Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Les évaluations de Louis

« 1 ... 15 16 17 (18) 19 20 »
Beaucoup Robot : Victime des barbares
Le texte fait étrangement écho à la barbarie récente qui s’est produite à Marseille… Comme à Marseille, la victime dans ce poème est une femme. C’est « Elle ». Le premier vers est constitué de ce seul mot, du seul prénom personnel : « Elle ». Rien n’est indiqué de son identité sociale ou familiale, rien n’est dit de sa profession, de sa si... (3/10/2017)
Beaucoup ↑ Myndie : Dans le matin transi... Nour [Sélection GL]
Le premier quatrain décrit un matin, le matin nouveau d’un nouveau monde, pour elle, Nour. Faible et terne lumière de cette aube de « brume blême ». L’allitération en « b » exprime la lourdeur de cette brume qui peine à se lever, un lever du jour sans éclat, sans inondation de lumière, un matin balbutiant. Le nouveau monde émerge peu à peu d... (14/9/2017)
Beaucoup Francis : Elisa
Le poème nous dépeint de façon réaliste le cadre de vie d’Elisa, jeune femme d’aujourd’hui, représentative de toute une part de la jeunesse. Elle réside dans un « bloc en béton », dans cet habitat des grandes cités modernes où s’élèvent les bâtiments uniformes, gris « anthracite », produits de la construction industrialisée, producteurs de so... (1/12/2015)
Beaucoup ↑ Myndie : Le blues du bureaucrate
Le bureaucrate a le blues. Le texte s’adresse à lui dans un tutoiement, le « bureaucrate » est un proche, il est un frère, un intime, il est celui que l’on comprend, celui à qui l’on peut s’identifier, celui dont l’intériorité est accessible, celui avec lequel on peut partager les sentiments, les rêves et les pensées. Le poème, en effet, ne ... (25/11/2015)
Beaucoup ↑ emilia : Petits bonheurs d’été à mettre en cage…
Un long poème, d’une longueur significative. Il ne constitue qu’une seule phrase, une très longue phrase, sans nul point pour interrompre la durée qu’elle veut créer. Un poème, en effet, à l’écriture et à l’inspiration proustiennes, comme l’atteste l’idée d’un « temps retrouvé » dans le premier vers du onzième quatrain : « Comme un temps retro... (4/11/2015)
Un peu wancyrs : Le temps passe
Je suis surpris par l’idée fausse sur laquelle repose ce texte. D’autant plus que d’autres poèmes de vous m’ont semblé bien plus pertinents. Le « temps passe », et vous en faites la cause d’un emprisonnement, par ce passage même ; vous en faites la construction d’une prison pour les cœurs et pour les corps. Le temps, en effet, tricoterait l... (29/10/2015)
Beaucoup Myndie : Temporadas inmutables
Quatre saisons : Au printemps, tout est mouvement. Le printemps n’est pas sédentaire, il ne demeure pas. Bohème, il est une traversée de « nomades pensifs », il est passage, il est envolée, « Enveloppés de ciel, cotonnades furtives » Au printemps, tout passe et s’en va, dans une errance dont on ne connaît pas la destination : « Vers quels c... (29/10/2015)
Beaucoup ↑ ManonLunalice : Dix-huit ans un resto
Un lieu et un temps reviennent en mémoire pour constituer un souvenir marquant. Un temps : le jour de ses dix-huit ans, un anniversaire, un jour à fêter, jour d’entrée dans le monde adulte, jour d’une majorité. Un jour qui devrait laisser un souvenir heureux, et pourtant… Le lieu est celui de la fête : un resto. Lieu de convivialité, lie... (28/10/2015)
Beaucoup ↑ Pussicat : Lendemains fertiles
L’anaphore, « Je garde », rythme le poème. Mais qui est le sujet : « je » ? Le texte lui-même, semble-t-on pouvoir répondre. Le texte qui se cherche. Non pas le texte achevé, réalisé, abouti, mais le texte dans le mouvement qui le compose et le produit. L’écriture s’avère mise en route, métaphoriquement un cheminement : « il est un chemin bor... (20/10/2015)
Beaucoup Francis : Au fil de l'aube
Un joli tableau, dans lequel est dépeint tout un jeu d’apparitions et de disparitions. L’ « escute » apparaît dès le premier vers, sur « l’onde fripée », suivie bientôt par une disparition : « Sous un pont vermoulu, l’aube s’était noyée ». L’aube ainsi se présente dans une disparition ; elle paraît dans le mouvement même de la disparition, la... (30/6/2015)
« 1 ... 15 16 17 (18) 19 20 »

Oniris Copyright © 2007-2023