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| Myndie
22/10/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour,
Paradoxalement, j'ai trouvé ce poème à la fois long et minimaliste, avec une sorte de naïveté, un côté scolaire qui me laisse dans le flou. J'ai l'impression qu'il n'est pas abouti. Mais d'ailleurs à quoi est-il sensé aboutir ? Les images ne me parlent guère : « le lien des infinis a surpris l'horizon » « l'amour surnaturel a envahi l'hiver l'amour universel qui déborde l'océan au fond de nos forêts » Vous alignez vos réflexions comme dans une écriture automatique, sans force, sans rythme véritable, et cela ne suffit pas à susciter l'émotion poétique. Il y a aussi ces répétitions qui semblent vouloir nous convaincre à tout prix mais ne suggèrent pas grand chose : « c'est amour de l'amour beauté de la beauté ». Pourquoi ne pas plutôt habiller vos vers de quelques figures de style qui les sublimeraient, comme les métaphores par exemple ? Votre texte est perfectible. Si j'avais un conseil à vous donner, ce serait de le retravailler pour exprimer votre pensée avec plus d'épaisseur et surtout plus de force suggestive, plus d'émotion. |
| embellie
27/10/2025
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Sur trente six lignes l’auteur(re) nous fait cadeau de trois virgules. Qu’elle générosité !
Je regrette, mais un texte sans ponctuation, sans points suivis de majuscules c’est pour moi comme une soupe sans sel, un corps sans vêtements et l’expression d’une paresse envers les futurs lecteurs. Ces raisons me plongent dans une égale paresse qui m’enlève toute envie de commenter les mots que je viens de lire. Vous voudrez bien m’excuser. |
| Cyrill
31/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Ce texte a des accents de prêche pentecôtiste. Je devrais logiquement le fuir, et pourtant, il accroche. Il respire l’oralité, ses termes itératifs lui confèrent des inflexions déclamatoires.
La catégorie « libre » n’est pas galvaudée. Lorsque je lis ces vers : «nous avons vu l 'aurore » ou « au bout de la vision » j’ai réellement l’impression de les entendre réverbérés par l’écho, et de ressentir la tension des respirations. Sans souscrire à toutes ses allégations, je trouve plutôt réussie cette harangue et la passion qu’elle me semble porter. |
| Robot
9/11/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Un problème de structure et de ponctuation.
Mais je relève dans ce poème des élans poétiques bien présents à conditions de reconstruire la lecture. "des espoirs en éveil dans le soleil du cœur ont la beauté céleste qui échappe à la vue" "l'amour surnaturel a envahi l'hiver" Les paragraphes 2 et 3 sont ceux que je préfère. Les deux autres sont un peu confus. |
| Provencao
9/11/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Vincent,
Plusieurs lectures où le mot reflet et miroir font et prennent sens, pour moi, en votre poésie. Ce reflet , ce miroir ne répètent pas la trace inaccomplie où l’on chavire, ni " le ciel part en voyage" à la fenêtre du jour. C’est un accent sombre d’apprendre " l' Au-delà ", être soi infléchi à l’autre, les illusions en vrai désordre du mythe, l’insondé, le caché de ces infinis dans l'instant de vérité… Au plaisir de vous lire, Cordialement |
| papipoete
9/11/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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bonjour Vincent
Les chansons se font rares ici, depuis que vos poèmes se voient orphelins de chanteurs... Est-ce pour cela que vos lignes semblent bien moins poétiques à la lecture seule ? Je dirais en vous lisant, que ces vers me paraissent fort prosaïques, et cet emploi en conjugaison, du participe passé, n'en adoucit pas la scansion. NB je ne sais pas dire " n'aime pas " en commentaire, aussi ne serai-je pas complètement négatif. Alors pour voir, je lis la première strophe au " présent de l'indicatif " |
| ANIMAL
9/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Je trouve bien du charme à ce poème qui a quelque chose de léger pour dire des choses graves.
Il parle d'espoir : "nous avons vu l 'aurore en cherchant des années, en cherchant la lumière" Il parle d'amour : "l'amour universel qui déborde l'océan au fond de nos forêts celui qui met le feu" Il parle de mort : "au-delà d'au-delà le repos est clarté l'ouverture est réponse c'est la métamorphose, instant de vérité" Du moins c'est ce que je ressens à la lecture et j'ai bien apprécié ce voyage en émotions. J'ai moins aimé le découpage des vers, trop irrégulier à mon goût, qui rend la lecture pas assez fluide pour le propos. Mais tout de même ce fut une jolie lecture. |
| A2L9
9/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Le découpage des vers remplace la ponctuation et devient le souffle, j'adore.
Un voyage années-lumière, un poème libre d'apesanteur. |
| RaMor
9/11/2025
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Bonsoir,
Votre poème cherche l’élévation et la lumière, mais il reste enfermé dans l’abstraction. Le vocabulaire cosmique et spirituel crée une atmosphère planante, sans jamais trouver d’ancrage concret. Les images se répètent, la lumière, l’amour, l’horizon, l’infini, au point d’en perdre leur intensité. L’absence de ponctuation, sans contrepartie rythmique, dissout la musicalité au lieu de la libérer. La lecture devient uniforme, sans respiration ni tension. On perçoit une quête sincère, un vrai désir d’universalité, mais la langue flotte dans un symbolisme trop éthéré. C’est un texte généreux, mais trop désincarné pour transmettre l’émotion qu’il appelle. cdlt |
| Kirax
10/11/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
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Je suis désolé, je ne suis pas entré dedans.
Je ne vois pas l'aspect poétique de ce texte. J'ai l'impression que la syntaxe est maltraitée, la ponctuation est absente... Mais surtout je vois pas où l'auteur a voulu nous emmener. En fait, on dirait surtout un fil de pensée, vagabond, incertain, fugace, dans l'esprit de quelqu'un qui n'arrive pas à canaliser sa réflexion. Mais je conçois que ce n'était pas la volonté de l'auteur. Encore navré de ne pas avoir réussi à entrer dans cet univers. |




