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Bien ↑ |
Bingo : Le pont aux ânes |
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Humour et modestie. J'ai eu, aussi, beaucoup d'émotion en lisant par exemple les développements de Leibnitz sur la "conchoïde" dans son "Discours de métaphysique". Ou ce qu'on écrit aujourd'hui à propos de la théorie des cordes... Tout théoricien nous fait frémir, au fond. Mais votre poème sait parler de cette admiration "cum grano salis", ce qu... (17/2/2016) |
Beaucoup ↓ |
Cristale : Le grand dîner de la Saint-Valentin [concours] |
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Texte réjouissant qui me semble tout à fait satisfaisant du point de vue de la forme choisie. (16/2/2016) |
Bien ↑ |
OiseauLyre : Au commencement |
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Quelle fougue! Vous avez bien fait, très bien fait de "mythifier" ce d'où vient votre poésie. Dommage que ces deux "frères ennemis" qui vous habitent et que vous décrivez si magnifiquement, ne dialoguent ou ne se rencontrent pas davantage, du moins pour s'affronter... Je vous conseille d'aller lire ou relire Michaux qui sait si bien "mythifier" ... (13/2/2016) |
Bien ↑ |
Arlet : V’là Emile |
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Votre texte ressemble plutôt à une chanson, il en a le rythme et la régularité. D'ailleurs, je vous suggère d'élider quelques mots, comme cela est possible dans des chansons populaires (et votre poème en a le ton), afin que vos vers soient tous réguliers: par exemple: "Mêm' la Suzon qu'a tant pleuré" ou encore: "Viv' la mariée, etc." D'ailleurs,... (12/2/2016) |
Beaucoup ↑ |
Solal : Ballade |
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Beau texte, léger et profond. Nous, les lecteurs, sommes à la fois dehors et dedans, dehors puisqu'il s'agit d'un "il", mais dedans puisque nous voyons ce "il" de l'intérieur et qu'il devient donc, peu ou prou, un "je". Cette ballade, qui est aussi une balade, je veux dire une promenade est donc aussi un voyage dans ou vers une psyché, c'est peu... (8/2/2016) |
Passionnément |
troupi : Les longs silences |
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Un très beau texte, un grand souffle, beaucoup d'élan. Un fort beau texte! Juste un tout petit détail sur lequel je me permets d'attirer votre attention: le rythme de vos vers est presque systématiquement pair, disons qu'il s'agit surtout d'alexandrins, de moitiés d'alexandrins ou de trois-quarts d'alexandrins (9 syllabes). Or, un vers fait exce... (8/2/2016) |
Beaucoup ↑ |
Lylah : Et la tendresse nue |
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Un très beau texte en hexasyllabes. Seul "bémol" à ce texte par ailleurs très suggestif et chantant (et que demande-t-on d'autre à un poème?): "quand la lumière s'étonne"... Ce septième vers est le seul à avoir 7 syllabes. Est-ce voulu, cette rencontre des deux "7"??? En tout cas, elle me semble malheureuse. J'aurais entendu, de façon beaucoup p... (29/1/2016) |
Beaucoup |
Dolybela : Terminus |
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Très bien dans l'ensemble, ça "file" comme un train. Seul bémol selon moi, seule incohérence, le "et": "Et un peu de toi est parti avec lui" qui produit un hiatus déplaisant, rend le rythme bancal et rajoute une copule dans un poème où c'est le "style paratactique" qui domine (j'aime assez ce mot de "paratactique", ou "parataxique" qui évoque un... (8/1/2016) |
Bien ↑ |
papipoete : Je l'ai tant rêvée |
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Quand on choisit ces contraintes quasiment millénaires que sont les vers réguliers, les strophes, les rimes, on ne doit pas s'attendre à produire "du neuf". Hélas, c'est ici le cas, tous les poncifs de la poésie classique sont présents. Ils sonnent agréablement mais donnent l'impression d'avoir été déjà lus un millier de fois... Mais au fond, ce... (7/1/2016) |
Bien ↑ |
Lylah : Requiescat |
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la mouette en son envol
avait plus d'assurance
J'aurais supprimé ces vers. Le reste est sobre et beau. Je pense au texte de José Maria de Hérédia: "Le Naufragé"
Avec la brise en poupe et par un ciel serein,
Voyant le Phare fuir à travers la mâture,
Il est parti d'Égypte au lever de l'Arcture,
Fier de sa nef rapide aux flancs doublés d'ai... (4/1/2016) |
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