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Poésie en prose
wancyrs : N’en déplaise à Saint-Exupéry
 Publié le 06/01/18  -  14 commentaires  -  3285 caractères  -  218 lectures    Autres textes du même auteur

S’aimer,
Ce n’est pas regarder ensemble dans la même direction...


N’en déplaise à Saint-Exupéry



S’aimer,
Ce n’est pas regarder ensemble dans la même direction – n’en déplaise à Saint-Exupéry –, tant qu’il y aura des myopies du mental et des presbyties de la psyché.

Le défi de la relation parfaite est de trouver des lunettes adéquates pour déjouer les phénomènes d’optique de non-dits, ou de synchroniser les faisceaux de perceptions car, chaque homme ou chaque femme vibre à une fréquence initiale inhérente à sa nature primale afin de produire une sinusoïde particulière. Puis, avec le temps et les multiples excitations, l’allure sinusoïdale d’origine va se métamorphoser en une courbe complexe, alors de vibrer en phase avec une autre sinusoïde devient une tâche ardue…

S’aimer,
Ce n’est pas regarder ensemble dans la même direction – n’en déplaise à Saint-Exupéry –, tant qu’au bout de la route il y a l’objectif, et que le mouvement conditionne la réussite.

Chaque âme en mouvance adopte un état en fonction de l’humeur : le mouvement rectiligne uniforme pour le serein, le mouvement rectiligne uniformément varié pour l’anxieux. Deux âmes en accointance adoptent un état en fonction de la résultante des humeurs : une parabole lorsqu’elles convolent en noces de miel, une hyperbole lorsqu’elles convolent en noces de fiel. Et au cas où les humeurs des états sont incompatibles, le mouvement s’annule là où l’action et la réaction se valent. Alors survient la chute [Libre] pour éloigner un peu plus du but…




S’aimer,
Ce n’est pas regarder ensemble dans la même direction – n’en déplaise à Saint-Exupéry –, tant que l’essentiel ne sera que d’aller, ou de savoir par où aller.

De connaître par où aller ne sert pas à grand-chose si on ne s’accorde pas à comment aller où aller, si on ne détermine pas avec quoi aller où aller, si on n’évalue pas les chances d’arriver où aller. Trouver les montures adéquates c’est bien, savoir les ménager c’est encore mieux. Et puis, il y a le temps qu’il fait. Et puis, il y a l’état du chemin. Et puis, il y a les rencontres qu’on fait, et puis, il y a celles qu’on manque. Et puis il y a les virages qu’on prend. Et puis, il y a le destin…

S’aimer,
Ce n’est pas regarder ensemble dans la même direction – n’en déplaise à Saint-Exupéry –, tant qu’on n’est pas l’architecte de nos lendemains, et que d’arpenteur-géomètre nous n’avons pas l’étoffe.

La vision, avec le temps, s’épuise et s’assombrit ; l’horizon, avec les ans, se floute et se volatilise. L’aveugle n’a les yeux rivés sur aucune direction, pourtant chaque jour il sait trouver son chemin. Deux malvoyants se tiendront et avanceront à tâtons, faisant fi des myopies et des presbyties du mental. De leurs faux pas ils construiront des théorèmes, de leurs chutes ils élaboreront des axiomes. Et jour après jour ils cartographieront l’itinéraire pour laisser la direction se dessiner sous les balbutiements du quotidien : la voie ne sera plus qu’un ensemble d’empreintes qui reconnaîtront chacun de leurs pas qui s’y imbriqueront…

S’aimer,
Ce n’est pas regarder ensemble dans la même direction.
S’aimer,
C’est bâtir ensemble la direction où regarder, jour après jour, année après année,
N’en déplaise à Saint-Exupéry !


 
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   Brume   
6/1/2018
 a aimé ce texte 
Pas ↑
Bonjour Wancyrs,

Votre poème est resté longtemps dans mon Espace Lecture sans que je ne sache quoi dire. Là j'ai pris le temps de le lire entièrement. Déjà je trouve votre poème assez froid et cette impression que le narrateur cherche à m'embrouiller l'esprit avec ses termes de physicien. Le ton est vraiment trop professoral et cela tout le long de la prose. Ce n'est pas hermétique, c'est juste que je n'arrive pas à m'intéresser à ce que dit ce profe...heu le narrateur. Et arrivée à la fin je n'ai rien retenu.

Ça manque vraiment de chaleur, mais je sens bien que c'est fait exprès. Sûrement une pointe d'ironie ou d'humour que je n'ai pas détecté.
Je n'ai pas été emballée. Désolée.
Mais bon, tout n'est pas négatif puisque j'aime bien ce passage qui est selon moi une vérité:

- " S'aimer,
C'est bâtir ensemble la direction où regarder, jour après jour, année après année,
N'en déplaise à Saint-Exupéry! "

Et je trouve le rythme alerte, ce qui donne du pep's à votre poème. La tonalité a du relief.

   Anonyme   
6/1/2018
 a aimé ce texte 
Un peu
Il n'aurait pas déplu à Saint-Exupéry, sans doute, de vous lire puisque vous ne dites pas autre chose que lui, in fine.

LUI:
'S'aimer, c'est regarder ensemble dans la même direction.'

VOUS:
'S'aimer, c’est bâtir ensemble la direction où regarder'...(ensemble)

Ne vous en déplaise, je ne vois pas de contradictions, tout au plus un développement de votre part qui ne remet pas en question la citation de départ.

Par ailleurs, je trouve très peu poétique votre prose.
Bien écrit cependant, j'ai lu votre texte plutôt comme une tentative d'essai qui n'aboutit pas.

   Anonyme   
6/1/2018
 a aimé ce texte 
Pas
Vous donnez l’impression de faire un exposé de physique ou d’arithmétique (optique, synchrone, sinusoïdal, courbe, parabole, mouvement rectiligne, théorème, axiomes…)
en parlant de l’amour. Ça alors !
Presbytie de la psyché ... Kézako ?
On comprend bien le développement de votre pensée mais …. Où est la poésie dans tout ça ? Je n’en trouve pas un gramme. Si , le titre.
Je pense que votre écrit n’est pas dans la bonne rubrique.
Au plaisir de vous avoir lu

   Anonyme   
6/1/2018
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour !

Alors moi, dans la poésie en prose, ce qui me plait c'est la gratuité totale du propos.

Ici, j'ai pas forcément accès directement à la gratuité, je dois attendre d'arriver à la fin pour trouver cette touche surréaliste qui manque à l'ensemble, malgré l'apparent hermétisme flagrant.

Parce que c'est là que c'est beau... on a tout le long l'impression d'assister à un déni flagrant de l'évidence, à tel point que l'anaphore en devient douloureuse. Comme si le locuteur refusait de se rendre compte de la justesse des propos qu'il rejette.

D'ailleurs, on sent plusieurs souffles (trois d'après mes propres comptes d'apothicaire) : le premier, fort emprunt de sciences : psychologie, médecine, on sent que l'auteur veut induire (ou chercher) une logique scientifique à son déni.
Nous pointer que si c'est scientifique, ça ne peut qu'être correct, mathématique : exact.
On tente de rationaliser l'Amour, par opposition à l'expression de St Ex., très intuitive.

Temps deux : on se détache de la science, de l'exactitude pour laisser place au doute, au questionnement plus émotionnel de l'Amour. On a un locuteur conscient des altérations du sentiment, de la vacuité de la passion. On a un locuteur qui cherche des réponses tout en se sachant pertinemment qu'il fait partie de la réponse, et qu'il n'est pas le seul axe à prendre en compte.

Temps trois : le constat.
Et le refus d'y coller, le besoin d'en faire quelque chose de plus détaillé, de plus personnel qu'une expression toute faite sur laquelle des générations d'amoureux se basent pour "souligner" la beauté et la complexité du voyage en commun qu'est la vie de couple.

Ton texte m'a conquise du début, en première lecture, sans pouvoir expliquer pourquoi et en même temps il me laissait perplexe sur la lecture que j'en faisais. Est-ce que j'approchais de l'intention de l'auteur?
Est-ce que je frôlais le sens du doigt.

Et au final c'est cette incertitude qui me fait apprécier ton poème le plus.

L'universalité n'existe pas dans ta poésie, c'est l'idée même qui l'a inspirée qui l'est. L'axe d'écriture rend l'ensemble (et je me répète pardon) pseudo hermétique, dévie le lecteur du sens premier... et en ça je trouve que l'oeuvre tient sa promesse en pointant une cohérence fond/forme de manière subtile et originale.

Merci et au plaisir de te relire.

   Anonyme   
6/1/2018
 a aimé ce texte 
Pas
Pour ma part, je n'ai pas retrouvé, cette fois, la qualité habituelle de vos écrits.
Le premier volet m'a donné l'impression d'assister à un cours d'optique plus que de parler de " s'aimer "
" les phénomènes d’optique... synchroniser les faisceaux de perceptions ... fréquence initiale inhérente à sa nature primale afin de produire une sinusoïde particulière.... (!!)

Le deuxième ne m'a pas plus séduit.

Quant au troisième qui comporte sept fois le verbe "aller" sur deux lignes ....

L'idée de fond est intéressante mais traitée d'une manière que je trouve inappropriée

A vous lire ultérieurement.

   Marite   
6/1/2018
 a aimé ce texte 
Pas
Bonjour Wancyrs.
Ce texte m'apparaît plus comme une réflexion/dissertation que comme une poésie en prose. Trop de termes du genre : faisceaux de perception ... fréquence ... sinusoïde ... etc. Avec certaines descriptions j'ai eu l'impression de me retrouver dans des cours de physique/mathématiques de fin du second cycle sans aucune des subtilités propres à l'expression poétique. C'est dommage.

   leni   
6/1/2018
salut Wancrys
Je ne te retrouve pas dans cet écrit C'est pour moi totalement hermétique A vrai dire je n'y comprends rien Excuse Ami Leni

   papipoete   
6/1/2018
bonjour wancyrs
Je tâche de ne pas faire l'impasse sur telle ou telle forme poétique ; je lis tout et commente dans la mesure où ma sensibilité se trouve éveillée .
Votre " guide des bonnes pratiques " pour s'aimer, continuer à s'aimer me semble plein de bonnes intentions, mais quelque peu obscures à saisir et vouloir appliquer !
Je ne l'emmènerais pas avec moi, au cas ou ? préférant laisser faire la nature, tout du moins ce qu'il en reste ...
Désolé !

   wancyrs   
6/1/2018

   Vincendix   
7/1/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bonjour Wancrys
J’oublie le classement de ce texte dans la rubrique poésie, pour moi, c’est plutôt un exposé philosophique et c’est dans ce cadre que je l’apprécie.
Je suis d’accord avec l’incipit qui revient à chaque paragraphe, assez d’accord aussi sur votre analyse. Pour moi un couple est composé de deux êtres qui doivent conserver leur personnalité. A partir de bases communes, chacune et chacun peut avoir des idées différentes, la complémentarité est plus souhaitable que la fusion.
D’accord avec votre conclusion, aimer c’est construire un édifice solide avec des matériaux différents et un ciment commun mais il faut surtout entretenir cet édifice quotidiennement, colmater rapidement la moindre fissure, le renforcer au besoin pour résister à l’érosion mais également aux atteintes venues de l’extérieur.
Vincent

   Arielle   
7/1/2018
 a aimé ce texte 
Bien
Sympa ce brin de réflexion sur l'opportunité ou non de porter des lunettes quand on veut former un couple ! Pas particulièrement poétique mais je ne vois (!) pas dans quelle rubrique on pourrait ranger cet art de copuloptiquer.
Je me permets donc d'ajouter mon grain de sel à ta vision, Wancyrs. Je te rjoins assez bien sur ce chemin-là :

"Deux malvoyants se tiendront et avanceront à tâtons, faisant fi des myopies et des presbyties du mental. De leurs faux pas ils construiront des théorèmes, de leurs chutes ils élaboreront des axiomes. Et jour après jour ils cartographieront l’itinéraire pour laisser la direction se dessiner sous les balbutiements du quotidien "

Parce qu'il me semble essentiel que chacun garde sa propre vision des choses. Un presbyte et un myope auront bien plus de choses à échanger en chemin, un champ visuel commun beaucoup plus large et des expériences à partager bien plus riches que n'importe quel couple focalisé sur une unique direction avec une perception visuelle identique qui me laisseraient augurer d'un parcours à l'ennui mortel.

Je n'ai pas particulièrement apprécié les digressions mathématiques de ton texte parce que je suis assez allergique à cet univers. Je trouve que tu aurais pu resserrer un peu ta parabole autour du chemin du couple tel que toi et St Ex le concevez avec vos divergences. mais ce n'est que l'avis d'une amblyope accoquinée à un presbyte ...

   David   
7/1/2018
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour Wancyrs,

J'ai bien aimé le rythme et la forme, et la façon d'aborder le thème aussi, bien que son romantisme soit à coucher dehors sous les ponts à lire le résultat des courses dans de vieux journaux plutôt qu'un énième poème au coin du feu à propos des travers de l'amour (ou du cochon). Il y a le refrain-titre, et plus discrètement les "aller où aller", le é-ou-a psalmodie, enivre la lecture, avec aussi les métaphores ophtalmologique et géométrique, qui m'ont captivé également.

C'est bien de contester la formule de Saint-Exupery, qui en fait ne fait que formuler joliment une banalité : tel un individu qui ferait mieux de se tourner vers l'extérieur plutôt que de s'apitoyer sur son sort, un couple devrait plutôt éviter l'introspection de leurs regards fermés sur eux-mêmes... mwouai, il oublie peut-être un peu l'importance de profiter du bonheur quand il est là plutôt que de passer sa vie à prévoir le pire, comme si on était les vigies éternelles de nos vies, et que le moindre clignement d'yeux pouvait laisser passer une catastrophe.

Mais ce n'est pas le choix du poème, il parle de la difficulté plus grande de s'accorder sur la direction que d'y diriger leurs regards pour un couple amoureux, aussi bien en général que dans l'instant, j'ai compris que ça parlait de l'impossibilité de faire complétement un quand on est deux, ou du moins que c'était bien plus difficile que de faire ce qu'avance Saint-Exupery.

Ça me plait donc ce choix de bousculer une idée reçu en particulier, puisque Saint-Exupery a atteint cet idéal poétique de fabriquer une idée reçue avec sa formule, peut-être bien malgré lui. La poésie fait toujours courir le risque de confondre le beau avec le vrai, et un poème comme celui-là ravive un peu l'esprit.

   Anonyme   
10/1/2018
Maintenant que j’ai eu moult explications et perspectives sur ce poème, je m’en suis venu le relire et le commenter fond et forme confondus

‘S’aimer,
Ce n’est pas regarder ensemble dans la même direction…’

voilà qui est bien dit…vu que chacun ayant sa chacune perception plus ou moins éclairée et de l’autre et de la réalité qui les entoure (les deux qui s’aiment)…on ne peut pas regarder dans la même direction même si on le croit, CG JUNG en parle bien de ces couples complémentaires dans ‘Les types psychologiques’.


'y aura des myopies du mental et des presbyties de la psyché.’

ben c’est tout un chacun ceux-là…en effet je ne connais personne à la vue claire et perçante, je n’ai pas d’aigle parmi mes potes, alors ceux qui sont amoureux, faudrait imaginer qu’ils puissent voir plus loin que le bout de leur nez ?
Oui, ha bon…

‘Le défi de la relation parfaite est de trouver des lunettes adéquates pour déjouer les phénomènes
d’optique de non-dits, ou de synchroniser les faisceaux de perceptions car, chaque homme ou
chaque femme vibre à une fréquence initiale inhérente à sa nature primale afin de produire une
sinusoïde particulière. Puis, avec le temps et les multiples excitations, l’allure sinusoïdale d’origine va se métamorphoser en une courbe complexe, alors de vibrer en phase avec une autre sinusoïde
devient une tâche ardue…’

c’est surtout qu’avec le temps les courbes baissent pour doucement cadrer avec des lignes droites, pas de chance, que ce soient des sécantes ou des parallèles.
Pour moi le défi de la relation parfaite est la pitié.

‘tant
qu’au bout de la route il y a l’objectif, et que le mouvement conditionne la réussite.’

le mouvement de quoi, du couple qui marche ?

‘le mouvement rectiligne
uniforme pour le serein, le mouvement rectiligne uniformément varié pour l’anxieux.’

je ne suis pas sûr que l’anxieux varie plus que le serein, et même pas que ce soit question de fréquence ou d’amplitude, je crois que c’est question de rapport au monde, pas rassurant pour le second, plus sûr pour le premier.

‘Humeurs’ n’est pas très poétique…même pour un lecteur relativement ouvert…

‘Accointance ‘non plus…

‘Noces de fiel’…

‘De connaître par où aller ne sert pas à grand-chose si on ne s’accorde pas à comment aller où aller,
si on ne détermine pas avec quoi aller où aller, si on n’évalue pas les chances d’arriver où aller.’

ma foi, si on devait évaluer avant de s’aimer…ce serait mal barré pour l’amour.

‘Trouver les montures adéquates c’est bien, savoir les ménager c’est encore mieux’

…par chez nous on dit ‘trouver chaussure à son pied…’

je ne vais pas aller plus loin.

À mon avis l’idée est venue de la citation de St Ex. sur laquelle s’est greffée l’idée de construction d’un chemin, à deux.
Cela je le trouve sympa, même si j’aurais à redire sur le côté rationnel de la chose d’une vie de couple réfléchie (architecte).
Mais je crois que cet écrit ne prouve rien, et malheureusement pas mal de développements me semble peu harmonieux, j’en ai relevé quelque-uns…

L’idée de parler prosaïquement de l’amour, en utilisant un langage pseudo-scientifique est louable, et même courageuse, très courageuse, mais à part l’exercice de style, assez casse-gueule, il faut bien se rendre à l’évidence…je ne vois, pour ma part, absolument pas l’intérêt de la chose…

Désolé pour mon commentaire un peu cassant… pourtant j’ai eu toutes sortes d’éclairages…je crois que l’intention est courageuse (je le répète), mais le but, d’éclairer un peu poétiquement le chemin des mortels que nous sommes, question d’amour et de poésie, n’est pas atteint.

   Papillon26   
23/3/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour,

Il me semble ne pas avoir encore lu vos écrit : petite nouvelle sur ce site.

Ceci dit, votre poème est quelque peu déroutant, vos termes scientifiques peuvent sembler obscurs, je les pense provocateurs..., volontairement, sans doute.

J'aime votre analyse, qui peut sembler dérangeante, mais qui est une belle réflexion philosophique et de ce fait écrit pour interpeller.

Je suis tout à fait d'accord avec votre conclusion. Merci pour cet écrit.

Au plaisir.

Papillon 26


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