|
|
|
Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
Beaucoup |
TristanHiver : Prophylaxie contre un horizon dégueulasse (Partie 2) |
|
Étourdissant est le premier mot qui vient.
Ensuite, une fois, qu'on s'est ressaisi et qu'on a reprit son souffle, on s'interroge.
Ce qui frappe – au-delà des images souvent puissantes – c’est ce parti pris de l’alternance.
Alternance dans la ponctuation – un coup oui, un coup non. Et vice versa.
Alternance dans le vocabulaire – familier ... (22/1/2013) |
Un peu ↑ |
bulle : Méli mais l'eau |
|
Ai bien aimé la bonne symbiose "liquide" entre le texte et la musique. Ca donne une chanson assez légère, sans prétention (à l'image du texte peu recherché, mais je pense que l'objectif est ailleurs) et... mouillée. Joli timbre de voix, mais je le savais déjà.
Je ne banalisera pas l'Exceptionnel en le donnant, mais c'est une chansonnette agré... (5/1/2013) |
Bien |
pieralun : Au censeur de sonnets |
|
Du travail sérieux et propre, rien ne dépasse et tout est dit sur ton mi espiègle, mi mordant. Pour chicaner un peu j'eus préféré un "Il fond sur nos sonnets en invoquant SA règle" (qui eut été plus caustique et ironique).
Le censeur jugé un poil arrogant ("causant avec hauteur") est aussi qualifié tantôt d'animal (qui "griffe", "tranche", "m... (19/12/2012) |
Bien |
Arielle : Dimanche d'octobre |
|
Si certaines images ne sont pas toutes bien neuves ("Dépouillé des oiseaux"), il y a suffisamment de quoi se consoler avec l d'autres ("souvenirs iodés" et j'aime l'idée du vent qui "chante seul").
Mélodieux (malgré tous ces "double L" à un peu partout, comme un auto-clin d’œil) et séduisant dans l'ensemble.
W (21/10/2012) |
Bien |
c-cil : Positif sur verre |
|
Assez difficile d'expliquer ce qui nous attire et nous retient dans ce portrait evanescent, presque fantomatique ("teint de nacre"). Oui, il y a une élégance certane et une solennité dans cet instantané que je qualifierais de spectral. Cette femme semble être "entre-deux" passages, rien n'est clairement défini (l'auteur ne tranche jamais : nor e... (24/9/2012) |
Bien |
funambule : Les veuves |
|
La grande force de ce texte demeure la qualité du texte. Beaucoup de belles choses, alors j'en prends une au hasard.
Quel est ce ténébreux sentier
Où l’innocence et la lumière
Ne semblent plus vouloir aller
Que pour y mordre la poussière ?
Mais je pourrais presque tout prendre.
La voix au début m'a semblé un peu tremblante (... (7/9/2012) |
Un peu ↑ |
Pimpette : Petit traintrain de nuit… |
|
De très loin supérieur et plus raffiné que le précédent texte ("Je ne suis pas") avec quelques trouvailles délicates (« Finir la nuit en rond sur ton épaule », « Les mots espérés tendrement/Naissent au nez des souris »), il se dégage une forme de langueur juvénile dans ce texte, un bon dosage entre l’enfance et l’âge adulte.
Espiègle et pudiq... (29/8/2012) |
Bien |
Arielle : Nymphéas [Sélection GL] |
|
Mis à part le « recréa » qui accroche le palais, j’ai apprécié – comme la plupart des textes d’Arielle – cette langueur caressante.
Je ne peux hélas rien de de plus.
W (9/8/2012) |
Vraiment pas |
Pimpette : Je ne suis pas… [Sélection GL] |
|
Dans ce domaine, je suis prudent : la poésie, j'y connais rien. Alors, que l'auteur se rassure et ne s'en offense pas plus que ça. Mon commentaire n'a que peu de valeur et de crédit.
Maintenant, si la poésie, c'est écrire des phrases simplistes (en pensant faire des phrases simples) sans le souci (même infime) de les sublimer ou d'y apporter ... (29/7/2012) |
Bien |
Arielle : Transmettre |
|
C'est tout ce qu'on veut, mais ni mièvre ni gnagnan.
Pas le meilleur d'Arielle, mais c'est joliment dit et bien souvent délicat ("soulever un coin du rideau et pousser l'enfant vers la scène", "lève le pain poudré de rires"), le trait n'étant jamais appuyé.
La bonne idée est que le texte est relativement court, ce qui laisse (intelligemmen... (27/3/2012) |
|
|
|
|
|
|