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| Beaucoup ↑ |
Miguel : Les rides de l’amour |
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Aussi nostalgique que la chanson de Reggiani « La femme qui est dans mon lit » que votre poème m’a fait réécouter avec bonheur.
Il m’a aussi ramené à Ronsard « puisque la beauté ne dure que du matin jusques au soir »
Pour ces deux références, merci, Miguel. (8/3/2021) |
| Beaucoup ↑ |
Miguel : In memoriam filiorum |
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Belle pièce sur le revers de la médaille.
Poème d'une écriture limpide au service d'un sujet limpide.
Et l’émotion est là.
[i]Puisque en perdant nos fils nous avons tout perdu.[/i]
Le chagrin est éternel si la victoire est factuelle.
J'ai juste failli me laisser avoir par la diérèse de inqui/ète au 5° vers qui, si l'on n'y prête attenti... (18/2/2021) |
| Beaucoup ↑ |
papipoete : L'araignée |
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[i]Pour beaucoup, les araignées inspirent la peur ou au moins une certaine forme d’aversion. Elles ont ainsi tendance à être associées symboliquement à ce que les psychologues appellent « l’ombre personnelle »[/i].
Celle-ci m’est pourtant rendue sympathique comme une jeune fille,[i] corsetée, la taille fine, le ventre dodu[/i], qui a tendu ses... (12/2/2021) |
| Beaucoup |
Lebarde : Eux parmi d’autres |
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Il n'y a pas de vaccin contre la mort sauf dans le cas de virus, mais le poème en parle ici au sens large.
[i]Elle perdit la vue, il lui prêta ses yeux
Sa tête s’obscurcit, il dut l'aider au mieux[/i]
est une merveilleuse attitude d'altérité auprès de qui la malade a du trouver bon réconfort.
Et puis vient le sort fatal qui, si l'on n'es... (11/2/2021) |
| Bien ↑ |
julienrd : Berceuse |
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Je partage cette angoisse et Grand-Père et Grand-Mère ne sont plus là depuis plus d'une génération !
Oui, j'ai peur de la nuit et je repousse au plus tard l'heure du coucher.
J'ai peur de l'ennui aussi que je ne sais plus trop tromper en écrivant des poèmes.
Et j'ai peur de mes matins vaseux dans l'attente d'une lumière qui s'allume et de l'... (10/2/2021) |
| Beaucoup ↑ |
pieralun : Sexuelle odyssée |
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Le dernier pétale fut le bon quand tous les autres furent effeuillés sans succès. Et Dieu sait si vous les avez cueillis, humés, goûtés.
Je m'attendais à un retour sur le premier "[i]Quand la peur de vieillir rampe tout près"[/i] de vous. On hésite à engager d'autres aventures. Mais voilà, elle n'était pas bien roulée.
Les autres conquêtes a... (9/2/2021) |
| Un peu |
Vincendix : Les mots fous |
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Des mots que l'on n'attendait pas vous surprennent en plein dimanche.
Pourquoi pas un poème ? C'est alors un labeur où creuser le sillon des syllabes et des rimes qu'ils méritent.
Les octosyllabes choisis ici, si elles donnent du rythme, dénotent aussi un certain empressement d'en finir avec eux. C'est mon impression. Eux qui
[i] s’entrechoq... (7/2/2021) |
| Beaucoup ↑ |
Cristale : La fille de l'air |
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Bonsoir Cristale
Absent d’Oniris depuis longtemps pour des raisons difficiles indépendantes de ma volonté, comme tu le sais, je m’essaye à un commentaire avec toute ton indulgence. Ces raisons ne me donnent plus accès au goût des choses qu’au 1° degré.
Or tu as l’art des métaphores lyriques dans lesquelles, une fois comprises, j’ai plaisir à... (2/2/2021) |
| Beaucoup |
Vincent : Les ombres |
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L'ombre est au soleil une preuve d'existence et je trouve votre poème solaire, illuminé par les rayons d'un amour discret et délicat.
Merci (10/11/2018) |
| Beaucoup |
JcJaZz : Soirée africaine |
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Tentative de lexicature :
« glossitaient » = gloussaient en sissitant ? (non ! ça c’est pour les poules, pas pour les moustiques.
« rimougeage » = échange breton ?
« joucaillaient » = jouer avec des cailloux ?
« s’organçaient » = usaient de leurs organes vocaux comme des orgues ?
« s’affrriotaient » = censuré ! :-)
« dossu et chisson » ... (6/9/2018) |
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