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| Bien ↑ |
irisdenuit : C'était l'été |
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Un souvenir impérissable raconté comme un songe.
J'aime bien :
"C'était l'été il me semble"
"C'était un matin d'enfant"
... et puis, une fois le décor délicatement posé, ce vers isolé, simple mais porteur d'une telle puissance :
"et tu m'as embrassée"
La fin est magnifique, un rappel du premier vers et la traduction poétique (dic... (25/9/2009) |
| Beaucoup |
Automnale : La chanson des oyats |
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J’ai effleuré les mots de ce poème avec délectation.
C'est beau, onirique, presque sensuel.
J'aime plus particulièrement :
"Les coquillages flirtaient avec le vent du large.
Et moi, dans la blondeur des dunes solitaires"
"Sur cette plage bordée d’écume,
Une inconnue aux yeux et aux cheveux de brume.
Des galets blancs polis par les a... (25/9/2009) |
| Un peu ↑ |
David : Nolui |
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Un poème plutôt étrange, parfois opaque (deuxième strophe notamment) mais qui ne manque pas d'intérêt dans les images que sa lecture m'évoque.
J'ai un peu bloqué avec les changements de temps mais apprécié le prénom Nolui (je retiens). (18/9/2009) |
| Bien |
Bidis : Le dernier fil [concours] |
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Une écriture très correcte qui exprime bien l’élégance et la sensualité intactes d’une femme âgée engluée dans le refus du temps qui passe, altère et avilie (même si je ne partage pas du tout cette vision sur le travail des années) et qui n’a pas su trouver les trésors qui sommeillent en elle, au-delà du schéma futile des apparences (mdr, j'aura... (11/9/2009) |
| Un peu ↓ |
ANIMAL : Pour nous, tout simplement [concours] |
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Concernant l’aspect purement poétique, je n’ai rien ressenti de vibrant, d’original ou d’émouvant à la lecture de ce poème. J’en suis désolé.
La simplicité ne me dérange pas dans l’écriture à partir du moment où elle s’exprime de manière percutante ou originale mais j’ai trouvé qu’il manquait ici un peu de souffle pour évoquer la figure pater... (11/9/2009) |
| Beaucoup |
pieralun : Bonhomme [concours] |
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Voilà un personnage magnifiquement esquissé sur une toile brodée d'émotion et qui m'a rappelé "l'angélus du soir" de Bernard Clavel.
Tout la lecture est belle ("la mort passa un soir, aux confins d'un sillon", "il ébauchait l'aurore",...) et dénote une grande maîtrise du sens poétique. Le dernier vers ponctue de manière magistrale ce bel exer... (11/9/2009) |
| Un peu |
Concours : Elle sourit dans nos vies [concours] |
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Salut François,
C'est mignon, frais et je salue la prouesse technique que tu as du accomplir pour parvenir à cette mise en page plutôt plaisante.
Je trouve en revanche que cette mise en forme dessert assez nettement le fond, qui se retrouve amputé de tout ce que j'aime lire dans un poème : poésie, musicalité, émotion (même si je comprends ... (11/9/2009) |
| Un peu ↑ |
Elwyn : Au fond d'une vallée... [concours] |
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L'épouvantail, que l'on devine très rapidement à la lecture de ce poème, est un personnage que j'ai eu l'occasion de rencontrer à plusieurs reprises dans des nouvelles, en tant que simple élément du décors ou, plus rarement, personnage principal.
Si l'ensemble est plutôt bien écrit, des expressions comme "plus pu" ou "ses cheveux se sèchent" ... (11/9/2009) |
| Un peu ↑ |
Lariviere : L’inutile mutilée |
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Déposé comme un souffle dans la nuit parfumée d'un plateau solitaire et brisé, ce poème recèle quelques jolis mots.
J'aime bien le "ciel éclaté", "l'écluse des jours", "le velours sombre" et le participe "piqué" (j'apprécie en général les verbes sonores pour décrire la nature : piqué, clouté, éclaté, brisé, fracturé...).
Seul bémol : "nuit... (3/8/2009) |
| Pas ↑ |
thea : Le temps d'aimer |
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A la lecture de ce texte, le cadre poétique m'a paru un peu vide, terne. Il manque quelque chose.
Je n'ai rien à priori contre les textes éclairs ou les oeuvres épurées. Ils savent parfois se faire percutants et limpides mais là, bof, je n'ai pas été séduit.
Ce manque d'emballement ne vient pas de la forme, ton écriture étant plus que correc... (1/8/2009) |
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