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| papipoete
30/10/2025
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bonjour Vadim
On ne va pas laisser ce texte, orphelin d'un petit mot à son auteur, et que " Dieu Bénisse mon âme ", si je viens à l'offenser ? Je crois reconnaître ce langage, que l'on entend dans ces auspices, où le coeur brisé par la peine, on tente de nous recoudre les morceaux éparpillés tout autour. En vouloir à la Terre entière, à ceux qui nous polluent la vie, mais aussi à ceux qui nous aiment tant, qui ne désarment pas, et chaque jour remettent le chronomètre des humeurs à zéro... - comment sera-t-il aujourd'hui ? NB en arriver à prier le Diable un moment, puis se raccrocher aux ailes d'un Ange ; sourire à ces yeux charitables et leur infliger des crachats ; et appeler le Très Haut, le supplier - prend-moi ! tu entends ? et que de moi, les vers ripaillent ! J'interprète une fois de plus des hiéroglyphes de détresse, songeant ne pas être loin de ces écrits façon Pierre de Rosette... Que l'auteur ne me blâme point, si je me suis égaré du trait de sa plume ? Je voudrais bien trouver un passage, à travers cette encre de désespoir, qui me ferait au moins sourire ; non, rien sinon que j'en connus l'amer... J'aurais grand mal à donner une note... |
| Provencao
30/10/2025
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Bonjour Vadim,
"je braille l'aigreur et puis la mort tous ces puants jalonnent mon sort dans ce cimetière aux combles mornes souffrez maudits aux allures mortes de ma plume d'ombre je vous exhorte." Ce passage n'est pas absolu. Le "je" se double d'une ressource qui à la fois est mystifiée et mystifie. Ce passage semble déjà être une inscription et un souci de ce à quoi il appartient et de ce qui lui appartient Cet esprit bâtard semble lui garantir sa profondeur, sa rigidité, et en marque toute l'acuité. Au plaisir de vous lire, Cordialement |




