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Poésie contemporaine
TITEFEE : Je sais être le feu, je sais être la flamme
 Publié le 03/08/07  -  3 commentaires  -  2208 caractères  -  153 lectures    Autres textes du même auteur

Ce que tu n'as pas encore compris, la vie se charge toujours de te le faire comprendre.


Je sais être le feu, je sais être la flamme



Je sais être le feu et je sais être la flamme,
Lorsqu’un mot, un silence, blessent mon âme
Et j’ai déjà fait tonner ma voix vers les cieux,
Etonnée moi-même de ne pas entendre Dieu
Me dire qu’il fallait tendre la deuxième joue,
Je sais être le feu et je sais être la flamme
Lorsqu’un mot, un silence blessent mon âme
Et j’ai déjà fait tonner ma voix vers les cieux
Étonnée moi-même de ne pas entendre Dieu
Me dire qu’il fallait tendre la deuxième joue
Alors que j’étais déjà un genou mis à terre

Alors, comme l’eau qui conserve ses mystères
Et épouse tous les contours, sans jamais me taire
J’ai su aussi dire les phrases qui venaient du cœur,
Sans tabou, juste parce qu’il me semblait meilleur
De faire plaisir à l’autre, sans ressentir la crainte
De perdre la face, ou capituler lamentablement !

Il n’existe pas de vainqueur sous la contrainte
Et nos émotions si elles ont le droit d’exister
N’ont pas besoin des mots les plus abominables,
De ceux qui vont détruire au plus profond de l’être
Le miroir de l’autre, là où il se sent tellement minable.
J’ai souvent pensé intuitivement qu’une semaine après
Les rancœurs seront, par le temps qui passe, gommées,
Quand bien même elles ne sont pas totalement effacées.
alors que j’étais blessée et déjà un genou mis à terre.

Alors comme l’eau qui conserve ses mystères
Et épouse les contours, sans jamais me taire
J’ai su dire les phrases qui venaient du cœur,
Sans tabou, car il me semblait infiniment meilleur
De faire plaisir à l’autre, sans ressentir la crainte
De perdre la face, ou capituler lamentablement..

Il n’existe pas de vainqueur sous la contrainte
Et nos émotions, même si elles ont le droit d’exister
N’ont pas besoin des mots les plus abominables,
De ceux qui vont détruire au plus profond de l’être
Le miroir de l’autre, là où il se sent tellement minable.
J’ai souvent pensé intuitivement qu’une semaine après
Les rancœurs seront, par le temps qui passe, gommées,
Quand bien même elles ne sont pas totalement effacées.


 
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   Anonyme   
19/11/2007
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Il n’existe pas de vainqueur sous la contrainte
Et nos émotions si elles ont le droit d’exister
N’ont pas besoin des mots les plus abominables,
De ceux qui vont détruire au plus profond de l’être
Le miroir de l’autre, là où il se sent tellement minable.
J’ai souvent pensé intuitivement qu’une semaine après
Les rancœurs seront, par le temps qui passe, gommées,
Quand bien même elles ne sont pas totalement effacées.
alors que j’étais blessée et déjà un genou mis à terre.

RIEN A AJOUTER CETTE STROPHE M'EMPLIT D'HUMANITE

   nico84   
19/11/2007
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
J'ai lu et aprécié et je me suis demandé bêtement peut être, " TITEFEE a t-elle déja essayé la nouvelle ? Si ce n'est pas le cas, j'aimerais un jour la voir évoluer dans cet univers."

Pour ton poéme reviennent et qui s'enchaînent bien, j'aime bien le fond mais la forme, le vocabulaire, m'a frainé, ce sont mes limites de vocabulaires.

J'aime bien ton écriture douce, une voix qui fait voyager, des voyages lointain qui nous transportent, la où tu le souhaite, tu as ce pouvoir, celui que je n'aurais sûrement jamais.

Suis je jaloux ? un peu, quand même, le vocabulaire s' apprends, le talent de faire voyager, beaucoup moins, mais j'éspére.

Tout cela pour dire que je regrette le nombre restreint de commentaires à tes poémes, peut être dû à la fois à la technique, au vocabulaire précis et à la longueur de l'ensemble (j'avoue, il m'arrive de ne pas trouver le courage de lire un grand texte même trés bon !). J'incite donc à découvrir TITEFEE au moins une fois pour découvrir un style particulier et éviter ces "0" commentaires trop fréquents que j'ai rencontré dans la liste de ses poémes, elle, qui attend beaucoup des retours (courtois) des
lecteurs car elle souhaite echanger et dialoguer.

J'ai aimé chaque vers, profond, j'ai particuliérement aprécié ceux ci:

"Il n’existe pas de vainqueur sous la contrainte
Et nos émotions, même si elles ont le droit d’exister
N’ont pas besoin des mots les plus abominables,
De ceux qui vont détruire au plus profond de l’être"

J'ai aimé celle sur le silence aussi, bravo et merci à toi.
J'éspere que tu continueras longtemps à écrire, que les lecteurs aprécieront la profondeur de tes textes. Au plaisir de te lire.

   Maëlle   
1/8/2008
 a aimé ce texte 
Un peu
Je n'ai pas réellement aimé ce poème. Mais certaines phrase, et les redite qui tissent une sortent de toile, m'ont plues.


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