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| Beaucoup ↑ |
Vincent : Nos soixante ans |
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Belle voix, joli accompagnement à la guitare, paroles émouvantes,.
Vous avez, Bipol, l'envergure d'un vrai artiste.
Merci pour le partage. (22/5/2021) |
| Beaucoup |
Vasistas : Fine lame |
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Dialogue ou monologue ?
Ces « vers entrecoupés » sont déchirants. N’eut été le « duel », je pense à une envie de suicide de quelqu’un que l’on n’écoute plus ou qui ne s’écoute plus. En cela la construction est intéressante même si elle leste, intentionnellement, la seule lecture des vers impairs à la beauté desquels je suis sensible.
Ce poème ... (20/5/2021) |
| Beaucoup |
Cyrill : Deux trains de vie |
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D’habitude je n’aime pas lire les textes longs sur écran, mes yeux fatiguent, mais celui-ci est parfaitement aéré et ne m’a pas posé de difficultés. J’ai ainsi apprécié les refrains.
Je suis toujours embarrassé pour commenter les textes longs, leur déroulement me fait quelque peu oublier les saveurs de ce qui précède.
Mais j’ai beaucoup aimé c... (19/5/2021) |
| Beaucoup |
ANIMAL : Le chagrin d’Orphée |
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J’ai été très sensible à ce « Chagrin d’Orphée » et au tragique que ce poème développe jusqu’au dernier quatrain où l’utopie est gage d’espérance.
Le nombre de rimes en « ure » aurait pu être une difficulté mais ici chaque mot les utilisant est à sa place. Petite prouesse. J’ai particulièrement aimé « la talure », je suis un peu plus réservé s... (19/5/2021) |
| Beaucoup |
Pouet : Je ne vieillirai pas |
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Une façon très originale de traiter le sentiment de la peur de vieillir. Tant que les draps froissés inspirent de telles images et qu’ « qu’aux fils de l’instant perle un enfant de pluie », on peut penser que l’âme reste dans une éternelle jeunesse. Cependant la nostalgie de « la lampe [qui] achève la lumière » et surtout « lorsque le temps s’a... (15/5/2021) |
| Passionnément ↑ |
Davide : Le fils de l’eau |
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Poème émouvant, délicat et pudique pour l’amour d’un fils à son père en allé en mer. La 3° strophe me semble explicite à ce sujet ainsi que les « nuits diluviennes », affrontant les orages.
« La crainte à jamais que tu ne t’en souviennes » pourrait faire penser à l’horizon plus sombre d’une maladie dégénérative mais le narrateur rêve d’embrasse... (14/5/2021) |
| Beaucoup ↑ |
Malitorne : Altitude |
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J’ai beaucoup aimé. Oui, marcher dans la montagne est salutaire, croyez-en un adepte.
J’ai été sensible à la sobriété et la simplicité du propos ainsi qu’à l’esthétique de la présentation et de la construction de ce poème qui m’aide à atteindre des sommets en poésie et où chaque strophe finit par un seul mot essentiel. « Et partir », « Revivre ... (13/5/2021) |
| Beaucoup ↑ |
domi : L'accordéon retrouvé |
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L’émotion intense se révèle au tout dernier vers. Le connaissant, la relecture du poème trouve tout son sens dans sa fine et délicate sensibilité et l’on comprend les « émois » dès le 1° vers et toute la nostalgie du 1° sizain ainsi que l’intimité avec l’instrument dans le 2nd.
Ce court poème ne se perd pas en conjectures dés lors que l’on arri... (12/5/2021) |
| Beaucoup ↑ |
papipoete : D'hier et maintenant |
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Profonde nostalgie que ces souvenirs d’une maison dont vous auriez pu faire un petit paradis terrestre. Le texte m’interroge : l’avez-vous fait ou auriez-vous aimé le faire avant de la quitter, nourrissant ces rêves merveilleux de « nymphéas d’un bassin » ou de « futurs Carusos » ? Les plus belles images foisonnent.
Je craignais l’épilogue où... (10/5/2021) |
| Beaucoup ↑ |
GiL : Rêverie nocturne |
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Je suis charmé par les images qui déroulent la saison de l’automne et qu’accompagne la lune, astre de la nostalgie, dans les 3 premiers quatrains, et qui revient, nécessaire, conclure le dernier vers.
Des images très tendres m’ont beaucoup touché comme, par exemple, les 2 premières strophes et :
« Les vents froids ont froissé
La robe de l’... (9/5/2021) |
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