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Les évaluations de Mokhtar

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Beaucoup ↑ Curwwod : Charron
Joli bijou, pour ceux qui aiment le classique, tant par la forme que par le thème. Malgré la rigueur des règles un peu « acrobatiques », le poème est limpide et jamais « tiré par les cheveux ». Je n’avais pas remarqué la répétition du verbe « emporté », relevée par Socques. Suggestion pour le second : « enlèvera » au lieu d’ « emportera »... (15/12/2020)
Beaucoup Vincent : J'ai inventé le vent
J’ai bien aimé ce texte, mais aussi le fait qu’il nous donne le plaisir d’entendre Pizzicato. Je trouve ici le ton réussi. On y parle d’amour, l’ambiance est sentimentale sans jamais tomber dans la mièvrerie. Le ton poétique est constant (la musique n’y est pas pour rien) avec un choix de mots qui ne puise pas dans la bimbeloterie maniérée.(s... (11/12/2020)
Beaucoup ↑ Lariviere : Les vertèbres du monde
Peu enclin de nature à faire des efforts pour déchiffrer de la poésie (dont j’apprécie qu’elle s’impose à moi sans impliquer tortures de décryptage), je me sens toutefois attiré par l’aspect très « prenant » de ce texte. Je suis sensible à la puissance des mots qui me donne envie de m’attarder, et de lire et relire. Peut-être oserais-je opter ... (7/12/2020)
Bien ↑ BlaseSaintLuc : À bon entendeur, salut !
Un peu surréaliste, le truc. Après « je prends le vent dans mes voiles d’escampette » (très joli) , on s’attend à la description d’un voyage à but précis, avec motifs et destination finale. Mais non. Le poète a tendance à s’engouffrer dans les chemins de traverse. Tout est bon pour se distraire d’un quelconque itinéraire littérairement sign... (16/11/2020)
Beaucoup ↑ Wencreeft : Un dernier vers ?
Paradoxe que ce pamphlet vachard, qui utilise les charmes sur lesquels il dégobille pour sans doute promouvoir de futurs chefs d’œuvres de modernité ( provisoire) que l’on attend avec une impatience non dissimulée. L’exercice proposé ne manque pas de talent. La fautive alternance des genres après des quatrains en rimes embrassées ne m’a jamai... (13/11/2020)
Passionnément ↑ Davide : L’éclipse
Superbe, de profondeur et de classicisme. De noirceur désespérée. De prostration morbide. D’horizons de solitude. Comme sous l’éclipse, sa vie se trouve sous éteignoir. Alors il écrit, pour se souvenir, pour tenir, pour résister, pour exister. Je reçois cette poésie comme un Fado. « solitude-mausolée » « vide-outrenoir », très classe. Je n... (9/11/2020)
Beaucoup ↓ Myo : Ton hiver
La lecture du premier quatrain fait un peu gymkhana. Il y a d’abord le rejet « de son baiser glacé » qui désoriente un peu au premier abord. Puis ce quatrième vers où, naturellement, on est tenté d’attribuer l’action de « faire fi » au « jour » qui précède, avant que l’absence de sens renvoie au « Toi » du second vers qui aurait dû entraine... (4/11/2020)
Beaucoup ↓ Curwwod : Grand-mère
Ce poème m’embarrasse un peu et j’ai de la peine à expliquer clairement mon ressenti. Il évoque, avec une grande émotion, le souvenir (peut-être très personnel) d’une grand-mère. L’auteur qui exprime la nostalgie de sa grand-mère y associe forcément, en arrière-plan, celle de sa propre jeunesse. L’indulgence, la tarte aux pruneaux, la fei... (2/11/2020)
Beaucoup ↑ Anje : Ciel de plomb
Chemin de la mâture…Gorges de l’enfer. Ce poème évoque le superbe site de la vallée de la Carança (Pyrénées catalanes), avec ses chemins étroits de randonnée extrêmement dangereux (glissades, chutes de pierres…). Ce texte, qui fait référence à un accident tragique, est superbe par le climat dramatique et oppressant qu’il réussit à imposer. L... (22/10/2020)
Beaucoup Vincendix : Le maître du temps
Beau travail sur le thème du temps, qui va son rythme inéluctable, comme les bras du personnage qui jouent les balanciers de comtoise. La prosodie est robuste, comme le bonhomme, et les pieds du poème sont aussi fermes que les pas du chemineau. 2 petites remarques : - Le "il' débutant le quatrième vers est un peu lourd, surtout qu'un autre... (18/10/2020)
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