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Arlet : Souvenirs
Des souvenirs entre rouille et poussière, rien de tel que l'habit poétique pour servir de décapant et leur donner le lustre d'antan. Je me dis que ce ne sont pas les moments vécus mais tout simplement l'enfance qui les a rendus merveilleux. Comme si on voulait que cette enfance reparte en campagne ou que les choses usées jusqu'à la corde...
(8/11/2015)
Un peu
Miguel : Aux bords de la Cadoule
Peu importe que les évocations fleurent le prétexte, elles se situent trop en deçà de la technique poétique maitrisée: c'est comme vouloir tailler un bijou dans une pépite de charbon. La maitrise de l'art poétique ne peut couvrir l'infinie banalité des évocations du narrateur et le charbon même dans son écrin poétique reste trop grossier.
(7/11/2015)
Un peu
mbrandao : Les vivants
La mort a besoin d'images pour raconter son histoire. L'usure et la lassitude l'ont rendue presque translucide par endroits: de l'absence de remède, il ne s'écoule que des récits et des mots, dans une alchimie du temps.Peut-être que la mort nait de ce qui n'a jamais été regardé. Sa matière fruste s'éveille sur des ruines et reprend conscience da...
(6/11/2015)
Un peu
Curwwod : Sérénade
Oh! sérénade quelle chaine effrayante de symboles t'a conduite à ce toit mangé aux mythes qui me suicide docilement ? Me reste plus qu'à cultiver une nostalgie qui a l'éternité devant soi. Elle qui court après un temps révolu et moi qui n'existe nulle part parce que je bute contre ce toit aveugle d'une maison. Qui sait pourquoi cette sérénade ...
(4/11/2015)
Beaucoup
emilia : Petits bonheurs d’été à mettre en cage…
Un poème qui pourrait se confondre avec la terre et rejoindre en elle la douceur accueillante de l'été. Il fallait commencer par observer la nature pour saisir cette harmonie inaccessible vouée au recommencement. S'effacer encore et, de là, non toucher la terre et s'identifier à elle, mais lui donner sa présence, tout entière.En réalité ouvert à...
(3/11/2015)
Bien
Cristale : Si la rose
Si tu t'imagines, Mignonne, Mignonnelette qu'en démontant ces ressorts rouillés, on est capable d'atteindre toutes les virtualités alors Approce toy mignardelette. Fais comme si on avait jamais rien vu, et beauté et laideur n'auront plus aucun sens car le désir de consumer la flamme ne peut plus contenir les civiles fureurs. Votre œuvre sait ...
(3/11/2015)
Beaucoup
Automnale : Chez Madame Antonia
Chez Madame Antonia...Inaugure l'horizon...presque rien...un commencement peut-être. C'est comme un désert qui s'ouvre devant ses yeux, et pourtant il lui est impossible de se tromper. C'est elle qui s'impose d'abord avec l'autorité d'une décision. Il est inutile d'attendre ici qu'un horizon conventionnel se dessine: il sera à balayage vertic...
(2/11/2015)
Beaucoup
Mona79 : Sur une harpe
Les traces de doigts inventent une musique qui palpite. Les notes prises dans l'infime épaisseur des cordes s'échappent pour se fondre dans l'espace.Peu à peu, l'âme décharnée vibre à la mise à nu de l'intime vérité: si la musique existe alors...
(2/11/2015)
Bien
EnnaLiarm : 01:27
Temporiser avec les moyens du bord Du temps froissé et ce temps-là va si loin qu'on ne peut pas nommer ce qu'il traverse. Et cette fois c'est aux premiers insomniaques de la classe qu'on aurait distribué des images parce qu'ils travaillent au rebours de leur temps. Un temps qui n'a pas renoncé à se faire des souvenirs et pour cela il patauge ...
(2/11/2015)
Beaucoup
papipoete : Le clocher sonne
La poésie permet aux voix muettes de se faire entendre: un sommeil enveloppé dans un principe actif, enfermé de toutes parts. L'attente, une masse de silence: ce médicament encombre l'espace. Il est devenu figure de l'intériorité.Il porte ce désir fou de salut mais le clocher hurle comme des sirènes d'ambulance.
(2/11/2015)
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