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Bien ↓ |
BAK : Troubadours |
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Le rondeau redoublé, au charme désuet.. j'en aime beaucoup l'esprit et les tournures..
Le fond emporte dans un ailleurs fort agréable, par un langage adapté..
Mais il aurait gagné sa musique, tout comme pour toute autre forme classique, par le respect de la découpe.. Les décasyllabes se déclinant, en classique, dans sa majorité, sur du 4+6... (10/12/2009) |
Bien |
LEVENARD : Saint-Michel-en-Grève - Mortes saisons |
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Sur le fond, j'aime beaucoup l'atmosphère rendue de la vie au ralenti..
"La mer ne bouge guère que pour lisser le sable"
"Et va de l'un à l'autre du pas de l'officiante"
(Une solennité élégante..)
Mais la mer ne vivrait-elle qu'aux flots de ses visiteurs, ou au rythme de leurs saisons ? On la ressent soumise ici..
Est-ce l'aspiratio... (10/12/2009) |
Bien |
thea : Une aubade inconnue |
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Je l'entends comme une lettre, en correspondance 'romantique', c'est ce qui fait que j'en aime la "simplicité".. sans chercher plus loin où se cache la puissance, sinon dans l'intention du sentiment...
Quelques clichés bien sûr, mais l'ensemble s'écoute agréablement..
Le style est adapté, la métrique ne souffre de reproche..
Un hiatus i... (7/12/2009) |
Bien ↑ |
wancyrs : Le sablier |
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La forme bien sûr en intelligence avec les mots qui coulent en tranches de vie.. même si l'exercice s'est déjà vu, c'est le contenu qui gagnera sa 'nouveauté'..
Le vers d'entame et le vers final qui se collent au fond, d'évidence, "allégresse ou peine" "regret ou aigreur ?"..
"Engrènement irréversible broyant" (oui, d'une réalité par tro... (7/12/2009) |
Bien |
ristretto : Les vieux |
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Sur l'écriture, je n'ai rien à dire, j'ai apprécié les images, le "diaporama".. mais sur le fond, je me suis effrayée..
C'est un tableau noir, sur lequel écrire avec des cris.. la craie s'effacerait trop vite ?
Ce fond me dérange, et j'aime ce qui dérange, peut-être pour nier certaines "évidences", refuser de les accepter, plus que de les ... (26/11/2009) |
Beaucoup |
Arielle : Baiser du soir |
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Il n'est besoin de longues tirades pour concentrer l'émotion dans un texte.. La preuve en est ici..
J'avais lu, que l'on me le pardonne, "dans la main d'une veille" que j'avais plus qu'apprécié.. Je constate le "vieille" et, tout comme Alauda, ça m'a un peu cassé l'effet final..
Il n'en reste pas moins un superbe ressenti.. (26/11/2009) |
Beaucoup |
Fanch : Je suis d'un ordinaire |
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Un ordinaire accommodé judicieusement, dans le sens de la profondeur réflexive..
J'ai buté un peu sur les "Et" trop rapprochés, mais ce n'est qu'un détail, rajouté à l'autre détail de devoir l'entendre en néo-classique.. Une fois les notes rajustées au style, la musique est élégante..
Le deuxième quatrain m'est un must dans le tout, tout c... (26/11/2009) |
Bien ↑ |
sentimentic1 : Danse exquise |
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De la simplicité peut naître un beau poème.. C'est aussi cela la force de la poésie, de se laisser aller, sans ne chercher plus loin que ce que les sens imposent, d'eux-mêmes, sans les forcer..
Quand bien même il peut s'entendre des 'clichés', l'ensemble est à vivre d'un seul élan..
Le vers final, n'est, comme l'entendait Domi, peut-être p... (26/11/2009) |
Bien |
Pluriels1 : Passion des Cotons Blancs |
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Le florilège des sens... Des images de toute beauté, comme celles-ci par exemple : "Tu as l'odeur du jour sur le plus chaud du cou..." (j'ai retiré le 'nu' qui dérangeait mon oreille ;)
"Et ma lèvre s'invite dans l'ombre qu'elle parfume"
Toujours cette même consistance, profonde et sensuelle.. Mais.. ainsi que je (te) l'avais dit, j'ai peur ... (26/11/2009) |
Bien |
Lapsus : Parfum de lys et fracas de métal |
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J'ai commencé l'écoute tièdement, j'avoue..
Et puis, je me suis laissée entraîner... hauts les mots, heaume subtil heaume...
La villanelle qui s'impose en clin d'oeil, sur des heptas...
Ce vers-ci m'accroche un peu la langue par contre :
"En l'Astrologue on a foi
Une reconstitution surprenante que j'ai appréciée.. (26/11/2009) |
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