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Beaucoup ↑ |
Lylah : Alchimie |
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La plume traduit de manière poétique ce lien unissant deux êtres. La présence de Michel ne fait pas d'ombre, ne fait pas de bruit. Elle n'est pas envahissante. Elle est discrète mais combien essentielle! Tendresse, douceur, réconfort, amour, complicité... apparaissent au détour de chaque situation . Une belle lecture, une belle rencontre.
Merc... (15/12/2016) |
Beaucoup ↑ |
Evan : Nuit de novembre |
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Le passé et le présent s'épousent dans un décor qui fait naître mélancolie et rêverie. Une plume qui ne me laisse pas insensible !
Merci pour ce partage. (13/12/2016) |
Beaucoup |
Alcyon : Assis sous un arbre |
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Parfaite harmonie entre le fond et la forme. L'instant présent est vécu dans sa simplicité, sans artifices." La vie est là, simple et tranquille". On peut rencontrer le bonheur, la sérénité adossé à un arbre. (12/12/2016) |
Beaucoup ↑ |
hersen : Obsolescence de la sentinelle |
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Comme un vieil homme fatigué, mélancolique qui regarde la mer. Le spectacle cogne dans son cœur comme la vague cogne les rochers. Le présent cruel se jette à l'assaut du passé et les flots insensibles effacent les châteaux de sable. la plume nous fait suivre ce rythme effréné de l'histoire qui remplace les vieilles pierres par la verticalité m... (12/12/2016) |
Beaucoup ↑ |
Cristale : L'ombre de Mirasol |
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J'ai poussé la grille, j'ai touché les vieilles pierres, j'ai entendu la douleur de ce fantôme qui hante le château. J'ai surtout était séduit par cette plume talentueuse qui guidait mes pas . On entend presque une guitare, un violon, un piano qui font de ce texte une chanson triste.
Merci pour ce beau moment de lecture. (12/12/2016) |
Beaucoup |
luciole : Pétulance du printemps |
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Un souffle de fantaisie, de légèreté, d'insouciance qui fait du bien ! Les filles de mai semblent être observées par l’œil coquin d'un gamin. La première strophe est vraiment réussie !
Merci pour ce partage. (12/12/2016) |
Beaucoup |
Vincendix : Il n’y a plus Alice, hélas ! |
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Alice déguisée en mante religieuse laisse des cicatrices sur le corps ou le cœur de ses proies. Malgré l'attrait du pays des merveilles ou du septième ciel, faisons une croix sur le kamasutra. J'ai apprécié la qualité de votre plume. (9/4/2016) |
Beaucoup ↑ |
funambule : Des regards que l’on oublie pas |
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La pupille fige ces regards nés de l'émotion, d'un instant particulier et qu'on n'oubliera plus. Les images sont posées sur quelques notes douces, une musique intime. Puis, la pupille se dilate. Alors tout s'accélère: les mots, les notes, le rythme. C'est le flot des ruptures, des vies brisées, anéanties. J'aime ce crescendo. (8/4/2016) |
Beaucoup |
Pouet : Les cicatrices de Kibuye |
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J'ai aimé la forme pour les mots simples, la pudeur, le rythme des vers. Je suis très sensible au sujet traité car je l'ai étudié dans une approche historique. "Un avion est tombé", tout était préparé et le massacre interethnique pouvait commencer. La machette s'abat sur le cousin, le voisin, l'enfant, le vieillard... Aujourd'hui, j'encadre avec... (8/4/2016) |
Passionnément |
Luz : Le bébé dans la rosée |
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Quelle belle harmonie entre les sentiments et les décors ! Que de douceur dans les premiers vers. Il y a des moments qu'on voudrait prolonger, prolonger. Et puis, les chasseurs d'anges sont venus ! Les deux derniers vers brisent ce qu'on croyait éternel. Mon petit lapin blanc de lune s'appelait Mathis. Il était bleu et blanc comme les anges du p... (7/4/2016) |
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