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Poésie libre
Skandrani : Le secret des hippocampes
 Publié le 23/06/17  -  12 commentaires  -  300 caractères  -  233 lectures    Autres textes du même auteur

La reproduction chez les hippocampes est très particulière. C’est le mâle qui effectue la gestation des quelque 1000 à 2000 œufs. C’est le père, donc, qui porte la progéniture.


Le secret des hippocampes



La mer pressante guette chacun de mes dires
Je lui confie qu’un jour
Après avoir maîtrisé l’énigme,
Le miracle de l’hippocampe mâle,
Saison après saison,
Je revêtirai le panama brun de mon père
Et je viendrai sur sa robe bleu Matisse
Fabriquer des goélands géants


 
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   Anonyme   
8/6/2017
 a aimé ce texte 
Bien
J'aurais aimé qu'il m'en soit dit un peu plus, car le phrasé est très plaisant, la lecture est aisée. Cependant je reste un peu sur ma fin.

C'est bref, mais cela ne manque pas d'un certain charme, souligné par ces deux phrases :

" Et je reviendrai sur sa robe bleu Matisse
Fabriquer des goélands géants"

Une ou deux strophes en plus ne m'auraient pas déplu.

   Donaldo75   
10/6/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
(Lu et commenté en EL)

Bonjour,

J'ai cherché le sens profond de ce poème, et pourtant ce n'est pas mon genre que de rechercher une explication à tout, de donner du sens à des mots assemblés pour faire joli.

Ici, c'est juste cubiste, comme un tableau de Braque où claquent les images dans un flux désordonné. Bien entendu, il y a des éléments de logique (mer = robe bleu Matisse => goélands géants <= hippocampes) mais ce n'est pas forcément très esthétique.

On aime ou pas. J'ai essayé. Je reste mitigé.

Une autre fois,

Donaldo

   Brume   
11/6/2017
 a aimé ce texte 
Pas
Bonjour

Je n'ai rien contre les poèmes courts mais le vôtre me donne une impression d'inachevé.
Un poème court doit être selon moi, intense et/ou percutant pour pallier la brièveté; ce qui selon mon ressenti, n'est pas du tout le cas ici.
Je n'arrive pas à faire un commentaire constructif de votre poème sur le fond et sur la forme. L'émotion et l'atmosphère semblent elles aussi n'avoir pas eu le temps de se poser.

   papipoete   
23/6/2017
 a aimé ce texte 
Pas
bonjour Skandrani,
Comme d'autres animaux, l'hippocampe mâle porte en lui la future progéniture, ce qui n'est plus un secret !
NB après cette énigme maîtrisée par l'auteur, celui-ci nous plonge au fond d'un abîme d'écriture, dont je n'arrive à percer l'énigme !

   Anonyme   
23/6/2017
Bonjour Skandrani... L'idée est bonne, surtout à l'époque de la Fête des pères, mais il aurait sans doute fallu la développer un peu plus.. afin de ne pas laisser le lecteur sur sa faim !

Car si Dame Hippocampe aime la bagatelle
On n’en peut dire autant quant à sa ribambelle
Dévolue au galant, les ébats consommés...

Braves chevaux marins ! De mamans prestataires,
Après avoir porté ceux qu’ils avaient semés,
Les voilà de surcroît papas célibataires...

Au plaisir !

   Anonyme   
23/6/2017
 a aimé ce texte 
Pas
Peu-être que dans un futur plus ou moins proche (!) en s'inspirant des hippocampes, la science pourra 'fabriquer' un homme prédisposé à la gestation...
Ici le narrateur rêve d'aller sur la mer (" sur sa robe bleu Matisse ") enfanter des " goélands géants " ; pourquoi pas ?...

   Pouet   
23/6/2017
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bjr,

Je reçois ce poème, peut-être à tort, comme un hommage à votre père.

J'ai bien aimé personnellement. C'est "poétique", quoi.

Le premier vers met bien dans l'ambiance, quant au dernier et sa "fabrique de goélands géants", eh bien, il me plaît beaucoup.

Le narrateur est certainement un oiseau (je parie sur le goéland) en plus d'être l'enfant de l'océan... et son père regarde peut-être du ciel cette résolution d'énigme avec l’œil attendri d'un porteur de panama brun et de robe bleu Matisse...

Un émouvant tableau, enfin une touche de couleur (j'aurais aimé en lire un peu plus), me concernant.

Au plaisir.

   Absolue   
23/6/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
Fabriquer des goélands géants?
Je n'ai pas compris la chute.

   Raoul   
24/6/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bein moi j'en voudrais bien d'autres, des comme ça. J'aime beaucoup cette petite "chose", la formulation de cette divagation des pensées*, ses ramifications, ses enchaînements à la logique très personnelle qui font que le coq à l'âne de chacun est unique. Page de "journal", peut-être, on y ressent des "questions" sur la pa/maternité (ou pas), la filiation, la transmission…
Et des doutes. "J'aime les gens qui doutent" comme dit la chanson.
Ici, on ne se demande pas si l'on sera compris, c'est de la liberté songeuse à l'état naturel - très bien composé tout de même, car ce sont de vrais ! bons ! vers libres -. Ça, c'est de la poésie !
Merci à l'auteur (dont on ne sait s'il est homme, femme, enfant ou vieillard sur la plage) de nous laisser lire dans le sable de ses petits châteaux.

*comme pas encore pensée.

   Sebrutus   
24/6/2017
 a aimé ce texte 
Pas
J'ai bien aimé la première phrase et de manière générale j'aime bien la dimension que donne la métaphore marine à la poésie. Mais votre poème me laisse un peu perplexe.

Je ne trouve pas l'enchaînement des vers spécialement harmonieux. Je n'ai pas bien saisi l'usage de la ponctuation également.

Peut-être est-ce ce que vous a inspiré un tableau de Matisse?

Un peu trop hermétique pour moi et pas assez esthétique, bien qu'il y ait de bonnes idées.

   Anonyme   
24/6/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour,

Il m'a fallu plusieurs lectures attentives pour pouvoir poser un avis sur mon appréciation personnelle de ce texte.

Il y a quelque chose d'intéressant, d'intriguant, de mystérieux dans vos vers, quelque chose qui perturbe sans qu'on sache trop pourquoi.

Le changement de temps est perturbant aussi. Peut-être à cause des choix de ponctuation.

Mais l'ensemble est beau, comme peut l'être une oeuvre surréaliste, un tableau de guingois qui parlerait de droiture... c'est musical, rythmé, et c'est en soi un challenge d'avoir sur si peu de vers un résultat aussi impactant d'un point de vue de la valeur poétique.

J'ai apprécié mes lectures, au final, l'originalité et la beauté de ce qui y est dépeint.

On se l'approprie, il y a une universalité qui dérange, puis s'impose... et surtout la beauté des deux vers de clôture.

Merci et au plaisir de vous relire !

   Skandrani   
24/6/2017
Commentaire modéré

   Robot   
25/6/2017
 a aimé ce texte 
Passionnément
J'aime ce texte un peu surréaliste mais compréhensible. Cette idée de l'homme hippocampe. Des vers qui achèvent le poème comme une vision de mer, en couleur de plage et de ciel.


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