|
|
| Michel64
30/3/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Ce texte sans grandes prétentions philosophiques et sans se soucier de réalisme est plaisant à lire. Je verrai bien une chanson pour le faire vivre.
Le "mêmeu" au vingtième vers appuie encore le côté humour de l'ensemble. Les vers à sept pieds donnent un rythme rapide, un peu paradoxal avec le sujet il me semble. L'escargot n'avait jamais eu droit à son poème? Voilà qui est fait. Au plaisir de vous relire. |
| David
31/3/2017
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour,
Le thème et la faconde m'ont plu, c'est un peu naïf, "idiot", mais sans excès, et c'est plus une suite de couplets qu'un développement qui mènerait une petite histoire. Donc j'aurais ri et chanté en choeur à l'âge des colo, mais pour le panthéon de la chANson frANçaise, c'est quand même trop guilleret :) |
| Anonyme
5/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
|
Je trouve à ce texte des accents de Brassens ! Notamment
Mais celui qui, sans vergogne, S’en prend au roi de Bourgogne N’est qu’un fieffé saligaud : Laissons vivre l’escargot. Une déclinaison plaisante et légère d'un animal effectivement peu célébré, alors que, hein ? Il n'est pas mignon avec ses petits nieunieux pédonculés et son accouplement double entre hermaphrodites ? Je pense que le rythme d'heptasyllabes est particulièrement approprié au ton de ce poème qui avance son pas sans baver. Tiens, une mention pour Et jamais Victor Hugo Ne chanta les escargots. très juste et drôle ! Peut-être serait-il avantageux d'écrire Et jusqu'à Santiago Cela imposerait de prononcer en diérèse "Santi-ago", ce qui aurait à mes yeux l'avantage de renforcer le côté drolatique. Bien sûr, c'est vous qui voyez. |
| luciole
6/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Après une telle lecture on ne peut que baver d'admiration devant le talent de l'auteur.
Absolument irrésistible. |
| papipoete
9/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
contemporain
Les sujets de versification attirent plus souvent la larme à l'oeil, que le rire en alarme sonore ! Ne serait-ce que pour cela, je soutiens votre lutte auprès de l'escargot qui passe sa vie à en baver ( en naissant, en copulant en mourant ) . Pourtant, n'a-t-il pas quelque mérite ? il est gentil et amuse les plus petits ! Aucun artiste sur lui n'écrivit, n'en fit sculpture ou scénario cinématographique . En outre, vous maniez la langue française de belle façon ( souventes fois ... ) et d'autres formules, comme celle où l'auteur recroquevillé dans sa coquille, parle de son alter ego ) papipoète |
| leni
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Voilà une main tendue à un hermaphrodite Enfin un poète s'occupe de lui Son avenir entre l'ail et le persil n'est guère enviable Les petits gris sont délaissés et moins convoités
C'est drôle et soigneusement écrit J'aime beaucoup ce passage Ces petits êtres cornus Gagnent à être connus, Et bien qu’assez peu rapides, Les bêtes hélicoïdes Toujours prêtes disent : "Go ! Allons-y, foi d’escargot !" Un bon moment RESTE à choisir le vin!!!! Merci Rendez vous après la oluie Salut cordial Leni |
| Arielle
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Dorénavant je regarderai d'un autre oeil les serpentins nacrés que dessinent pendant la nuit les petits cornus sur les vitres de ma véranda.
Sans ail ni persil, mais le sourire aux lèvres, j'ai suivi les couplets de cette petite chanson qui m'a régalée comme une friandise. Les heptasyllabes chantants, le refrain qui se répète avec une légère variante, l'humour sous-jacent et la désinvolture de cette rime "M'émeut/mêmeu" donnent à l'ensemble un petit air guilleret qui tranche agréablement avec le caractère prétendument apathique de l'animal. Merci pour cette réhabilitation ! |
| Proseuse
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Archibad,
Voilà un poème bien .. militant! Il fallait bien, c' est vrai qu' un poète se penche sur le sort du gastropode! bien que je me souvienne avoir appris à l' école, une histoire d' un escargot se rendant à l' enterrement d' une feuille morte .. je ne me souviens plus dans l' instant de la suite !! Merci pour cette bien agréable lecture |
| plumette
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
je les aime bien les escargots qui sortent par temps humide sur les murettes qui bordent le chemin, et vous leur rendez un hommage plein de tendresse et de malice.
j'aime moins les strophes 4 et 5 et pour moi, votre texte ne souffrirait pas de cette coupe un peu sauvage! J'aime bien l'identification de la dernière strophe, ce rapprochement entre l'animal et l'humain. Plumette |
| Anonyme
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour archibald. Hormis Prévert, je ne vois qui, à part vous, a rendu hommage au Roy de Bourgogne. Il y avait un manque et vous l'avez comblé... Bravo !
Alors que j'en étais resté au gastéropode, j'ai découvert le terme "gastropode" avec surprise, allant même jusqu'à subodorer une erreur de l'auteur, mais il n'en est rien. Jolie suite de quatrains heptasyllabiques pas toujours faciles à maitriser... Bravo et merci... pour eux et pour moi ! |
| Anonyme
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'ai bien aimé ce plaidoyer en faveur de l'escargot avec cette intention " d'édifier la jeunesse ".
" Il serait hermaphrodite ? Tout cela n’est que ragots " l'humour est bien présent dans ce texte. Par contre "Je conçois bien volontiers Qu’on chasse le sanglier " pourquoi bien volontiers ?.... |
| Ioledane
25/4/2017
a aimé ce texte
Bien
|
J'aime bien le ton 'gentillet' et humoristique de ce petit texte sans prétention, en hommage au brave gastéropode (au passage, je ne savais pas que l'on pouvait dire aussi "gastropode").
Pas juste pour le pauvre sanglier, en revanche ! La rime "m'émeut" / "mêmeu" m'a fait sourire. "Souventes fois", "jusques à" : ces formes très désuètes s'intègrent sans doute à l'ambiance voulue, néanmoins je trouve qu'elles font un peu trop artificiel. Bonne idée d'avoir terminé par cette notion d' "alter ego". J'apprécie aussi l'emploi des heptasyllabes, qui donne une allure vive et enlevée, en agréable rupture avec le rythme "peu rapide" de ce petit animal. |
| Anonyme
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Poème (ou chanson) plaisant(e), drôle, inventif, que n'aurait pas désavoué Brassens...
J'admire notamment les rimes en "go", pas forcément faciles à trouver... Bravo ! |
| TheDreamer
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Voici un thème poétique inattendu et pourtant plein de charmes. Il n'est pas si aisé d'écrire sur la nature.
Un poème naïf et plein de sourire qui ne se prend pas au sérieux. Le choix de l'heptasyllabe (hormis le vers : "De leur pas de gastropodes" en octosyllabe) me plaît. Je sais que Robert Desnos dans son recueil "Chantefables" l'a brièvement célébré. |
| Anonyme
25/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Un plaidoyer pour l’escargot…j’adhère… ! d’autant que j’ai même un faible pour les sangliers…vivants s’entend… c’est dire.
Je me suis beaucoup amusé à lire vos petites trouvailles pour décrire ce superbe animal craintif et délicat que parfois j’aide à traverser des routes tant il mêmeu aussi. Corbi’ |
| Absolue
25/4/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Poème très agréable à lire dans l'ensemble! J'aime moins la rime "connus-cornus" et certains termes que je trouve peu chantants
(mêmeu, souventes). Le passage sur Victor Hugo m'a fait sourire mais il y a quand même un poète qui a mis cette petite bête à l'honneur: Jacques Prévert et "La chanson des escargots qui vont à l'enterrement"!. Je trouve la deuxième strophe particulièrement bien tournée et la chute me plaît aussi. En résumé, le côté bucolique, tendre et humoristique de ce poème m'a fait passer un bon moment! |
| SaintEmoi
26/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Poème naturaliste léger et naïf qui m'a bien plus. Il accroche immédiatement le lecteur.
Et si la fin est effectivement un peu trop entendue (l'auteur comme son sujet se cache dans la coquille), le chemin pour y aller est agréable Merci |
| Vincendix
26/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour Archibald,
Proposer un poème pour glorifier l'escargot, pourquoi pas, cela change de l'actualité "baveuse" quoique qu'il y a un point commun: les salades. Bien écrit, dans une forme qui "glisse" bien, sans coquille. L'escargot est plus apprécié que la limace et pourtant son corps dénudé est moins beau, allez comprendre! Vincent |
| jensairien
26/4/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Sympa cette poésie. il y a indéniablement du Brassens dans ces vers. La fin clôt très bien la chansonnette. Sans elle, ce texte aurait bien moins de force.
|
| Cristale
26/4/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Archibald,
Comment veux-tu, puisque tu publies en contemporain : que je déniche une coquille, un hiatus, une cheville en écornant ta prosodie et que bave ma jalousie ? Cagouille glisse sur sept pieds et, ma foi, je dois l'avouer, comme des petits ronds dans l'eau ton poème a pris du rondeau la spirale qui le rend beau. Tu n'as pas pris grands risques avec cette chansonnette très mignonne, cet escargot ne sera pas hors piste :) Cristale |
| BeL13ver
27/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Poème distrayant, avec de bonnes images, et un humour décalé et convaincant. J'aime beaucoup le troisième sizain.
L'ensemble se lit d'une traite, et égaie la journée d'un sourire. Ça fait du bien aussi de manquer de sérieux en poésie, surtout quand l'ouvrage est rédigé de cette sorte. J'aime beaucoup ce petit hommage à l'héroïque gastéropode. |
| Anonyme
27/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
Réjouissant, ce petit poème qui se lit si facilement et qui fut sans doute écrit avec davantage de difficultés. Si j'étais tombé sur ce texte en "espace lecture", j'aurais identifié son auteur grâce à la nonchalance de ce passage : "Cette bestiole m’émeut Par son courage, mêmeu Si brave parmi les braves," Je goûte aussi la cohabitation de vocables vulgaires (au sens littéral du terme) : saligaud, gaillard, ragots, etc., et savants : hermaphrodite, hélicoïdes, gastéropodes, ... ; ce qui fait tout le sel du poème. Avec, évidemment, le parallèle esquissé en clôture. J'ai en mémoire un poème de Desnos sur le sujet : "J’aime qu’il tombe de l’eau, Voilà mon tempérament." ...et c'est tout : en effet, cet animal si commun semble avoir été bien oublié par les artistes. J'avoue, pourtant, que je continuerai à le croquer dans sa sauce : que l'auteur me pardonne ! A. |
| Raoul
27/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
L'escargot, cette bave bête, mérite bien cet hommage !
C'est délicieusement construit car il y a là de la précision, de la dérision et de la folie douce rigoureuse maintenue de bout en bout. Je souris encore du "mêmeu". Le côté "Gloire"à l'escargot" est malicieux, piquant et j'attends avec impatience un "Lombric" ou un "Cloporte" versifié de votre cru. Un régal, mais sans ail et sans persil. Merci. :) |
| Curwwod
10/5/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
|
C'est amusant, plein de verve, décalé et change avec bonheur de toutes les gravités, sans doute louables, qui constituent notre quotidien. Vous avez bien raison de la défendre cette pauvre petite bête à cornes qui, comme les vampires, craint l'ail et a inventé le mobil home...
Merci pour ce bon moment et votre jolie écriture. |
| Anonyme
11/5/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Oui " les escargots sont des invertébrés, après un détour l'on peut voir tous les animaux qui sont dans la plainte, mais qui terminent quand même dans nos assiettes ! cela me laisse perplexe ! Surtout dans le sud de la France on aime bien escargolade , et cela me rappelle des souvenirs avec mes grands parents, je n'en mange plus maintenant...
|
