Lié à ce texte.

Je vais tenter une sorte d'explication de fortune, mais avant tout ;

CÉLÉBRONS !

« Mon » premier texte plumé (même temporairement, je vois déjà les vicieux) depuis que je suis sur Oniris. J’aurai essuyé des refus (les joies du hors-charte et autres), des polémiques (pour rappel ce fut pour ceci et ici, surtout) ou des textes plus ou moins passés inaperçus, que non je n’invite pas à lire ou commenter : il devait bien y avoir une raison. C’est bien… J’ai une plume : j’en fais quoi maintenant ? Je me la mets à l’endroit idoine ?

Pourquoi diable « mon » entre guillemets ? Le remerciement à Lohengrin dans le résumé va au-delà des liens personnels avec elle. La forme, l’ordre des vers et deux mots ajoutés sont « de sa faute » – ou de son œuvre voudrais-je dire : c’est une relecture et une mise en forme de mes mots brouillons jetés sur une feuille. Et j’estime qu’elle a su préserver le sens que je distinguais dans le propos. Pour ça, je la remercie vivement, comme de m’avoir conseillé ou imposé la lecture de Dino Campana (la première partie du résumé).

J’ai déjà remercié les commentateurs par Messages Personnels, je vais plutôt essayer de faire la synthèse de ce que j’ai pu leur indiquer.

Le premier élément est une approche de lecture qui peut être adoptée à l’essai – ça ne doit aucunement devenir la seule approche consentie : comme pour le reste, c’est une voie proposée uniquement. Le « truc » ici serait de prendre le poème à l’envers, remonter la conception.

Ainsi, le début n’est plus le constat de manque, les souvenirs résultants de l’absence ; c’est l’Épinéphrine le nœud du commencement. Notez qu’il s’agit bel et bien d’adrénaline ; molécule utilisée lors d’arrêts cardio-vasculaires, des réanimations suite à un état de choc grave. C’est bien ce sens là qui prime, de façon clinique. Je ne l'acte pas : c'est en partie seulement une figure.

Ont peut donc voir un dénouement sur une NDE (du moins j'aimerais), mais aussi l'absence, je ne le révoque pas le moins du monde.

Je ne vais pas en dire plus, ça serait chiant et inutile.

Note : écrire plus souvent devant un hopital.