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Poésie libre
daphlanote : Sai( )ne
 Publié le 30/08/17  -  19 commentaires  -  835 caractères  -  453 lectures    Autres textes du même auteur

Réécriture - 2009


Sai( )ne



J’ai des mots, la peau sur eux, les os.
J’ai des os, la peau sur eux : des mots.

Laisse l’empreinte à l’artère, poinçon-virgule intensif.
Instance trois, ventricule à l’essai,

« bats mon cœur, bats »


De la scène, les ombres, la glace et le miroir rayé.
Côté court, tourne à rien (on a l’express). Rit. A. Des. Avant ça. Côté nord serpente le sens, des marches fondues aux murailles inexpensives. Côté jardin, les comédiens, clair ô pépier troués au-des-sus de leurs têtes.
De la cire, mannequins s’étalent

*
démembrés [La conscience gît, inerte].
*__*____*__*__*__**_*





___________________________________________
Ce texte a été publié avec des mots protégés par PTS.



 
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   Donaldo75   
30/8/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup
(Lu et commenté en EL)

Bonjour,

Il m'a fallu plusieurs lectures pour rentrer dans ce poème, et encore je ne suis pas certain de l'avoir cerné. Pourtant, il me plait. Je le comparerai à la musique de Pierre Boulez, atonal, structuré, rythmé.

Atonal:
Le refrain « bats mon cœur, bats » donne une fausse tonalité à l'ensemble qui n'est pourtant pas décousu.

Structuré:
"J’ai des mots, la peau sur eux, les os.
J’ai des os, la peau sur eux : des mots."

Rythmé:
La ponctuation, le côté instantané des évocations fugaces.

Il est théâtral, de surcroit. Presque un "no" japonais.

Bravo !

   Anonyme   
17/8/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
Je suppose que rien ici n'est laissé au hasard et que chaque mot, chaque sigle ou signe de ponctuation à ici sa raison d'être.
Ce poème ressemble presque à équation mathématique.
Dois-je chercher un sens dans ce texte ? C'est la première question qui me vient.
Il y a ceci dit un contexte plutôt "organique" dans ce poème qui laisserait peut-être entrevoir une piste.
Mais je ne m'y aventurerai pas car en poésie j'aime quand ça me va droit au cœur.

   Anonyme   
30/8/2017
 a aimé ce texte 
Pas
J'ai lu, relu, et re relu ...

Mais je n'arrive pas à entrer dans ces mots, ils me tiennent à
distance. Leur formulation "Rit. A. Des." me laisse perplexe, de
ce fait, mon émotion est hors d'atteinte.

J'aime assez à retrouver un petit quelque chose qui me fait vibrer
dans un écrit, ici ce n'est pas le cas. Le sens me reste un total mystère, malgré toute ma bonne volonté.

   Anomel   
30/8/2017
 a aimé ce texte 
Bien
J'essaye d'abord de comprendre le titre : que signifient les parenthèses ? est-ce une plaie sur le mot "Saine", ce qui serait oxymorique. Ou est-ce un "G", ce qui rendrait le mot "Saine", "Saigne"... Et, c'est encore oxymorique.

Le premier distique est construit selon un parallélisme syntaxique ainsi qu'un chiasme qui met en miroir les mots et les os. Pourtant il y a une irrégularité : dans le premier vers nous avons une virgule, dans le deuxième, deux points. Est-ce la une façon de montrer la symétrie apparente du corps humain qui ne l'est pas vraiment? Nous constaterons aussi l'homophonie entre 'mots' et 'maux', ainsi il y a une dimension physiologique à la poésie qui fait écho au titre. Ce serait aussi une façon de montrer l'être fait de chair, et sa manifestation poétique qui elle est faite de mots et de sonorités.

Le second distique est lui beaucoup plus sombre: artère, ventricule puis l'ordre donné au coeur "bats"... physiologiquement, cela semble porter un sens ; textuellement, un peu moins. J'attendrais dans le doute et l'incompréhension une explication que pourraient apporter d'autres commentateurs.

La troisième partie, à la syntaxe complètement éclatée n'est pas non plus évidente à commenter. Il y a une cartographie du corps humain ( ou de quelque chose en tout cas) qui serait perçu comme une scène théâtrale : Côté cour(t) et côté jardin. Il y a certainement tout un sens à tirer de l'analogie entre le côté gauche et le coeur. Mais pourquoi ajouter un "t" à cour? pour couper court aux sentiments qui symboliquement siègent dans le coeur?

... puis mon cerveau bloque. Je ne sais pas trop quoi penser de ce poème que j'aime bien. Peut-être l'aurais-je plus aimé si j'avais mis plus d'efforts pour le comprendre.

   Anonyme   
30/8/2017
Bonjour Daphlanote,

Vous êtes suffisamment intelligente pour savoir que vous perdrez bon nombre de vos lecteurs. Aussi j’attends de ceux qui ont aimé qu’ils vous défendent par un autre slogan que : « je sais pas, j’ai rien compris, mais j’ai aimé ». Car vous êtes un peu pingre, on ne sent pas chez vous l’envie généreuse de donner de l’Art aux cochons. Alors oui, je préfère me vautrer dans la fange populaire pour trouver ma nourriture. Au moins je sais ce que je mange.

Je vous respecte énormément, Daphlanote, je vous ai croisée à maintes reprises. Ainsi donc, ne voyez aucune ironie dans mes paroles. Je vais tâcher de vous expliquer le cheminement de ma lecture, puisque c’est bien la seule chose dont je sois sûr.

Mon premier sentiment a été celui du rejet visuel, périphérique : je refuse la ponctuation dans la poésie libre, c’est le crapaud du diamant. Chez vous je trouve même ça chichiteux, un peu condescendant, du genre : « bon, je vais vous laisser quelques miettes de balises, parce que sinon vous allez vous noyer ». Je confirme : on peut se noyer dans un verre d’eau.

J’arrive vite à la fin, dans une sorte de brasse coulée, et là je lis le mot CONSCIENCE. Ah ? Ah ? Ah ? me dit la mienne. Intéressant. En plus, le mot est séparé de ce qui précède par un astérisque *. Il y aurait donc un changement de registre narratif. On n’est plus dans le JE, mais dans le ELLE (la conscience), que vous nommez enfin, pour nous donner la clé du premier narrateur.

Et là, je reprends tout à zéro, car aujourd’hui, lorsque je lis le mot conscience dans un texte, je ne peux m’empêcher de penser au brillantissime concept de « courants de conscience », développé par Nabokov à propos de sa lecture de l’Ulysse de Joyce. Car il y a du Joyce dans votre écriture. Lisez Nabokov et vous pourrez lire Joyce, ai-je envie de dire aux quidams qui reviennent de la plage. La narration de Joyce n’est que l’expression de nos successifs courants de conscience. Ainsi, lorsque je dis je t’aime à ma maîtresse, ma conscience charcute cet amour en me rappelant la liste de courses pour ma femme. Ce qui donne à la lecture quelque chose du genre :
« Yvette, je t’ai acheté une bague, putain, elle en pas marre des yaourts ? il lui faut vraiment tout ça ? »
En ayant si possible charcuté le lexique, car le courant de conscience est bien plus rapide : « Yvette bague, putain yaourts tout ça ? »

Et donc, une fois qu’on a compris le concept, on est moins con de ne rien comprendre. Et c’est comme ça que je vous imagine écrire.

Reprendre donc votre texte en se disant que c’est la conscience qui parle et décrit le cheminement de la parole, ouvre enfin un espace de compréhension possible. Le titre dirait-il que les mots ne font que cerner la conscience (matérialisée par le vide au milieu) ? Je dirais presque qu’en débattre relèverait du CP :)

Quand aux *__*____*__*__*__**_ , je ne sais pas, sans doute les dernières pulsations de la conscience.

Pardon, je n’arrive pas à trouver ça brillantissime, ni vain non plus. De la Recherche fondamentale, voilà ce qu’est pour moi votre poésie. Avec le plus total respect pour votre travail.
J’ai juste envie de vous dire :
— Thésée, vous ? Mais parlez-donc ?

Ludi
Dédale dans une vie antérieure

   Anonyme   
30/8/2017
Un texte pour le moins ésotérique qui me laisse devant la porte.
Je m'en retourne donc sans rien exprimer.

   papipoete   
30/8/2017
 a aimé ce texte 
Pas
bonjour daphlanote,
Je ne m'interdit aucune lecture, et pose sur chaque texte un regard attentif ; le votre n'y déroge pas et s'il n'y a " rien à comprendre ", je voudrais être touché par vos vers, mais non !
NB il y a pourtant une peinture appliquée, mais mes yeux ne la goûtent pas comme vous le voudriez !
Je laisse aux amateurs le soin de vous complimenter ou bien de vous inciter à faire mieux ?

   Ramana   
30/8/2017
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Bof ! On croit lire une sorte de vague délire paranoïde confectionné à l'emporte pièce. Peut-être chaque ligne est-elle le fruit d'une subtile cogitation intellectuelle découlant d'une magistrale inspiration poétique, mais le fait est que ce texte pour moi trop abscons me laisse de marbre. Même dans les cas où je ne comprends pas ou mal le sens de certains textes, au moins la force et l’esthétisme qui peuvent parfois s'en dégager me rendent la lecture agréable, ce qui n'est pas ici le cas.
Je pense qu'il faut certes s'exprimer poétiquement pour soi, mais aussi pour les autres, surtout lorsqu'on souhaite faire paraitre ses écrits comme c'est ici le cas.
Bref, c'est pas ma tasse de thé...

   widjet   
30/8/2017
Ce que j'ai compris ?

Sais pas trop, mais ça cause du cœur, ce cœur qui vit, qui s'exprime, qui SAI(G)NE. Sans lui, on serait quoi ? Des mannequins de cire.

La fin ?
Encéphalogramme plat. Biiiiiiip....
C'est mort.

C'est tout ?
Oui.

C'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ca veut dire beaucoup.

Widjet
(Auteur pas groupie mais j'ai fait l'effort)

   Robot   
30/8/2017
De quoi ne()sai com - prendre ou prendre con -science.
ça....==== cause !!! Tirade ? Monologue !
Près-en-sion côté cour(t) Racine et Corneille, (tragédie) essai, théâtre et avant ça AVANT-scène.
Com-médit sent dans le sang ...des mots,
démo et sens: essence dès com-po-sées.
Art du modern start nouveau tréteau sans besoin de dire qui sans dire dit.

J'ai tout compris: J'ai tout compris ?
THEATRE ! Mais vous ne partagerez peut-être pas mon avis sur votre texte.

   Cristale   
30/8/2017
Citation :
J’ai des mots, la peau sur eux, les os.
J’ai des os, la peau sur eux : des mots.

Laisse l’empreinte à l’artère, poinçon-virgule intensif.
Instance trois, ventricule à l’essai,
« bats mon cœur, bats »


"De la scène, les ombres, la glace et le miroir rayé.
Côté court, tourne à rien (on a l’express). Rit. A. Des. Avant ça. Côté nord serpente le sens, des marches fondues aux murailles inexpensives. Côté jardin, les comédiens, clair ô pépier troués au-des-sus de leurs têtes.
De la cire, mannequins s’étalent

*
démembrés [La conscience gît, inerte].
*__*____*__*__*__**_* "


Oui mais encore ? Votre plume s'abreuve de quel carburant extra-ordinaire ou extra-terrestre pour nous livrer cette pièce ?

Je lis la prise de conscience d'une tentative de suicide, une perte de connaissance, une salle de réanimation, du personnel médical, des visiteurs...une anesthésie ou des calmants puissants

Lis-je bien ? Là est la question. Je reviendrai peut-être mettre une notation...

Cristale
bien dans ses os et sa peau

   Anonyme   
30/8/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Hello :)

J'adore, inconditionnellement.

Déjà le titre pose l'ambiance : on est dans le visuel, dans la multiplicité des sens. Je lis Saine, c'est entre parenthèses ne, seins (si si), ses fesses ne...

ce qui me mène à la graphie (les smileys) comme les symboles qui ferment l'oeuvre qui sont une succession de *_* qu'on peut traduire par euh... ou le petit bonhomme manga qui a l'oiseau en pointillés qui lui passe derrière la tête, la goutte de sueur au front, les yeux exorbités... On voit donc directement qu'on va sur un constat de stupeur pour le moins, ou de (je trouve plus le mot) ...

L'auteur a donc une envie de parler par tous les moyens possibles et imaginables, compréhensibles à tous ou réservés à l'initié, ses mots doivent toucher. On les voit. A défaut de les comprendre ils laissent une interrogation (saine?)...

Les mots justement, peau sur les os du locuteur, mais également la couche qui se trouve dessous.

Le poème tout entier est une danse avec les mots (jeu de mot serait ici tellement réducteur eu égard à la puissance évocatrice des termes choisis). Les sons, les échos, le rythme... le constat.
Le coeur qui bat, la conscience inerte...

Une belle oeuvre sur la multiplicité de l'être... (dualité serait ici réducteur n'est-ce pas ? ^^) où le signifié et le signifiant se côtoient sans se faire de l'ombre.

Après il est certain que ce type de poésie n'est pas forcément accessible à tous, il faut pouvoir trouver les divers degrés de langage, avoir une certaine curiosité pour dépasser l'ensemble de mots. (peut-être même faudrait-il, oh horreur, aller chercher sur google par exemple, les choses qui échappent, mais c'est vraiment beaucoup à demander à un lecteur lambda)...

J'ai rien contre la poésie bucolique, attention, mais je trouve que l'art doit servir à autre chose que de décrire la beauté velouté d'une pensée... (tu notes je tente la multiplicité aussi ^^) et tu y parviens ici parfaitement.

Me souviens plus de la V1 par contre, à fins de comparaison sur ton retravail, je pense que quand tu ouvriras le forum pour en parler il serait intéressant de l'ajouter (je crois pas que ce soit un souci de proposer une autre version d'un texte publié (antérieure) en forum) qu'on voit le boulot que tu as fait depuis 2009 dessus :)

Voilà donc un texte intéressant, intelligent, qui comme souvent avec l'auteure parle sur plusieurs niveaux :)

Merci pour le partage, ça fait plaisir de te lire !

   Anonyme   
30/8/2017
Bonjour,

Il est dit plus haut [cf. Ananas] fort justement qu'il manque la version 2009 pour nous permettre de mesurer la tension entre les deux écritures. Il me semble en effet que cet exergue n'est pas inscrit au fronton pour faire joli mais pour éclairer le lecteur.
Je reviendrai sur ce texte si vous jugez intéressant de nous faire part de l'original.

Merci pour ce partage

   Anonyme   
30/8/2017
Bonsoir daphlanote. J'ai parcouru avec surprise (et envie, je l'avoue) ce texte court auquel je n'ai ma foi rien compris. C'est dans ces moments de lecture que je mesure l'étendue de mon ignorance face à ces monuments de poésie surréaliste, ou d'avant-garde si vous préférez, et que je comprends mieux que tant d'Oniriens jettent aux orties la poésie dite classique quand ils ont de tels chefs-d'oeuvres à leur disposition...
Que dire d'autre si ce n'est vous encourager à persévérer dans cette poésie d'avenir...
Votre lectorat a beaucoup de chance !

   daphlanote   
30/8/2017

   Absolue   
1/9/2017
Je n'ai rien compris. Poème beaucoup trop "moderne" à mon goût. Je n'accroche ni au sens (inaccessible), ni au rythme ni aux images, ni à la beauté des sonorités... Je ne vous connais pas mais je pense me souvenir avoir lu d'autres poèmes plus "transparents".
Je serais curieuse d'avoir votre auto-interprétation...

   jfmoods   
2/9/2017
Ce poème en vers libres signale une ligne de fracture, une inconciliable dualité.

Les vers 1 à 5 se situent à l'échelle du comportement individuel (pronom personnel sujet, première personne du singulier) alors que les vers 6 à 11 se positionnent à l'aune de la vie en société (théâtralisation du monde : "la scène", pronom personnel : "on").

La relation au monde pose l'authenticité comme figure de proue du comportement (chiasme : "J’ai des mots, la peau sur eux, les os. / J’ai des os, la peau sur eux : des mots.", invitation à exprimer ses sentiments : "Laisse l’empreinte à l’artère ", auto-injonction : "bats mon cœur, bats", manifestations de l'urgence à dire : "poinçon-virgule intensif", "Instance trois", "ventricule à l'essai").

La vie moderne impose, quant à elle, le port permanent de costumes, de masques, de fards ("comédiens"), l'utilisation d'un langage aseptisé, sans profondeur ("pépier"), une adaptation sans faille aux exigences déstructurantes de l'époque (vitesse : "on a l'express", vacuité : "tourne à vide", déboussolement : "côté court", "côté jardin", "Côté nord", "sus de leurs têtes", perte d'une ligne directrice : "serpente le sens", distance aux autres et à soi-même : "les ombres, la glace et le miroir rayé"). Le siècle, triomphant, méprisant, incapable de tirer parti des leçons du passé (style télégraphique : "Rit. A. Des. Avant ça."), se livre à un impitoyable modelage des corps et des esprits ("cire", "les mannequins s'étalent", "démembrés"), à un dressage social mortifère (crochets marquant métaphoriquement l'exercice d'une violence, constat : "La conscience gît, inerte").

Le défi le plus haut de l'être humain (grandir en humanité) est devenu lettre morte ("marches fondues aux murailles inexpensives").

Les émoticons qui closent le poème véhiculent l'ébahissement, l'effroi de la poétesse devant cet apocalyptique état des lieux.

Derrière l'apparence d'une existence pleine de vigueur ("Saine"), les parenthèses du titre ouvrent l'hypothèse d'une blessure inguérissable ("Saigne").

Merci pour ce partage !

   Queribus   
4/9/2017
Bonjour,

J'avoue que j'ai été plutôt décontenancé par votre poème. J'y ai beaucoup apprécié la tournure des deux premiers vers, très habilement construits; j'ai beaucoup moins aimé le sixième d'une longueur démesurée qui contraste trop avec le reste.

Sur le fonds, je partage la comparaison de Donaldo75 avec une pièce de musique de Boulez: déconcertant, surprenant mais pas vraiment mauvais; faut simplement s'imprégner de votre démarche et adhérer à ce style d'écriture qu'on adore ou qu'on n'aime pas du tout.

Bien à vous.

   Proseuse   
6/9/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour Daphlanote,

Je suis bien désolée voyez-vous, mais ici, je me suis sentie résolument ... à la porte de votre poème , peut-être y avait-il de multiples serrures, mais je n' ai surtout pas trouvé de clefs .. des codes peut-être ? mais que je ne connais pas ! j' ai tenté, d' aller voir les " explications" sur le forum et je dois bien vous avouer que le seuil de votre texte n' en a pas été pour autant ( pour moi) plus franchissable, bien au contraire peut-être puisque vous y multipliez ... les serrures !
Et, je me dis, est-ce moi qui suis enfermée dehors ou bien vous enfermée dedans ??
Peut-être une autre fois ... si vous donnez les clefs ou si j' en trouve !
merci du partage


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