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Poésie libre
TristanKiliak : Aube
 Publié le 21/04/10  -  17 commentaires  -  1012 caractères  -  235 lectures    Autres textes du même auteur

Un début dans la vie.


Aube



Je vivais sur un arbre
Mais un jour : plus de fruits !
Je suis descendu
Me suis mis
Debout
Et je suis allé voir

Ça a commencé comme ça

J’avais faim j’avais soif
J’ai marché

Arrivé devant un fleuve
J’ai bu
Pêché
Et puis j’ai ricoché debout sur la première pierre que j’avais cassée en moi et je me suis retourné et il y avait la mer

J’ai dû m’évanouir

J’ouvris un œil
Je vis la lune
L’autre
Le soleil

J’avais atteint l’autre rive

Où étais-je ?

Devant moi se dressait une falaise
Je l’ai cassée et du sable j’ai fait une route

Alors les cinq sens grands ouverts
Je suis allé voir
Tout était neuf j’étais le premier homme
Je me jetais dans le monde qui se jetait à grands flots en moi
Je foulais le sentier des oiseaux
Jamais ne m’arrêtais quelque part bien longtemps

J’avais faim j’avais soif et je voulais voir


 
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   Anonyme   
21/3/2010
 a aimé ce texte 
Pas ↑
J'aime le dernier vers.

Sinon le reste de l'oeuvre ne m'a pas captivé. Je suis restée en dehors de ces images répétitives et assez peu originales... je n'ai pas de Valeur Poétique Ajoutée... un rythme qui ne m'a pas entrainé... des images qui ne m'ont pas transpercées... non décidément, je suis désolée mais on est ici trop dans le premier degré.
Je comprends le sujet , l'aube de l'humanité, mais selon moi il est abordé de manière trop évidente, trop banale pour qu'on puisse y voir quelque chose de vraiment novateur... désolée vraiment.

Merci et bonne continuation.

   pieralun   
23/3/2010
 a aimé ce texte 
Pas
Un début aussi dans la poésie je suppose.
Je n'ai pas aimé ce poème, les mots sont trop proches de leur sens littéral, les "je", "j'ai", "j'" présents partout et tout le temps gâchent complètement l'effet poétique si il devait y en avoir un.
UN poème ne peux pas être le descriptif présent de l'action de l'auteur qui parle de lui-même avec autant de persistance, puis il faut choisir les mots, les images pour susciter l'émotion du lecteur.

   Anonyme   
23/3/2010
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Un très bon poéme qui tourne autour de la naissance du jour et de l'Humanité. Je trouve certains passages trés travaillés, plein de finesse: "Devant moi se dressait une falaise
Je l’ai cassée et du sable j’ai fait une route" par exemple.

Certes la mise en page est un peu trop éclatée à mon goût, mais je respecte le choix de l'auteur.

Un bon travail.

   irisdenuit   
24/3/2010
 a aimé ce texte 
Pas ↑
Salut !

Le fond de ce poème est valable ! La renaissance d'Adam.

Quelques maladresses selon moi : ça a commencé comme ça - oufff un peur lourd non ? Le vocabulaire n'est pas très recherché ni les images d'ailleurs.

J'aime bien : je me jetais dans le monde qui se jetait à grand flots en moi - j'aurais tout de même essayé de trouver un autre verbe que le monde se jetait à grands flots en moi.

L'idée a du potentiel.

À une prochaine,


Iris

   kamel   
26/3/2010
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour

Un titre suivi d'une large exploration de la signifiance à travers des mots reliés souvent l'un à l'autre.

Cette détermination de l'aube justifie la cadence donnée au rythme pour amener le lecteur à découvrir ce besoin de voir la vie.
Des actions simultanées complètent ces images et constituent un seul acte dans un ensemble homogène.

Une fluidité des mots donne un charme à ce début dans la vie.
Un regard de la lumière vient de naître.

Bonne continuation

   wancyrs   
26/3/2010
 a aimé ce texte 
Pas
Une narration un peu en dos d'âne. Je dis narration parce que malgré la coupure sous forme de vers, il n y a aucun élément qui génère cette musicalité qui est l'apanage de la construction de vers.

La concordance de temps aussi y est à peu près... passer de l'imparfait au passé simple sans transition...

Un texte à retravailler et ce serait bénéfique pour l'auteur de revoir la catégorie de publication.

   Maëlle   
15/4/2010
 a aimé ce texte 
Bien ↓
C'est quasiment de la prose, et en fait, en le lisant, j'entendais la voix de Christian Descamps (le chanteur du groupe Ange). Ce n'est pas la référence qui m'est le plus familière, je dois dire.

Bref, un poéme qui résonne. Je trouve néanmoins dommage de n'avoir pas davantage utilisé la ponctuation. Même si la mise en vers découpe le texte, une ponctuation réelle m'aurait mieux accompagnée.

   Damy   
21/4/2010
 a aimé ce texte 
Pas
La théorie de l'évolution qui n'est pas simplement narrative. Il y a des étapes que je n'ai pas très bien comprises

"Et puis j'ai ricoché..." (à l'origine était la mer. Que signifie "la première pierre cassée"?)

"Devant moi se dressait...". Il semble qu'on est déjà arrivé à l'ère industrielle?

Il me semble alors qu'il y a une contradiction entre " J'ai fait une route" et "Je foulais le sentier des oiseaux"?...et les 5 sens s'ouvriraient bien tard.

Je suis désolé mais, sous l'apparence de la simplicité, je trouve ce texte assez "alambiqué" et très en deçà des chamboulements planétaires dans le passage du singe à l'homme, qu'ici je ne trouve pas très sympathique.

   bulle   
21/4/2010
 a aimé ce texte 
Pas
Si j'ai bien aimé l'esprit du texte et ce qu'il véhicule, je trouve que la forme et l'expression ne le servent pas vraiment.

Des formulations trop brutes "Ça a commencé comme ça", par exemple, ou encore cette très longue phrase qui semble sortir du texte lui-même et qui peine à faire retrouver un rythme. Rythme assez décousu par ailleurs.

J'ai aimé par contre celle-ci, que je trouve très évocatrice :
"Je me jetais dans le monde qui se jetait à grands flots en moi"

Il me manque des images plus poétiques, dans l'ensemble.

   jaimme   
21/4/2010
 a aimé ce texte 
Pas ↑
J'aime beaucoup le thème. Mais c'est tout.
La plupart du tout je n'ai pas vu de poésie dans ce texte.
Sauf dans:
"Et puis j’ai ricoché debout sur la première pierre que j’avais cassée en moi"
"il y avait la mer - J’ai dû m’évanouir"
"Je foulais le sentier des oiseaux".
C'est trop peu à mon goût.
Une autre fois?

   Arielle   
23/4/2010
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Le récit d'une épopée qu'on relit pour la centième fois sans que rien de neuf ne vienne en en donner une vision personnelle en dépit du JE insistant.
Ni le rythme, ni les images ne me parlent de poésie. Les faits sont énumérés avec beaucoup de froideur et n'éveillent aucune émotion chez le lecteur.
Je suis désolée mais voilà un texte qui ne m'apporte rien. Une autre fois peut-être ...

   Anonyme   
23/4/2010
 a aimé ce texte 
Bien ↑
J'ai bien aimé cette évocation de l'aube de l'humanité.

Cette faim et soif de découverte finalement. L'envie d'aller plus loin et de s'ouvrir à un nouvel horizon.
Peut-être faut-il voir autre chose à travers ces vers. Sans vouloir aller chercher trop loin, on pourrait presque entr'apercevoir quelqu'un qui sortirait d'une léthargie, d'un coma et qui redécouvrirait le monde de manière assez malhabile.

Mais en revenant à l'état brut du texte, j'ai aimé ce déroulement narratif, cette avancée tâtonnante vers l'inconnu.

Juste une chose qui m'a toutefois interpellé, c'est l'emploi du passé simple dans la strophe suivante :
"J’ouvris un œil
Je vis la lune
L’autre
Le soleil"
Alors que le passé composé m'aurais paru plus évident.
Ça retire selon moi un peu de la spontanéité de l'instant. Et je trouve même que ce n'est pas cohérent.

Mis à par ça, ça me plait.

   telemaque   
23/4/2010
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonsoir,

Un texte avec en référence la théorie de l’évolution je ne crois pas
Rien que pour ce vers
« Tout était neuf, j’étais le premier homme »
Pourquoi ? Parce que si le big bang a eu lieu il y a cinq milliards d’années, l’homme de « l’évolution » n’a que soixante millions d’années. Entre les deux il y a une marge refusant le « neuf »

L’arbre généalogique peut être « la famille » devenir indépendant, aller voir, apprendre la vie
Le fleuve, l’eau de cette vie…à boire, à dévorer, deux choses difficiles à retenir « eau poissons » le temps et son action sur les êtres.
Ricocher sur la pierre cassée en moi « les commandements ? Les enseignements ?
Je me suis retourné et il y avait la mer… »La vie des autres ?»
J’ai du m’évanouir « j’ai tout effacé ? »
Ensuite, la lune, le soleil « La nuit, le jour ? »
L’autre rive « mon monde ? »
Une falaise cassée et du sable fait une route « si la falaise était de sable se serait une dune ou au mini ne tiendrait pas d’elle-même »
Donc je pencherais pour falaise « un début chrono » et le sable « le temps »

Bref ! Intéressant parce qu’énigmatique mais peu ou pas poétique

   Anonyme   
23/4/2010
 a aimé ce texte 
Beaucoup
L'évolution à la vitesse de la lumière avec :
« Devant moi se dressait une falaise
Je l’ai cassée et du sable j’ai fait une route ».
Toutes les théories sont battues en brèche sauf celle des créationnistes.
Et pour finir, cette métaphore sur notre société :
« Jamais ne m’arrêtais quelque part bien longtemps
J’avais faim j’avais soif et je voulais voir ».
J'avais soif, j'ai lu.

   Anonyme   
24/4/2010
 a aimé ce texte 
Bien
J'aime bien l'idée de ce récit, original et "frais", regard faussement naïf sur l'histoire de l'humanité ... Une simplicité qui va bien avec le fond, je trouve. Jusqu'au dernier vers, qui tombe "bien".

J'aime aussi les "raccourcis" employés çà et là, comme "Je l'ai cassée et du sable j'ai fait une route".

Je déplore cependant l'allègre mélange de passé composé et de passé simple, qui gâche un peu mon plaisir de lecture. A mon sens, il faut choisir, ou l'un, ou l'autre ... J'aurais opté pour le passé composé, beaucoup plus "simple" et usuel, en harmonie avec le récit.

Quant au "Debout" du premier paragraphe, je l'aurais laissé avec "Me suis mis". Mais sans doute s'agit-il d'un parti pris bien précis ...

   David   
25/4/2010
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour TristanKilliak,

C'est la longue phrase au milieu qui m'a beaucoup plu je crois, la rupture fut bienvenue. Je trouve le poème drôle, un peu minimaliste, sans que ce soit un défaut, centré autour de ce "J’avais faim j’avais soif", il évoque les sens, les sensations les plus pressantes, les éléments.

   Anonyme   
24/7/2010
 a aimé ce texte 
Un peu
Ce texte pêche par sa forme, pas adaptée au sujet.
Exemple frappant : la longue phrase du milieu. On y parle de ricochets ; il aurait fallu remodeler ce passage et le débiter en plusieurs segments, occupant d'une façon particulière l'espace, pour imiter le mouvement de ces ricochets...
Plutôt que de se risquer dans le vers libre, qui ne peut être intéressant qu'à condition de créer des effets alliant "ce que je dis" à "comment je le dis", une petite prose, avec quelques espaces pour marquer les étapes de la germination du monde imaginé par l'auteur et vécu par ce premier homme, aurait sauvé ( à mes yeux) l'ensemble.


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