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| Beaucoup |
Mintaka : Un soir sur cette plage |
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On a envie de dire à ce timide amoureux :"Eh, décide-toi, Ducon ! et ponds-nous un poème sur le triomphe de l'amour !" Mais on ne le fera pas parce que la délicatesse de ces beaux vers nous inspire le respect et la sympathie. Belle trouvaille que l'emmêlement des ombres qui évoque la fusion rêvée des corps.
Une association d'idées me ramène à ... (30/1/2022) |
| Beaucoup ↑ |
Curwwod : Impression d'un soir d'été |
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Magnifique ! Quels beaux vers, quelle sublime évocation ! On pense à la fois à Lamartine et à Baudelaire, entre autres, mais il y a là, aussi, un ton très personnel, très original, et surtout, j'y reviens, on est sous le charme de ces vers mélodieux et tendres. je n'use guère du "passionnément", que je juge un peu hyperbolique, c'est pourquoi ... (30/1/2022) |
| Beaucoup |
apierre : Ce matin |
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On pense au vers de Victor Hugo : "Mais vois-tu, je t'embrasse et me voilà bien aise." La présence de l'être aimé transfigure tout, à commencer par le quotidien le plus maussade. Ce poème donne cette leçon de bonheur avec simplicité, avec une grande économie de moyen il déploie une grande force. (29/1/2022) |
| Bien ↑ |
papipoete : Chère petite fleur |
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Ce poème a toute sa place en poésie contemporaine. Je ne sais plus comment s'appelle cette forme, avec le premier vers qui descend de strophe en strophe, mais c'est très musical et esthétique. Le thème est charmant et traité avec délicatesse. Un bien joli petit poème. La seule faiblesse que je lui trouverais serait le rythme changeant des décas... (28/1/2022) |
| Beaucoup |
Isa : Liberté |
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De fort beaux vers, une atmosphère lumineuse, rafraîchissante, et un sentiment de liberté qui fait du bien. Je regrette seulement que le poème ne s'achève pas sur ces sommets, et qu'il nous fasse redescendre dans l'obscurité et l'abdication de la terre (ce mot, "abdiquer", avec sa connotation négative ne me semble pas le plus approprié ; le soir... (27/1/2022) |
| Bien ↑ |
emilia : La magie de l'hiver… |
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Je ne vois pas ce qui empêcherait ce poème de figurer en classique ; la synérèse à "diamants" ne me semble pas rédhibitoire, et s'il n'y a pas alternance des rimes entre les quatrains 2 et 3, c'est parce que c'est la même rime, comme dans le sonnet.
Le robe d'hermine fait un peu cliché, mais l'ensemble est constitué de vers très mélodieux, lége... (26/1/2022) |
| Un peu ↑ |
Cristale : Le lit bleu de l'aube |
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Je pense que, pour s'assouvir au sein d'Ève, il faut se lever tôt. Je croyais qu'il n'y avait qu'Adam qui avait eu ce privilège, pour le plaisir, ou leurs enfants, pour leur survie. On est en plein onirisme, sans indice spatio-temporel (car la nuit de cet univers est-elle notre nuit ?) C'est l'aurore qui parle ? Ou une vestale ? À qui parle-t-el... (26/1/2022) |
| Pas |
Cyrill : Généalogie à queue de cochon |
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Quel bel exemple d'acrobatie verbale ! Que de circonvolutions pour dire une chose simple ! Que d'obscurités ! C'est à ce point qu'on droit comprendre ce qui se passe dans cette famille, mais on n'en est pas sûr. Tous les -"à côté" du point central nous enfument davantage encore. La grammaire, par endroits très "libre", n'aide pas. (25/1/2022) |
| Bien |
Otoot : La boîte à mémoire |
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Il semble que la mémoire de l'orthographe soit également bien évaporée. Peut-être reviendra-t-elle avant la publication. Il y a dans ce texte quelques belles images émouvantes, mais aussi, me semble-t-il, beaucoup de choses inutiles, de "remplissage", comme on dit. L'ensemble aurait gagné en puissance à être plus concentré. (25/1/2022) |
| Bien ↑ |
Lebarde : La colère |
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C'est joliet, un peu naïf, un peu enfantin, mais au moins ça ne manque pas de fraîcheur. Les symptômes de la colère sont décrits avec une sorte de précision clinique, mais il y a dans tout cela une distanciation qui la rend presque sympathique ; même si les divins exemples cités ici nous rappellent que, péché ou pas, elle est mauvaise conseillèr... (25/1/2022) |
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