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| Passionnément |
Robot : Instants de grâce |
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Cela fait plusieurs fois que je lis ce poème, que je tourne autour en me disant qu'il a un charme particulier et que c'est un véritable tour de force car les mots employés sont simples.
Et puis, j'ai eu l'idée de le lire à voix haute et là, tout à coup, j'ai été emportée par le rythme envoûtant, les sons mélodieux qui se font écho, le message ... (14/4/2022) |
| Beaucoup |
Mintaka : La balade éperdue |
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Un joli poème pastoral à l'apparente douceur mais où entrent en conflit les éléments de la nature. Un combat de chaque jour et le même vainqueur.
Le jour, le soleil, la ville sont synonymes d'agitation et le soir qui tombe, d'apaisement, de calme retrouvé sous le regard d'un promeneur "malade de la ville".
On retrouve l'un des thèmes du poème ... (2/4/2022) |
| Beaucoup |
papipoete : Drame |
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Un paysage idyllique en été, en automne et en hiver.
Triste ironie... "Elle conduit au paradis terrestre, la route..."
Derrière cette douceur de vivre, cette poésie, cette beauté des paysages, (référence à la mythologie : Phoebus), se cache l'extrême violence de la réalité.
La nature semble indifférente aux choses humaines.
Même sous... (23/3/2022) |
| Passionnément ↑ |
Miguel : Les roses, tout à coup… |
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Quand une poésie me charme de cette manière, j'y trouve une telle plénitude que la commenter me semble la dénaturer.
Un lyrisme contenu, un raffinement et une élégance qui font penser au "fin'amor", à l'amour courtois. Les références à la mythologie viennent agrémenter un paysage entre réel et métaphore.
La femme rose est une idée repris... (22/3/2022) |
| Passionnément |
Cristale : L'absence |
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Après "la longue absence, "l'absence", six ans après, sans doute définitive.
Ce poème me fait penser aux lettres que les soldats de la grande guerre recevaient de leur épouse, de leur compagne.
Elles racontaient leur quotidien fait de travail, remplaçant avec courage l'homme à la guerre. Le pronom personnel "tu" accentue cette impression. ... (20/3/2022) |
| Beaucoup |
hichem : Abîme |
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Il y a comme une sorte de mise en miroir de la cime et l'abîme.
La cime censée représenter l'espoir n'est que la représentation du gouffre, du néant.
Où que nous allions, quoi que nous fassions, il n'y a aucune issue possible. Tout n'est que leurre, amertume, désespoir.
Le haut et le bas ne sont qu'une seule et même vision de notre exi... (16/3/2022) |
| Passionnément |
Miguel : Tes prochaines amours |
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Chaque strophe porte cette opposition entre les désirs du cœur toujours neufs sur lesquels le temps n'a pas eu de prise et la réalité du corps, de l'enveloppe qui a subi les outrages des années. L'intérieur et l'extérieur, le cœur et le corps, l'adolescence et la vieillesse sont en conflit.
Une vraie lucidité qui cause beaucoup d'amertume ... (23/2/2022) |
| Beaucoup ↑ |
Miguel : Que Dieu |
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L'idée développée suit son petit bonhomme de chemin tout au long du texte, étayée d'arguments qu'on ne peut réfuter tant ils sont solides et justes et convaincants, (ou persuasifs) à moins que ce ne soit le charme des vers bien balancés qui opère.
Une syntaxe impeccable, une prosodie qui ne l'est pas moins et des octosyllabes en fin de strophe... (18/1/2022) |
| Beaucoup ↑ |
Cristale : L |
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On a l'impression d'un ange auquel on a coupé les ailes. Ici, le rejet social est fait de harcèlement, d'exclusion, même de la famille.
La victime qui revendique son identité le fait de manière douce, sans pathos. En réalité, derrière cette plainte à peine audible se révèle une violence inouïe, celle des autres, de la société.
L'adolesce... (17/1/2022) |
| Beaucoup |
Virou64 : Et maintenant… |
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Un poème agréable à lire. Doux-amer comme les sentiments qu'éprouve le locuteur entre regrets et résignation raisonnable.
Un mélange de registres de langue qui détonne un peu : "elle m'avait lancée", "faute à la ménopause", "je rumine", tournures familières, et puis des formulations lyriques empreintes de noblesse comme "cruel souvenir" ... (8/1/2022) |
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