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poldutor
14/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Oh que oui, l'homme a flétri l'essence de la nature et depuis belle lurette !
Charmant poème où la nature se réveille dans le calme et la beauté, innocentes les bêtes vaquent à leurs occupations paisibles, même l'inanimé est de la fête : les fleurs, l'air, l'eau du torrent !Mais voila qu'apparait un être en armure et tout est pollué ! Bien que la conclusion du dernier quatrain soit pessimiste, j'ai retenu la sérénité des quatrains précédents. Bravo . Cordialement poldutor en E.L |
A2L9
14/9/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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L'Homme fait parti de la nature mais la plupart du temps il ne s'en souvient pas. Il n'a pas conscience, tant il veut son bon plaisir, qu'il se détruit des lors qu'il cherche à contrôler sans se contrôler.
Votre poème cite les animaux de l'arche en en piochant un ou deux et dénonce avec regret une situation devenue critique pour une partie de la nature. Alors que reste-il sinon la poésie ? |
Provencao
14/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Passant75,
Très touchée par votre poésie. Mon quatrain préféré : "Lentement le soleil se lève à l’horizon, Un lièvre gambade par les vaux et les monts, Libre il est, ne ressent ni crainte, ni effroi, Il croise une tortue partie pour un tournoi." Belle réflexion à mon sens suite à :"Mais voilà que paraît un guerrier en armure, C’en est fini dès lors de la belle innocence De la nature, l’homme en a flétri l’essence." Toutes les failles de l'homme sont de grosses bavures. Ils ne se méprennent jamais que lorsqu'ils méprisent l'idée de s'élever à la nature, d'interroger et assigner ses règles, d'inviter l'expérience à leur aide. Ces hommes guerriers en armure ne n'analysent pas, n'analysent plus cette comédie d'aberrations ...ils se méprennent eux-mêmes. D'où toutes leurs arcanes, leurs débouchés, leurs analyses dont l'expérience fut exclue, ne furent qu'un long chemin de confusions, de faussetés et d'inepties. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
Robot
14/9/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Quatre tableaux pour une description de la nature qui se trouve finalement confrontée aux inconséquences humaines.
La ponctuation du texte est assez confuse. Des virgules en excès et parfois mal placée là ou des points devrait conclure des phrases. Le rejet de l'avant dernier vers sur le dernier rompt la fluidité. |
papipoete
14/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour Passant
Lentement le jour se lève, de l'Est à l'Occident sur la nature, pour quelques heures de bonheur, à contempler la création. Des bêtes s'égaient joyeusement, quand les fleurs au Soleil sourient de tous leurs pétales ; nous sommes en Paix...mais un " guerrier en armure " parait, c'en est fini du temps joli. NB une peinture naïve de ce qui fait notre existence, selon que sous de bons augures ou non, l'on commence notre journée. existe-t-il une contrée sur Terre, où nul n'offense la tranquillité ? je ne vois pas...même au fond de l'Amazonie ou autre Eden inexploré, il se trouvera un " homme au long fusil " pour que le " candide décor " se voit foulé au pied, devenu erg où le coquelicot fane aussi. Je vois une " façon " de l'écriture, me faisant penser au Pantoum... je ne sais pas ? la 3e strophe a ma préférence. des vers de 12 pieds certes, mais aux rimes fausses ( nature/pur ) et de nombreux hiatus ( bleu/et...ni/effroi ) classent résolument ce poème, en forme contemporaine. |
EtienneNorvins
14/9/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Une pastorale un peu trop idyllique à mon goût - elle manque singulièrement de cruauté, cette "Nature", pour qu'on puisse vraiment être touché par la dernier quatrain... Ajouté à cela une lecture parfois un peu laborieuse (deux derniers vers) - cela donne un plaisir final mitigé.
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