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	 | 
|     Anonyme   
		    21/2/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             J'apprécie dans l'ensemble ce poème.  
          Il y cette strophe qui toutefois me gêne un peu : "CRI Celui du silence qui se tait Pour se faire entendre Piétine" Je comprends cette idée de cri du silence. C'est juste la strophe qui me gêne dans sa construction. "Celui du silence qui se tait". Se tait, me parait redondant, et enlever ceci n'aurait à mon sens pas forcément cassé le rythme. L'oiseau qui cesse de chanter symbolise bien la perte d'espoir, renforcé par l'ultime soupir de l'âme. Fictive écharde m'échappe tout de même. J'aime plus loin l'idée de perte de reperds, de crépuscule mirage. Début ou fin du jour ? Ai je rêvé ? Suis je en train de me réveiller le matin, le soir ? Oui ce passage me plait. "Rêve à nouveau" me laisse pensif : Un retour au rêve qui permet la fuite du coeur de l'ombre ? ou bien un retour au coeur de l'ombre ? Une dernière chose après relecture : le mot dégénérescence déséquilibre un peu cette courte strophe. Déclin m'aurait suffit. Peut-être pas à l'auteur.  | 
        
|     kamel   
		    21/2/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour 
          Tout semble marquer le silence pour entrer dans le coeur de l'ombre. Une parfaite échappée introduite par un rêve qualifie ce poème. Une mise en page structurée en vers libres révèle une simplicité graphique à la fois visuelle. Emergeance des mots en majuscule qui alimentent le texte au niveau du sens . Bien adapté à la lecture,le poème ne contient aucune ambiguité. Bonne continuation  | 
        
|     colibam   
		    22/2/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Un peu ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Avis partagé pour ce poème. 
          Le premier vers, qui se fond dans l'écho du titre, constitue une bonne entrée en matière (« J'aborde le cœur de l'ombre »), avec ce qu'il faut d'angoisse suggérée que souligne encore le second vers (« L'effroi des espaces »). Le troisième vers (« La dégénérescence de mes sources ») brise un peu, par sa construction, le style emprunté. « CRI Celui du silence qui se tait Pour se faire entendre » : pas mal dans l'idée (à titre personnel, j'aurai écrit « Pour mieux se faire entendre »). « L’oiseau a cessé de chanter ABANDON--- fictive écharde » : Ces deux vers m'ont semblé un peu plus nébuleux. Je suis parvenu à happer une amorce de sens à travers le rideau de brume mais est-ce le bon ? La fin est assez bien retranscrite. La conscience du rêveur ouvre un œil sur une réalité indistincte et anxiogène, avant de s'abandonner à nouveau dans l'esquive rassurante du rêve.  | 
        
|     Anonyme   
		    18/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Pas 
	
		          
		   | 
          
          
          
             J'ai trouvé ce texte trop banal, je ne suis pas parvenu à y entrer. 
          "Le coeur de l'ombre" du début est trop commun. "Le Cri/ Celui du silence qui se tait/Pour se faire entendre" Le silence qui se tait? Mmmmm... "L'oiseau a cessé de chanter", mériterait un poil d'originalité supplémentaire. Idem pour "l'âme qui soupire". Je pourrai presque recopier tout le poème ainsi. Pas convaincu pour ma part, l'impression d'avoir déjà lu ça un millier de fois. Pas compris non plus l'intérêt des mots en majuscule. Désolé si je semble un peu "rude" ce n'est pas mon intention, force et inspiration.  | 
        
|     jaimme   
		    22/2/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Pas ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             "L’oiseau a cessé de chanter": l'image est peu recherchée. Cela est d'autant plus choquant dans la lecture que le registre utilisé précédemment (les trois premiers vers en particulier) était nettement différent. 
          De la même façon j'ai été arrêté par: "Est-ce la fin du jour ? - Est-ce son commencement?". Ce poème est un mélange de possibilités heureuses ("fictive écharde" et les trois premiers vers), d'images connues ("ultime échappée"...) et de vers trop simples (déjà cités). Si l'auteur est capable du meilleur, il faut qu'il se débarrasse du pire. Bon courage.  | 
        
|     Garance   
		    22/2/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Un peu 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Des lettres capitales pour donner plus de force au mots ? 
          Je me suis rendue compte que cette pratique était trop agressive pour le lecteur, de plus tout se passe comme si le poème ne pouvait pas par lui même dégager les mots essentiels. Par cet artifice l'auteur ne semble pas croire que son poème sera compris, il enfonce le clou, trop. Cri, Mirage, sont déjà isolés et se repèrent bien. J'aurais vu Abandon mis en valeur de la même façon mais en le plaçant après la strophe. . L'oiseau a cessé de chanter - fictive écharde - L'âme soupire une dernière fois Abandon . L'écriture en Italique permet de jouer plus légèrement sur les caractères.  | 
        
|     Anonyme   
		    18/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Il est toujours risqué de se lancer dans un style très différent de celui qu'on a l'habitude de camper... 
          Ici, thea, tu tentes un pari difficile à plusieurs niveaux. J'aime beaucoup ton entrée en matière, qui me semble pleine de sensations retranscrites de manière assez juste. Le CRI ne me convainc pas en majuscule, non déterminé... j'ai l'impression que tu veux me forcer à l'entendre, ce cri... Par contre j'aime beaucoup que ce soit le cri du silence qui se tait Pour se faire entendre, je trouve que c'est assez joli dans l'image... Piétine? je ne comprends pas bien... peut-être que je passe à côté, mais malgré plusieurs lectures je me demande. Je me dis que ça manque peut-être juste de ponctuation. L’oiseau a cessé de chanter=> je suis pas fan. Planplan un peu (prends pas mal planplan hein, je veux dire peu recherché ou trop entendu... peu original dans le contexte...) ABANDON --- fictive écharde L'âme soupire une dernière fois => ça par contre j'aime beaucoup. Les cinq vers suivants ne me convainquent pas Un peu banal aussi... trop évident, en manque de puissance poétique, aussi par rapport à tout ce qui précède. La tête posée sur mes mains=> ici j'aurais préféré un Les au lieu de Mes... Et j'aime beaucoup la fin... Merci thea, j'applaudis la prise de risque et l'audace, je mitige sur l'appréciation mais je reconnais quelques très beaux vers, d'autres intéressants, et une structure qui m'interpelle. Je serais ravie d'avoir un complément d'information au sujet de ce poème. (ah ton titre est pas top ma belle, ça affaiblit le premier vers...) Au plaisir!  | 
        
|     Anonyme   
		    19/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             "J'aborde le cœur de l'ombre" et je suis partagé. Est-ce l'annonce d'une mort : "L'âme soupire une dernière fois" ? 
          "Ultime échappée..." Et puis le pseudo Théa : Ce diminutif du prénom Dorothea est inspiré du terme grec theos qui signifie "dieu". Un peu trop ésotérique (Qui est réservé aux seuls initiés) ; mais original dans sa forme et plaisant malgré tout.  | 
        
|     xuanvincent   
		    20/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Merci à l'auteur pour ce poème, qui a retenu mon attention. 
          Le titre tout d'abord m'a plu. J'ai apprécié ensuite l'atmosphère du poème et son rythme. Bonne continuation à l'auteur.  | 
        
|     Chene   
		    21/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour Théa 
          Une lecture fluide, un cri "majuscule", un rien d'abandon, un temps de pause suggéré (avec les "---"), tout cela ne serait-il que "mirage" ?. Tout cela est prégnant, pose l'effroi, la crainte, l'incertitude. Deux remarques, cependant : - d'accord pour les majuscules du CRI, mais moins sur l'ABANDON et le MIRAGE : tout simplement parce que l'usage d'un même mode a du mal à passer avec trois registres différents.. Peut-être les italiques, non ? - la seconde sur la ponctuation. Puisque que tu n'as rien ponctué jusqu'aux deux vers interrogatifs, pourquoi les points d'interrogation et les trois points du dernier vers ? Ni les uns ni les autres ne s'imposent, le sens se suffit à lui-même, à mon avis. Bonne continuation Théa Chene  | 
        
|     lotus   
		    22/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             J'aime assez le fond et le titre de ton texte Théa, bien en rapport avec le sujet. Mais, sans l'absence de ponctuation qui est fréquente dans tes textes, vu ton désir de liberté donnée aux lecteurs, j'aurais pas juré que c'était de toi. 
          J'ai l'impression que tu t'es donnée comme objectif d'être "originale" ce qui pour moi, n'est pas forcément synonyme de qualité. Les majuscules...ne m'interpellent pas. Cependant, je reste sensible à ta plume et au choix des mots et même si j'ai lu textes plus réussis, c'est bien, tu as su dire...  | 
        
|     irisdenuit   
		    24/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Salut, 
          Poésie minimaliste, j'aime. Peu de mots pour passer un message. À mon avis, les majuscules ne sont pas nécessaires. C'est très perso. J'aurais aimé plus d'originalité dans les images: est-ce la fin du jour ..... J'aime beaucoup l'image de : Ultime échappée. Merci. Iris  | 
        
|     Anonyme   
		    24/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Vraiment pas ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             En isant ce poème j'ai eu le sentiment de relire quelque chose de déjà vu, déjà lu. Un texte où la structure est déstructurée, où il se mélange allégrement majuscules et minuscules, où les mots sont "écorchés". Bref, j'ai l'impression d'avoir lu ce qui devient un peu trop courant sur Oniris, des vers libres faussement libérés. 
          Ça c'est pour la structure. Pour le fond je suis tout aussi dubitatif: "L’oiseau a cessé de chanter ABANDON --- fictive écharde L'âme soupire une dernière fois" ces vers ne résonnent pas parce qu'ils n'ont de sens précis, je pense, que pour l'auteur. C'est dommage parce que l'idée pourrait être là, mais non. Je crois pour ma part que si Théa s'engage dans cette voie, elle court au devant de désillusions fortes. Je respecte cependant son choix et sa tentative de prendre des risques.  | 
        
|     Mwa   
		    29/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Je ne vais rien dire de plus que les autre ont déjà dit: 
          CRI ABANDON et MIRAGE me gêne surtout s'ils sont en Majuscule Tu aurais pu mettre : Ta phrase ........................................................................ Cri Sinon j'aime bien le style et l'idée , bravo !  | 
        
|     Heisenberg   
		    20/12/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Ce texte est magnifique, il nous permet de partager la véritable intimité, celle qui permet de rêver ensemble avec des rêves différents. Le coeur de l'ombre perce à jour le coeur des rêves "un rêve c'est fait pour être rêvé." Merci THEA 
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