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Un peu ↑ |
sigrid : Je voudrais juste dormir ! |
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Les affres de l'insomnie et de son cortège d'angoisses sont bien exprimées. Mais la prosodie relâchée nuit au poème. On n'est pas en classique, je le sais bien, mais l'esthétique garde ses exigences. Il vaut mieux à mon sens carrément du vers libre que cette prosodie claudicante. (2/11/2022) |
Beaucoup |
Phicai : Le mégot |
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Une poésie engagée qui prend tout son sens dans la période que nous traversons : un message qui garde sa dimension poétique, on n'est pas dans un spot télévisé ; une prosopopée du mégot, il fallait y penser. Quelques expressions fortes interpellent de manière saisissante. (2/11/2022) |
Beaucoup |
Lebarde : Les bords de Sarthe |
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L'expression "suivre flotter" me semble un peu étrange. Sinon, "affouillée", "bouillée", on se croirait dans l'univers de Maurice Genevoix. J'aime cette mélancolie paisible et cette célébration de la nature. On pense aussi à Lamartine : "Le deuil de la nature / Convient à ma douleur et plaît à mes regards". Du lyrisme et du bucolique, un mélange... (1/11/2022) |
Bien |
apierre : De la terrasse |
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Il y a des strophes qui se rapprochent du haïku ; ce sont les plus réussies ; comme quoi la forme a son intérêt. D'ailleurs l'ensemble, même quand il n'y pas la forme, a l'esprit du haïku. C'est apaisant. (30/10/2022) |
Un peu |
arigo : De l’eau, du sel, du sable |
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Il y a quelques trouvailles (la plage du matin et du soir par exemple) mais la dernière strophe me semble un peu prosaïque.
Miguel, en EL (28/10/2022) |
Beaucoup |
Yannblev : Tango |
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Ces rimes entrelacées et ces vers courts ont quelque chose de l'harmonie imitative. C'est un tango qui se lit et c'est l'esprit qui danse. Du lyrisme heureux, c'est rare ; ne boudons pas notre plaisir de lire un poème d'amour aussi original. (27/10/2022) |
Bien ↑ |
Cristale : L’ode au phallus |
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Je trouve l'adjectif "joli" faible", non par le sens mais par la sonorité; il ne sonne pas très bien dans le vers. Pour le reste, belle pièce (si j'ose dire). Les vers sont mélodieux et les images, pour audacieuses qu'elles soient, gardent une certaine classe.
Et puis, il y avait urgence à rendre un tel hommage aux mérites de la masculinité, t... (25/10/2022) |
Beaucoup |
Jemabi : Puberté |
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Quel étrange texte ! D'habitude ce style ne me séduit guère, mais il y a ici une série d'inventions qui font mouche. On est surpris à chaque instant, sans que le poème tombe dans l'hermétisme coutumier. Je ne saurais trop dire pourquoi, mais j'aime. Sans doute ce texte a-t-il le fameux "je -ne-sais-quoi" dont parle Boileau, cet élément non-analy... (24/10/2022) |
Beaucoup ↑ |
pieralun : La migraine |
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Mais que n'y ai-je pensé plus tôt ! La migraine, c'est tout à fait ça. La grande volée des dimanches dans la tête, le charme des vraies cloches en moins ! La tonalité humoristique du texte donne à ce dernier une dimension stoïcienne, puisque l'auteur sait prendre quelque distance avec sa douleur. La forme, classique à souhait, ajoute au plaisir ... (24/10/2022) |
Bien ↑ |
Vincent : Au grand bal d'Oniris |
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Cette fraîche peinture d'Oniris présente notre site comme un aperçu de la diversité du monde, la dimension tragique en moins, ce qui est reposant. La petite réserve finale n'est qu'une allusion à nos petites bisbilles et râleries. Le poème nous dit que dur Oniris chacun peut trouver son plaisir. Il y participe. (22/10/2022) |
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