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Beaucoup |
Chene : Tu viens à mon visage |
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Belle construction pour un souffle poétique tout en délicatesse.
Un lent déploiement rythmé de clapotis de mots.
La lecture est fluide grâce au jeu d'une métrique maîtrisée qui malgré tout reste discrète. (25/10/2009) |
Passionnément |
irisdenuit : Le bonheur défait |
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De la poésie distillée à compte-mots. De la poésie comme je l'aime...difficile d'être critique !
Ce poème me fait penser à l'attention que l'on porte à son corps en Yoga avant de le solliciter pour certaines postures. On passe en revue toutes les parties du corps, ; un côté puis l'autre côté du corps... et on recommence jusqu'à ce que toutes le... (21/10/2009) |
Bien ↑ |
TITEFEE : Le village abandonné |
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Je viens entre ces vers, parmi ces vieilles pierres et la nostalgie du passé respirer un peu de douceur.
J'aime cette écriture et la poésie classique me repose, même si je ne la pratique pas personnellement.
Je regrette de ne pouvoir entendre la version audio ; mon ordi. me la refuse. (20/10/2009) |
Bien ↑ |
Lhirondelle : Et fleur et toi... |
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Le chagrin de la séparation confié à la douce nature.
Couleurs, parfums, sensation de présence presque palpable...
Tout cela est délicatement évoqué. (12/10/2009) |
Beaucoup ↑ |
Lariviere : Les atlantides |
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Un poème qui surgit puissant, roulant ses mots et ses images et ses contraires et la folie et la vie.
"Anges maudits, aux ongles vernis, aux doigts de fées..." (7/10/2009) |
Beaucoup ↓ |
irisdenuit : C'était l'été |
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Court, belle évocation poétique d'un moment que la mémoire sait raviver avec une intensité magnifiée. (26/9/2009) |
Beaucoup |
Automnale : La chanson des oyats |
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Je me laisse guidée par le son de l'harmonica et j'entends les murmures de la belle inconnue.
Une promenade enchanteresse...un resourcement par poésie interposée.
Merci beaucoup Automnale pour cette vision et ces mots rassemblés. (25/9/2009) |
Beaucoup |
Jules : Je fixe un ciel obscur tressé de lys noirs |
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Un corps en apesanteur qui ne trouve pas de réponse dans le cosmos, mais qui retrouve à la source sa charnelle essence...
A un moment j'ai pensé à un tableau de Millais (Ophélie)...tu touches dans ce poème la simplicité originelle à laquelle les préraphaélites aspiraient. (23/9/2009) |
Bien ↑ |
FIACRE : Fréquenter les beaux quartiers |
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Pas facile de saisir...
Une question me vient après lecture : de quoi se nourrit le présent de ceux qui n'ont pas emmagasiné de souvenirs heureux ?
Une certitude aussi : quotidiennement il faut savoir remarquer les bonnes choses, ne pas laisser filer le jour sans lister mentalement "les petits riens perceptibles".
Et "ramasser au hasard une b... (19/9/2009) |
Bien ↑ |
David : Nolui |
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Je croyais avoir envoyé un com. Eh non !
Les enfants croient parfois que les bébés "sortent" par le nombril.
Il y a une pratique de la méditation où il suffit de mettre ses majeurs dans le nombril...respirer par le ventre...sentir les pulsations...ne penser à rien d'autre.
Le ventre...un autre cerveau viscéral.
Les enfants exhibitionnistes e... (19/9/2009) |
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