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Passionnément |
Curwwod : Le poudrier |
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Bonjour Curwwod,
Il flotte sur votre poème un parfum céleste et suranné, aussi délicieux, aussi éthéré qu'un voile de poudre impalpable.
Avec quelle émotion est évoquée cette découverte, cette exhumation! J'imagine que le choix du 1er verbe n'est pas le fruit du hasard.
Ces objets ont un charme (au sens de sortilège) et le simple fait de l... (22/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
pieralun : Mat |
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bonjour Pieralun,
En quelques coups de pinceaux, en quelques phrases bien tournées, vous campez avec talent et beaucoup d’élégance cette scène qu’on a sans doute tous vécu, se sentir étranger à des funérailles.
Avec vous, tout semble couler de source.
Et pourtant, quelle finesse d’écriture, quelle joliesse dans ces vers :
« Et sous l’hum... (20/4/2015) |
Bien ↑ |
Cristale : Fleurs de larmes |
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Bonjour Cristale,
Pour ma part, je suis vraiment désolée que vous souhaitiez n'être prise en considération QUE sur le plan littéraire. Sans votre incipit, j'aurais pu écrire que j'aime votre poème "passionnément".
Parce que l'émotion est bien là.
Que ce vers est beau :"
Les anges pleurent-ils ? Je sais bien qu’il est mort. "
Mon regret es... (17/4/2015) |
Beaucoup |
Mona79 : Désillusion |
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Un poème qui porte bien son titre, et une manière originale de traiter le thème.
J'apprécie la fluidité de votre style, les phrases courtes et bien rythmées, les mots simples qui font parler les images.
Hélas, c'est toujours après coup qu'on se rend compte de ses erreurs en amour. Dans cette course au bonheur, il y a toujours de la souffrance,... (15/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
czerny31 : Alchimie |
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Bonjour Czerny,,
Je pense qu’ici le mot titre est à prendre dans son sens le plus littéral, car vos vers, à défaut de transformer les métaux ordinaires en or, ont bien cette faculté de hisser l’ordinaire vers ce qu’il peut exister de plus pur.
Je pense aussi beaucoup à Eluard (cela a été relevé déjà) qui a si bien célébré lui aussi la femme ... (15/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
Damy : Ostende |
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*Edit:
Quelques corrections apportées à mon commentaire (effectué en EL). La relecture est parfois salutaire.
Bien à vous
myndie
S’il n’a été votre source d’inspiration, c’est pour le moins l’ombre de Brel qui plane sur votre poème.
On a quitté Amsterdam pour Ostende mais on retrouve les mêmes figures, les marins qui pissent et les fill... (8/4/2015) |
Beaucoup |
Bleuterre : Liqueur |
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Bonjour Bleuterre,
Vous avez à mon sens réussi à exprimer le sentiment qu'il n'y a pas de différence entre soi-même et le monde extérieur, cette sensation qui arrive par touches légères et nuancées à ceux qui savent s'oublier dans la contemplation et le rêve.
Votre poème sobre, tout en retenue, en allusions, porte en lui un ressenti intense ... (7/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
margueritec : Écaillures |
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Bonjour Margueritec
Avec l'incipit, nous étions prévenus mais c'est bien plus qu'un portrait que tu nous offres.
Tu nous entraînes dans une sorte de régression vertigineuse; nous voilà en train de regarder un tableau qui nous montre un peintre en train de peindre son propre tableau.
L'écriture est brève mais elle transcende mot à mot ce tab... (7/4/2015) |
Beaucoup |
passager : Désespoir solitaire |
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Bonjour Passager,
La vieillesse est un naufrage et quand la solitude vient s’y associer et apporte son pesant d’ennui et de tristesse, elle est semblable à une maladie qui ronge autant le moral que le physique.
Voilà ce que nous dit votre poème, magistralement écrit, qui donne toute la mesure de la souffrance et du désespoir de ce vieil homm... (2/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
Annedesr : Présence invisible |
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bonjour Annedesr
Je crois que c’est Kierkegaard qui disait que le souvenir a pour rôle de maintenir la continuité éternelle de la vie d’un homme.
Vous écrivez le souvenir dans ce qu’il a de plus obsessionnel (ainsi ce vers scandé « je t’ai cherchée ») et de plus mortifère, mais aussi dans ce qu’il a de plus vital. Vous écrivez sur ces riens,... (1/4/2015) |
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