Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Chansons et Slams
Vincent : Sur l'escalier du temps
 Publié le 09/04/24  -  5 commentaires  -  1264 caractères  -  114 lectures    Autres textes du même auteur

Tout s'en va.


Sur l'escalier du temps



https://drive.google.com/file/d/1pik4pj4o_jSLFPXhxfjx2QNn7uOd8c0a/view?usp=drive_web
Musique et chant : Dowvid


Sur l'escalier du temps
La bille fait l'enfant,
Elle descend au tempo
De la couleur de l'eau

Nos mirages visuels
Dans un rêve virtuel
Apparaissent en reflet
De nos ombres éclairées

Sur l'escalier du temps
Le mouvement nous fuit
Et pas plus que le vent
On ne retient la vie

Pas plus que les nuages
Nous retenons nos âges,
Nos univers s'en vont
Et passent les chansons

Nous sommes liés à la cadence
De nos désirs dans l'existence,
Ces quelques marches de descendance,
Alors vivons sans discordance

Le refrain nous revient
Comme elle saute plus loin,
Son cliquetis précieux
On l'entend dans nos yeux

Sur l'escalier du temps
Notre reflet s'en va
Emporté par l'élan
Le soleil n'est plus là

Nous sommes liés à la cadence
De nos désirs dans l'existence,
Ces quelques marches de descendance,
Alors vivons sans discordance


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Robot   
9/4/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
Sur la composition musicale:
Le rythme donne bien l'impression de cette bille qui dévale l'escalier du temps.
Moins séduit par la voix pas tout à fait ajustée.
Sur le texte:
J'ai apprécié les images de la plupart des quatrains à l'exception des cinq et huit dont le message me paraît simpliste.
Une réception mitigée donc mais dont j'ai apprécié cependant une part de la réalisation musicale et littéraire.

   Provencao   
9/4/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Bonjour Vincent,

Ce n’est que sous le regard de " l'escalier du temps" que la durée peut s'identifier comme linéaire ; et, à la lectrure de votre poesie, elle se décèle nécessairement linéaire.

"Nous sommes liés à la cadence
De nos désirs dans l'existence,
Ces quelques marches de descendance,
Alors vivons sans discordance"

Comme si nous pouvions soudain regarder nos désirs
face à face ...

Pour la signature musicale et le chant: Merci

Au plaisir de vous lire
Cordialement

   ferrandeix   
9/4/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime bien
Difficile, me semble-t-il, de fournir une appréciation d'ensemble sur ce poème car j'y ressens une grande variabilité de l'intérêt. Certains quatrains me paraissent artificiels, peu significatifs, quoiqu'il ne s'agisse pas de poésie hermétique, mais justement pour cette raison. La recherche de la rime à tout prix semble responsable de bizarreries préjudiciables. Le premier quatrain, par exemple, me semble abstrus, en revanche, ces beaucoup mieux à partir du 3e, me semble-t-il. Le thème principal, le termps qui fuit et emporte notre existence, ce qui justifie une injonction de carpe diem. Pour ce mètre court, les effets rimiques sont perceptibles lorsqu les rimes ne sont pas embrassées. En revanche, l'effet est renforcée pour la 5e strophe par exemple où elle se retrouve pour tous les vers de cette strophe. Une grande diversité de formules rimiques qui peut désarçonner le lecteur, sauf s'il ne le remarque pas, ce qui est finalement le mieux.

Quelques cacophonies parmi les plus gênantes:

"Comme elle saute plus loin" (ces 2 e post-accentuels de "saute" et de "elle" si près l'un de l'autre me paraissent difficilement négociables oralement)

"de descendence": attention aux dentales trop proches
"elle descend au tempo" idem ou alors préférer oralement une cacophonie de voyelle "en" "o", ce qui est le moindre mal, me semble-t-il.
Au final, je retiens quelques belles, voire très belles strophes au milieu du poème, notamment la 3. Et l'image de l'escalier, qui est reprise, me paraît très bienvenue.

   Vincent   
11/4/2024

   BlaseSaintLuc   
21/4/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
"Salut, c'est le casse-gueule dans l'escalier, dès l'entrée avec le pléonasme du rêve virtuel... J'aime beaucoup la première strophe, carrément moins la seconde. Les pieds se prennent dans le tapis plusieurs fois par la suite. Le thème est pourtant bien représenté, les descriptions sont justes. Peut-être trop répétitives ?"


Oniris Copyright © 2007-2023