Les Évaluations de colibam

Les évaluations de colibam

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Vraiment pas	nemson : Du binaire au sanguin
	Un titre plutôt recherché et donc prometteur suivi d'une recherche de ma part pour tenter de trouver quelque chose d'intéressant. La notion du clash amoureux annoncé via un flash électronique : j'adhère. J'aime beaucoup « l'aveu en cristaux liquides » qui, avec le titre, sont les seuls éléments que je retiendrai. Pour le reste, il manque... t... (9/10/2009)
Bien ↓	thaumaturge53 : Brise océane
	Un poème agréable à lire, sur un thème décidément porteur en ce moment sur Oniris. J’aime beaucoup le premier vers, le verbe « expire », « le crabe bleu ». La répétition « cristal » / « cristalline » est plutôt malheureuse et puis je trouve que c’est un terme trop coutumier en poésie, de même que « diaphane ». « tel volcanique feu » : j... (9/10/2009)
Un peu ↓	henya12 : Pour toi d'en bas vers là-haut
	Certes, le thème est poignant mais ce poème souffre selon moi d'un manque cruel de fluidité ou de musicalité pour rebondir sur la remarque de jphil. L'ensemble n'est pas assez travaillé et accouche de trop de platitudes ce qui rend la lecture plutôt ennuyeuse et j'en suis désolé au regard de l'intention respectable et plutôt émouvante de l'au... (8/10/2009)
Bien ↑	pieralun : L'indifférence
	L’aveuglement hypocrite des « gens debout » vis-à-vis du « petit » peuple du macadam est très bien retranscrit. Quelques jolis vers : « L’un se terre au matin des ruelles brumeuses » « Et lorsque la nuit boit le fracas du trottoir » « S’ouvriront sur l’oubli de nos villes muettes » J’ai un peu moins aimé « les chaleurs désuètes » et « n... (8/10/2009)
Beaucoup	Lapsus : La liberté de Samarcande
	Légendaire et fascinante escale sur la route de la soie, les échos parfumés de Samarcande, reconstruite sous la vindicte de Timur Lang (Tamerlan), résonne dans la mémoire de ce fier étalon. Une parfaite maîtrise du sens poétique pour ce texte érudit. Seul petit bémol dans la fluidité de ma lecture : « les naseaux fumants » auraient mérités... (7/10/2009)
Bien ↑	irisdenuit : Comme un chant d'aile
	Un bien joli poème, sucré et sensuel, sur le désir et « l'espoir dérisoire d'une furtive caresse » (merde, j'lai déjà faite celle-là !). Les premières et dernières strophes ont ma préférence, de même que « les poussières d'absence qui sombrent dans la lumière d'une poésie ». La seconde strophe atténue selon moi la qualité d'ensemble. Trop ... (7/10/2009)
Beaucoup	Meleagre : La fissure
	Très sympa à lire à haute voix, ce conte du soir, que je viens de déclamer à mes deux chères têtes blondes (euh... à 5 minutes du couché, j'aurais p'tête pô du). Un poème très bien construit, une écriture maîtrisée. Vraiment. Côté technique, mon ignorance me cantonne au silence. Le vers de clôture « - Maudits, malheureux les fêlés : Ils la... (7/10/2009)
Beaucoup ↓	Lariviere : Les atlantides
	Merde, il a fallu que j'éteigne la musique pour piger le morceau. Pas facile à lire le compère Lari mais toujours envoûtant. Un auteur à part (et qu'il le reste, le gaillard, c'est ce qui fait toute sa force) Les mots de ce poème écorchent les sens dans un tourbillon de volupté. Mes coups de coeur : « Je remonte le ciel de tes paresse... (7/10/2009)
Bien ↓	GABYVONNE : Torréfaction
	Quelques images me sont revenus à la lecture de ce poème et notamment le souvenir d'une région entièrement minérale dans laquelle survivent tant bien que mal quelques éleveurs de chèvres faméliques : les pourtours tourmentés et fantomatiques du lac Assal et du Goubet-Al-Kharab, dans la République de Djibouti, une zone fortement sismique. Mais c... (7/10/2009)
Beaucoup ↑	Lhirondelle : Aujourd'hui, je sais
	Des frissons dans les yeux, une hirondelle a composé un rêve de lumière. Le titre a tout de suite accroché mon regard. « Aujourd'hui, je sais ». Il y a une puissance contenue, un voile de sagesse dans ces mots simples. La technique est parfaitement maîtrisée et rehaussée de savoureuses images : « L'aube rose, je sais, vient dévêtir la nui... (4/10/2009)

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