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| Beaucoup ↑ |
Luz : Ses mains |
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Un très bel hommage à un père disparu, peut-être depuis longtemps mais, dont le souvenir n'est pas effacé. L'ensemble du poème m'a séduite par l'expression si évocatrice de ce que fut sa vie de labeur. J'ai particulièrement aimé " les rides des saisons et des vents" qui marquaient ces " Feuilles dorées," qui " luisaient aux soleils des prés."
... (19/2/2022) |
| Beaucoup ↑ |
Corto : Nous étions vingt et cent |
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Ce récit poétique a le mérite de nous faire ressentir l'horreur d'une réalité historique si effroyable qu'il est bien difficile, de nos jours, d'imaginer possible de pouvoir vivre une telle situation. J'ai lu beaucoup d'ouvrages relatant les faits survenus pendant cette période, aussi écouté, parfois en boucle, la chanson de Jean Ferrat ... J'ai... (18/2/2022) |
| Beaucoup ↑ |
Rosaura : Littoral |
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Grand plaisir à découvrir ce court poème qui, sans se perdre dans un déluge de descriptions nous transporte dans un lieu dont le souvenir reste magique. Chaque strophe fait défiler les images, simplement mais efficacement. Des vers libres comme je les aime car ils traduisent les sensations et ressentis naturels qui nous habitent lorsque nous so... (18/2/2022) |
| Beaucoup ↓ |
madawaza : L'astragale |
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Cet écrit, davantage poésie libre que chanson à mon sens, m'a séduite en premier lieu par le titre puis par les vers bien découpés, sans ces multiples enjambements qui, parfois, déséquilibrent le naturel de l'expression. J'aurais cependant bien apprécié une ponctuation plus présente dans la seconde moitié à partir de " Ne laisse pas se naufra... (14/2/2022) |
| Beaucoup ↑ |
Cristale : Le lit bleu de l'aube |
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Bien malgré nous, cette description poétique nous entraîne "Dans l’éther infini façonné par les dieux" ... comment résister à l'envol avec ces vers façonnés si élégamment. Une lecture qui nous transporte dans un espace merveilleux qui ne peut que nous séduire. (6/2/2022) |
| Passionnément |
Eskisse : Signes |
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Voici des mots qui traduisent tout à fait ce qui, parfois, à certains moments de notre vie, nous habite sans que nous n'arrivions à l'exprimer même en pensées.
Les "Signes" ...
Séduite dès la première strophe par la précision et la qualité des images évoquées, je me suis laissée entraîner et, en empruntant "la passerelle du vent", j'ai enf... (2/2/2022) |
| Beaucoup |
BaalHasoulam : 21 grammes ou la fin des rêves |
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Cette très longue tirade me fait penser à l'amertume et au sentiment d'abandon ressenti suite à un "pélerinage solitaire". Peut-être une recherche spirituelle précipitée et difficilement conciliable avec la société actuelle. Une belle écriture et un beau souffle poétique qui transmet l'immense déception d'une âme qui, malgré tout, espère encore ... (2/2/2022) |
| Beaucoup |
Nomenoe : Ponctuation |
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En quelques mots le voyage nous est offert sur cette petite île, simple ponctuation sur l'immensité de l'océan. Le dernier vers apporte une dimension supplémentaire au rêve : l'Atlantide ... cette mystérieuse île, immense, disparue dans les flots à la suite d'une éruption volcanique phénoménale il y a sans doute une éternité. Les rationalistes d... (31/1/2022) |
| Beaucoup ↑ |
oiselle : L'aigle sachant |
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Très belle poésie exprimant un cheminement personnel, enfin c'est ainsi que je l'ai ressenti. Les images sont bien évoquées et se dessinent sans difficulté à nos yeux. Toutes les strophes m'ont séduite et il est impossible d'en préférer une. Le titre me laisse cependant un peu perplexe avec ce qualificatif "sachant" pour l'aigle ... Les sonnets... (31/1/2022) |
| Beaucoup |
embellie : La rue |
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Si réaliste cette poésie contemporaine. Sans complication dans l'expression nous avons sous les yeux le spectacle d'une rue de ville en hiver avec la disparité de situation des habitants : ceux qui rejoignent leur abri pour être bien au chaud et ceux qui doivent se contenter du pavé. Le hasard ... le destin ... la malchance ... a fait le tri, co... (30/1/2022) |
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