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Donaldo75
1/5/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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(Lu et commenté en EL)
Bonjour, Je me suis laissé prendre à ce poème, avec au milieu cette légende si belle et triste à la fois. Le premier quatrain, repris et magnifié à la fin dans un septet de toute beauté, donne toute la mesure de cette poésie, à la fois universelle, d'où la référence aux Dogons, et si humaine. On est presque dans le conte, et pourtant cela reste un poème, une chanson sans musique. C'est excellent. Merci pour le partage. Donaldo |
Anonyme
10/5/2017
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Commentaire modéré
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Raoul
9/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une poésie en liberté où des naines blanches n'ont plus de couleurs autre que la rêverie…
Particulièrement sensible à cette histoire et ref. à Sirius b (Po Tolo, qui peut être…) et à la cosmogonie Dogon ou/et Tellem. Immense bouffée d'oxygène que ce poème. Merci pour cette très belle lecture ouverte sur le monde des cartes cosmiques. |
Curwwod
10/5/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Magnifique! La poésie de ce texte onirique fait voyager le lecteur avec la douceur d'un songe dont l'infiniment grand offre à qui veut les voir ses spectacles sublimes et ses drames obscurs, mais toujours avec une espèce de détachement contemplatif qui donne au texte une belle fluidité et une grande sérénité. Au sein de cette aimable fantaisie colorée se manifeste l'idée de la renaissance qui console et rassure.
Un grand bravo pour cette réussite. |
Anonyme
10/5/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai aimé les ambiances mauves et les nains fauves (je pense aux naines, ces étoiles de petites dimensions). J'aime aussi ces trous noirs ne laissant que poussières et cafard (en plus ça rime bien). La dernière strophe reprend ces ambiances fauves et ces nains mauves ; c'est bien pensé et c'est beau, tout simplement.
Un très beau poème, merci. |
Myndie
10/5/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour LeopoldPartisan,
Il y a de la magie dans votre rêve, il y a le souffle de Christian Descamps dans votre univers. On le sait bien, les étoiles ont été créées pour le regard, les lointains nourrissent l’imaginaire et votre poésie l’atteste. Y aurait-il à y voir des métaphores dont le sens serait métaphysique ? Vous me le direz. Pour ma part, je n’en retiens que le « sensoriel », ce que vous me donnez à appréhender pour m’emmener dans votre contemplation et votre rêverie. Tout simplement parce que moi aussi j’aime passionnément ces « ambiances fauves », ces moments privilégiés où le silence de la nuit est un ravissement qui amène du côté des spirituels et qui conduit à l’essentiel : l’invisible, la beauté, l’intelligence et le merveilleux du langage des étoiles… Votre dernière strophe est de toute beauté. Merci pour ce beau partage |
Dynamot
10/5/2017
a aimé ce texte
Passionnément
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Oui, Léopold en te lisant je lis de la poésie...Ce brin de lucidité qui flirte avec le néant...La légendaire assise des spiritualités demeure en tes mots! Il y a dans ta vision , la texture de ton phrasé, des envies d'humanité primale . Bref, de la poésie comme j'aime absorber !
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Robot
10/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce texte m'apparaît comme un conte poétique. Il ne s'embarrasse pas de grands élans, ce qu'on peut regretter pour ce genre, mais il y a des passages tout à fait empreint de belles images. L'introduction titille la curiosité et incite à poursuivre. Les deuxième et troisième m'ont paru plus faibles (entendons nous bien, je dis faible par rapport aux autres, ce qui ne veut pas dire qu'ils soient mauvais). Mais j'aime surtout et beaucoup le final.
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emilia
11/5/2017
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Merci pour cette belle histoire qui nous invite à partager votre rêve de « Galaxies » en « se mouchant le nez aux poussières d’étoiles… », avec un premier quatrain pour planter le décor (les ambiances mauves… des nains fauves…) qui se transforme en fin de récit en (ambiances fauves des nains mauves) : un joli glissement de sonorité et d’images illustrant la vision surréaliste d’un jardin galactique avec simplicité et beaucoup de charme poétique… ; comment ne pas penser à Hubert Reeves, ce poète astrophysicien auteur de « Poussières d’étoiles », son ode à l’univers…
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papipoete
14/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Leopold,
Qui sait regarder, ou prendre le temps de regarder la voûte du ciel d'étoiles constellée ? Un poète dans la lune, mais avec tous ses esprits, offre un grand rôle à une jumelle dont le double s'est perdu à jamais dans sa constellation . L'avant-dernier quatrain personnifie l'astre au bon coeur et donne la clé de son énigmatique vision de ces ambiances mauves . " et se mouche le nez aux poussières d'étoiles " ... le Grand Jacques apprécia sûrement ! |
Proseuse
16/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir LéopoldPartisan,
une belle lecture , le charme opère et le fauve et le mauve gagnent sur la nuit et les nains de jardin s' en frottent les mains ... tout dans ce poème prédispose au rêve ! j' aime beaucoup Merci à vous ! |
Sebrutus
16/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le ciel est dégagé. C'est l'été. On traine au jardin, tard. La bière est vide depuis plus d'un quart d'heure sur la petite table en fer forgé, mais on a pas envie de partir. On est plongé dans l'infini du ciel accompagné seulement de quelques nains de jardin. Tout est propice à l'imagination, au rêve, à la légende à l'abstraction.
Quelles que soit le contexte d'écriture de ce poème, je me suis laissé embarquer. C'est amusant, décontractant et c'est ouvert à l'interprétation. Bravo! |