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Beaucoup |
Charivari : Entre-cils |
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C'est vrai, ça rappelle "La Foule" de Piaf, mais ce n'est en aucune façon du plagiat.
Ecriture nouvelle, originale, sensible, sur le regard, la séparation; l'oubli qui n'en n'est pas un.
Cet Entre-cil nous porte aux différents instants d'une relation intense, intense au-delà de sa fin.
Bien écrit, de très belles images, tout s'enchaîne nature... (9/12/2012) |
Beaucoup |
chris : Malaise |
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Synthétique, ramassé, ce poème nous dit tout sur la destruction subie telle une punition brutale, injuste, incomprise.
"L'éraflure nette, un jour, comme cela,
pour rien, un détail,..."
"La fêlure en une folle désespérance..."
"La blessure qui efface la paix
d'un sommeil ravi..."
C'est fort, dépouillé, avec une sincérité de vécu.
J'ai comp... (6/12/2012) |
Pas ↑ |
Vincent : J'irai |
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Je l'ai relu cinq fois en des jours différents, pas moyen "d'accrocher".
Il ne se passe rien, sauf le récit du souhait "d'aller chanter vers son public".
Beaucoup de lieux communs dans cette description, qui pour moi reste "plate" et ne "m'envole" pas... ce qu'on attend normalement d'une chanson ou d'un slam.
Désolée! (5/12/2012) |
Beaucoup ↑ |
pieralun : Au censeur de sonnets |
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Excellent!
Un bel humour, qui je le souhaite sera partagé par le Censeur des Sonnets.
Merci pour ce petit régal. (5/12/2012) |
Beaucoup |
ASTEROIDEB612 : Un serpent d'écailles frileuses |
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Quelques lignes symboliques sur l'écriture: la difficulté de l'animal à faire sa calligraphie, et en son ventre l'inspiration...
Hermétique, mais pas autant que cela.
A la troisième lecture, cette poèsie n'est plus qu'une lumière: les écailles, les yeux pailletés, la lune, la broderie d'étoiles; dans laquelle se meut doucement la gestation d'u... (4/12/2012) |
Beaucoup |
irisdenuit : Hier il jouait encore |
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"Un enfant...referme sa main sur un lourd désir de vivre".
L'hôpital, milieu de vécu difficile, et combien plus dur pour un enfant. Pourtant, ils ont un courage surhumain ces enfants hospitalisés.
Toute l'ambiance est décrite en touches claires, sans tristesse.
C'est juste, serein, vrai, avec en point d'orgue l'espoir que seuls les enfants pe... (3/12/2012) |
Beaucoup |
irisdenuit : Coup de poème dans l'eau |
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Sobre, dépouillé, sans platitude, que voilà un beau poème.
Constat clinique du vide qui nous fait face quand l'autre s'en va.
Toute une tranche de "non-vie" s'ouvre: "Il ne reste rien, rien que le tic-tac de la pendule dans les veines de mon quotidien": quelle force dans cette phrase!
"J'écris pour ne pas disparaître", (combien sommes-nous à ... (2/12/2012) |
Bien |
Titato : En tout ce beau monde |
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Un kaléidoscopes d'images, de ressentis, de sensations mêlés, qui par sa diversité énumère un peu "à la Prévert" l'hétérogène de ce monde.
D'une lecture agréable, on ne peut que remarquer la pirouette finale où l'auteur s'en va jouer aux cartes avec une salamandre qui peint des fleurs sur un papier de lune.
D'un ton léger, le texte est bien "... (30/11/2012) |
Beaucoup ↑ |
thea : Mots dits |
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Colère dévastatrice ou réparatrice? Si le silence lui répond, les mots sur sa table ferront un bouquet de fleurs séchées...
Tout est condensé en si peu de mots, juste ceux qu'il faut pour un beau saccage.
C'est un uppercut qui laisse "KO", comme le téléphone raccroché.
C'est dense, juste, ça frappe fort!
Bravo, on en redemande. (26/11/2012) |
Beaucoup ↑ |
Titato : Ode à celle qui n'est pas née |
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C'est toute la tendresse préparée pour un espoir pas arrivé.
La délicatesse de chaque scène interdit la porte à la tristesse.
Ne reste que le regret de cette "belle au bois dormant"...absente; mais à laquelle on raconte avec des mots d'enfants de vraies histoires d'enfants.
Titato, votre princesse pas née ne pourra être oubliée, vous lui avez... (26/11/2012) |
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