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Poésie libre
Zeste : Le croisement des regards
 Publié le 16/04/20  -  10 commentaires  -  640 caractères  -  198 lectures    Autres textes du même auteur

Des dangers de la passion.

Le grand amour, le vrai ! Celui qui naît au premier regard. Avec cette peur constante de le perdre, tout ce que vous faites c’est pour l’autre ; c’est d’ailleurs à cela qu’on le reconnaît.
Ce regard sera toujours là, il vous suivra partout !
Alors croyez-moi, si vous le croisez, fuyez ! Le plus vite, le plus loin possible !
De toute façon vous n’y pourrez plus rien, il sera déjà trop tard...


Le croisement des regards



Je suis né d’une blessure ; une exquise égratignure.
Comme un tatouage, un aveu !
Je l’ai croisé, le regard...

Dans les champs de blé, la danse des coquelicots,
les ruisseaux, la chanson de l’eau,
dans les évanescences flamboyantes,
un battement d’ailes,
dans les rires d’un enfant,
la caresse du vent,
dans le tumulte lointain des villes,
les nuits qui brûlent...
Il est partout qui me dit,
au paradis ou en enfer, veux-tu me suivre ?
Prends-moi par la main, ferme les yeux,
là où je t’emmènerai, une rose y est éclose !


 
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   Gabrielle   
23/3/2020
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Quand un regard féconde l'amour....

Un très joli texte qui définit bien ce que chacun a déjà rencontré dans sa vie.

Les yeux sont porteurs d'espoir, d'un avenir peut-être à deux....

La fibre poétique renvoie sur le sentiment amoureux, un ressenti de l'infini, infiniment humain et riche.


Merci à l'auteur(e) pour ce petit rappel en ces temps troublés.



Gabrielle

   papipoete   
16/4/2020
 a aimé ce texte 
Beaucoup
bonjour Zeste
Il balayait les alentours, face à des milliers d'yeux, et dans le miens sa flèche vint se planter ; depuis lors, où que tu ailles, quoi que tu fasses, je le suivrai, ton regard !
NB une marque au fer rouge indolore, mais l'aimant qu'il contient entraînera l'autre... vers le meilleur et vers le pire ! c'est cela aimer !
Chaque ligne porte une image tantôt apaisante, tantôt fulgurante ! Quand on aime, on ne compte pas !

   Corto   
16/4/2020
 a aimé ce texte 
Bien ↓
J'ai du mal à me laisser convaincre par ce poème. J'ai l'impression d'une expression non aboutie sur un thème pourtant avenant.

Cette impression est confirmée par la nécessité d'un long exergue explicatif comme pour donner le sens et l'éclairage que l'auteur n'a pas réussi à introduire dans son poème.

"Je l’ai croisé, le regard..." vient nous rappeler que l'approche amoureuse commence souvent par les yeux. Certes, souvent.

La course "Dans les champs de blé" nous lance dans l'aventure avec moult exemples habituels, sans beaucoup d'originalité.

Le final avec ces trois derniers vers:
"au paradis ou en enfer, veux-tu me suivre ?
Prends-moi par la main, ferme les yeux,
là où je t’emmènerai, une rose y est éclose !"
n'arrive à pas à donner à cet amour un sentiment vraiment partagé.
A mes yeux il est trop unilatéral pour enthousiasmer.

Corto avec quelques réticences.

   Castelmore   
16/4/2020
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour Zeste,

Sur l’exergue
Inutile... ou au mieux beaucoup trop long ...
Quelque chose comme
«  De toute façon, il sera déjà trop tard... »
serait suffisant.

Sur le titre
Trop long ... explicatif ... est-ce le titre d’un article ou le titre d’un poème que vous recherchez ?
« Un regard / Regards ... «  me semblent suffisants ...
Ou alors en décalé :
« Suis moi / Promesses / Là où tu iras ... »

Sur la présentation
Ce texte est pour moi trop dense, trop ramassé
Vous êtes en libre,
cela ne signifie pas que le découpage de strophes autour d’une idée, d’une émotion est interdit !
La respiration du lecteur me semble primordiale - elle commence aussi par son impression visuelle-

J’arrête mes critiques ... qui sont peu de choses à côté des qualités de l’expression
de cet emportement qui saisit,
de cette certitude qui nous pénètre, qui envahit tout l’être, où que l’on soit, quel que soient notre passé, nos rêves ...

Oui un seul regard et l’on sait !

J’ai beaucoup aimé
Merci

   tundrol   
16/4/2020
 a aimé ce texte 
Bien
Mots simples. Mots évocateurs. Mots efficaces. Combinaisons intéressantes, délicates, lumineuses. Mais le danger, c'est la vie.

   apierre   
16/4/2020
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Un très joli poème sur le pouvoir du regard que j'ai bien aimé.Un assemblage poétique efficace avec des mots simples.Un bémol sur la répétition des "qui" ," les nuits qui brûlent ..." Il est partout qui me dit "

   Donaldo75   
16/4/2020
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour Zeste,

J'ai bien aimé ce poème dont la forme respire la spontanéité. Je sais, derrière cette impression et pour donner au lecteur un tel ressenti, il y a du travail, beaucoup de travail de la part de l'auteur. Cependant, je ne commente pas sur la quantité de travail - je laisse ça aux physiciens et autres adeptes de la mesure et de la cohérence - mais le rendu, ce qui amène le lecteur à se décalquer les neurones dans une interprétation, une lecture personnelle de l'oeuvre d'un tiers qu'il ne rencontrera probablement jamais.

Bravo !

Donaldo

   BlaseSaintLuc   
16/4/2020
 a aimé ce texte 
Bien
Le magnifique inachevé, le sublime avorté, beau mais ténébreux.

L'incipit est pratiquement plus long et complet que le poème, curieux.

J'aime beaucoup et en même temps, j'ai un manque, une dent creuse.

Pas de confusion, ce n'est pas tant la "courtitude " du poème qui me chagrine, mais ce qu'il ne dit pas, parfois la suggestion, le non-dit "deviné " fait de l'effet, mais pas forcément ici.

Bon malgré tout ça porte quand même, on devine (un peu) ce n'est pas si mal, c'est du blé en herbe.

   sauvage   
17/4/2020
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour zeste,

j'ai apprécié cette entrée mélodieuse :

"Je suis né d'une blessure ; une exquise égratignure."

J'aime les sonorités, le rythme ici proposé. Cependant, l'utilisation rapproché de "dans" au v4, v6, v8 et v10 aurait pu être certainement éviter ou améliorer selon moi, même si je suis conscient que cela est une volonté de l'auteur(e). Aussi je suis un peu moins séduit par les trois derniers vers.

Au plaisir de vous lire.

sauvage

   Stephane   
19/4/2020
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Croisements de regards dans le tumulte lointain des villes comme une exquise égratignure, cela me parle et m'affole, m'interpelle ; ce regard qui est partout et nulle part, en toutes choses et en tous points, à toute heure des jours et des nuits en nous ramenant toujours à la rose éclose !


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