|
|
|
Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
Un peu |
chris : Fuir la ville |
|
Le regard
dérobé dégage une lourdeur figée.
Le gris blessant d'une atmosphère
happe un danger.La perception
d'un bruit ardent entache l'impression
d'une attente.
je ne suis pas emballé par votre texte
sa structure apporte une difficulté à la lecture
les phrases sont sans verbes
je sais que l'on est dans poésie libre, mais bon .... (10/5/2015) |
Bien ↑ |
Arielle : Les chevaux de l'Apocalypse |
|
la première partie de votre texte
est consacrée à l’émanation de ce mirage
que vous avez ressenti en regardant les épures de la grotte
je trouve que votre écriture est trop directe
vous vous contentez de décrire ces chevaux qui s'ébranlent
à la la fin vous revenez à la grotte avec ces ombres qui perdurent
vous auriez pu peu... (8/5/2015) |
Bien |
Pussicat : Vers rivage éveil |
|
je ne sais pas trop quoi dire de votre texte
vous dites que vous l'avez écrit dans une inspiration
et moi je pense que cela se voit
il est à peine compréhensible par moments
mais pour autant il n'est pas surréaliste
je ditrais qu'à la lecture j'ai ressenti quelques émotions
donc j'ai tout juste bien aimé (8/5/2015) |
Beaucoup ↑ |
boudune : C'est comme un rêve |
|
C’est comme un rêve, comme un départ
le décor est planté
La cathédrale bleue qui mord le ciel et tremble son secret de pierres, dans la chaleur.
et les images le son des mots vont se succéder
Est-ce la mort qui les arase, au point qu’on ne les cerne plus ?
cette mort si importante pour le poète
ce fantasme qui le poursuit
... (7/5/2015) |
Beaucoup |
dom1 : Le volet fermé... |
|
Rome a su me parler,
dans sa langue feutrée,
chaleur douce et filets,
de souffles qui balaient.
peut-être que je me trompe mais Rome n'a pas une langue feutrée
tout s'envole à Rome tout décolle la langue l'art
puis vous développez en restant en dedans
malgré tout vous employez de belles images
qui me procurent de belles sen... (7/5/2015) |
Bien ↑ |
Francis : L'estaminet d'Alice |
|
Le soir, ils chopinaient, amarrés au comptoir
Le coude sur le zinc, les yeux dans les étoiles.
Le tabac gris mêlait ses volutes, ses voiles
Aux effluves d’anis, aux reflets du miroir.
votre texte est bien écrit
Dans la douce chaleur du vieil estaminet,
Visage buriné, narines dans la mousse,
Les compères trinquaient à la blonde, à la r... (7/5/2015) |
Beaucoup ↑ |
Fanch : L’idéal de l’âme |
|
Serait-ce de savoir, quand notre corps déchoit,
Que nos actes manqués le restent à jamais
Mais qu’il est toujours temps que les âges pourvoient
A l’idéal de l’âme sans qu’il soit contrefait ?
c'est très juste et si bien dit
je vous rejoins vraiment sur le fond
il vaut mieux prendre des risques
que de regretter lorsqu'on vieilli... (7/5/2015) |
Beaucoup |
Marite : Subtile rêverie |
|
Repoussant sans détour les rêves et chimères
Dans les flots incertains des remous du passé,
Sans regret ni bagage,
Voguer à l'infini au-delà des frontières
En toute liberté puis, revenir, lassé,
Attendre le passage
De l'ultime seconde pour un dernier envol ...
à mon avis le texte tend vers sa chute
et le mirage : notre grand fanta... (6/5/2015) |
Passionnément |
cervantes : Le pourpre et le satin |
|
Toujours onduleront ces frissons de bonheur,
Quand nos yeux fatigués de fausse certitude,
Dénouant au matin les fils de l'habitude,
S’habillaient de satin pour chanter la douceur...
par exemple
une écriture magnifique
des images toutes plus belles les unes que les autres
cet amour dans un écrin de satin
j'ai adoré votre poème (6/5/2015) |
Beaucoup ↑ |
Astras : La deuxième lettre au néant |
|
Tendre est la nuit, et dans sa tendresse,
Elle enfonce les dents jusqu’à l’os de l’espoir
sans bruit,
sans cri,
sans mal.
et
L’impuissance animale…
L’absolu de désirs…
Le vertige de résolutions…
Tendre est la nuit, et elle mâche, elle mâche
la chaire des questions
qu’on ne se posera
jamais.
des images très pertinentes
d... (5/5/2015) |
|
|
|
|
|
|