc.
Des mots puissants qui m'interpelle profondément.
Après, le reste, peut-être nous éclairerez-vous.
En tous cas, le début m'a enchanté, et j'espère un registre entier dans cette veine là.

   David   
4/2/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour Seuilement,

Wahou ! C'est assez ébouriffant, très vite je me sentais comme dans une litanie ludique, mais un sens se dégage tout de même de loin en loin : le ton déjà donne quelque chose, c'est énergique, véhément peut-être pas, pas dans le sens de la complainte amoureuse en tout cas, mais ce genre de prise de parole un peu qui s'engage et plonge dans son sujet ; il y a aussi une idée qui apparait dès la première partie, du tout qui devient l'unité, les "Que nous (... ) plongeâmes ainsi qu'une ancre", "Que nous (... ) accostâmes l'aile zébrée", chaque fois le pluriel devient singulier, puis vient le texte, le "poème", débutant en trinité d'un "Soi, moi et lui". Aussitôt, je m'attendais à des "majuscules bibliques", comme dans une sorte de prêche, il y aurait un peu de ça mais pas vraiment comme je pouvais m'y attendre. Elles sont presque normales les majuscules, "zeus" n'en n'a pas, un "je suis prem's" non plus en début de phrase, "Nil" en aura une, un "de tout le Tien quart" aussi... pas sûr que ce soit la manifestation d'une cosmogonie particulière, et puis je n'étudiais pas le texte aussi scrupuleusement que ça peut-être, j'ai adoré la "note en bas de page" au milieu de la page, le "comme un comme" et pleins d'autres passages nés de cette déferlantes monosyllabiques, bravo !

   Anonyme   
4/2/2017
 a aimé ce texte 
Pas
Je le dis de suite je ne suis pas allé jusqu'au bout. J'ai picoré de-ci de-là.
J'ai trouvé l'ensemble pompeux et sûr de soi. (Comme vous y allez pour un premier poème sur Oniris)
Mais pourquoi pas ?
Il suffit de lire l'introduction en italique pour se rendre compte que vous savez très bien écrire et que vous êtes à l'aise avec les mots.
Rien que le titre - Poème - entre guillemets sonne comme une légère provocation. (J'aime l'idée par ailleurs, même si je n'aime pas ce "poème")
Mais au moins intrigué, je suis prêt à vous relire une prochaine fois.

   Melusine   
4/2/2017
Bonjour Seuilement,

J'ai tenté de vous suivre dans cette déambulation aux foulées déjantées, sans y parvenir. Comme dans une file d'attente, je patiente devant le seuil de discrétion. Mais je suis curieuse de tout et j'espère vous lire à nouveau bientôt.

   Pouet   
8/2/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bjr,

Bienvenue à vous, pour un premier poème publié ici, c'est un sacré premier poème...

Et pour ce qui est de la "compréhension", je pense qu'on tient quelque chose... :)

Evidemment c'est un texte qui a demandé pas mal de travail, et je suis admiratif de la chose.

J'ai senti, peut-être à tort, un "fond social", une critique des "puissants", je ne vais pas citer tous les passages qui m'on fait ressentir cela, mais ce fut mon impression.

Donc, bien sûr, je n'ai pas tout compris, peut-être rien d'ailleurs, mais j'ai aimé, beaucoup, je peux même dire que je suis impressionné.

Je suis revenu plusieurs fois sur votre texte.

Un travail sur la langue et les sonorités qui me laisse pantois (dit le putois de Pontoise)

Vous parvenez presque à me réconcilier avec les mots de "vieux françois".

Un texte assez magistral, tout simplement.

Franchement, bravo.

   Anonyme   
8/2/2017
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
"Pô aime"

Il s'agit sans doute d'holorimes... enfin, ça y ressemble, sans en être vraiment. Pourtant, lorsque l'on prend chaque vers, celui-ci veut bien dire quelque chose, donc c'est en bon français. La seule chose est que l'oreille n'est pas habituée à entendre ça, et ce qui peut nous paraître du charabia est en fait aussi clair que de l'eau de roche. Enfin, je veut dire que ça a un sens. D'autres vers sont plus complexes, sans doute écrits sous forme de charade, ou un truc de ce genre. Bon, il y a matière à réflexion, c'est sûr...

Où Ali (Wall-E)

   Anonyme   
8/2/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Un petit côté surréaliste peut-être dans ce poème, qui m’a rappelé mes lectures de Jean-Pierre Duprey dans ‘Derrière son double’, etc., comme pour lui je n’ai pas saisi grand-chose de ce texte, mais pour le vôtre, compte-tenu de sa longueur relative il m’a manqué un fil conducteur pour ne pas le trouver un peu longuet…ces réserves – de sens et de fil – mises à part, j’ai quand même pris plaisir à parcourir vos ‘inventions’, donc je vais bien évaluer…ce qu’avec un peu plus de liant (à mon niveau n’est-ce pas) j’aurais évalué beaucoup plus.

Je suis impatient de vous relire, car vous avez un style pas ordinaire pour le moins.

Cordialement


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