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Beaucoup |
roots : Requiem |
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Certains vers dégagent une très belle élégance :
"L'automne a dévêtu les âmes et les champs"
"Un jour sans lendemain qui jamais ne s'achève"
"L'adieu des rayons d'or au grand peuplier jaune".
J'ai souri en lisant "Murmurent çà et là: Désespoir, tu m'accueilles ?", ce qui n'était pas nécessairement l'effet recherché.
Le "vent mauvais" se... (29/5/2013) |
Bien ↑ |
jeremiahjohnson : L'amour de l'art |
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Originaux, ces doubles octosyllabes ; le rythme, malgré (ou à cause de) la quasi-absence de ponctuation, est très dansant.
J’aime en particulier le rythme de ce vers : « Qu'à mes oreilles sonnent les voix et qu'en cadence dansent les corps », car les « e » ainsi placés de « oreilles » et « cadence » (ainsi que la répétition du son « cadence »... (29/5/2013) |
Bien |
Empty-Tankard : Se libérera mon dernier souffle |
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De jolies trouvailles dans ce poème :
« Fragile comme un papier qui brûle
Sans un bruit pour le plaindre »
« Ton corps étendu sous moi
Adoubera mes mains »
« Nous irons voler la nuit aux dieux ».
D’autres passages sont plus convenus : les prairies blanches du paradis, la brise légère, légère comme la plume.
La répétition « souffle » /... (23/5/2013) |
Un peu |
Charivari : Leçon d'anatomie |
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Un texte long, empli de répétitions et maladresses … mais qui transcrit assez bien, me semble-t-il, cet état fébrile et ‘entre deux’ dans lequel on se situe à l’adolescence.
Le rythme est appréciable, les hexasyllabes coulent plutôt bien, sauf lorsqu’ils sont truffés de répétitions.
Le mot cœur revient 14 fois, beaucoup trop pesant à certa... (16/5/2013) |
Bien ↑ |
Pouet : Cité du dragon vert |
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C'est un poème doux-amer, tissé d'images fortes où se dessine un deuil, une tristesse profonde.
Le rythme est fluide et gracieux, par deux fois saccadé avec à-propos.
J'aime particulièrement le "flocon de rire" et "Un escalier de lierre aux rampes de fumée verte" (le dragon, à n'en pas douter).
J'ai moins accroché en revanche avec le "s... (15/5/2013) |
Pas |
tchouang : Cristal apparenté |
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J'ai peut-être tort de chercher un sens à ce texte, mais je fais partie de ces lecteurs qui ne peuvent s'en empêcher.
Hélas, je n'en trouve aucun dans cette suite de mots qui semblent juxtaposés au petit bonheur, peut-être pour créer une sorte d'imagerie aléatoire ?
Pourquoi pas ... mais pour ma part je n'adhère pas du tout.
De plus les... (14/5/2013) |
Beaucoup ↑ |
papipoete : Au fil de l'onde |
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Voilà un ravissant voyage en délicieux hexasyllabes !
Le rythme est fluide et chantant, le poème savoureusement imagé.
Le vocabulaire est riche, j'ai appris au passage à connaître le myrtil, les augets, éfaufiler ... et cette commune de Blois dont je ne connaissais que l'homonyme.
Le troisième quatrain est mon préféré.
Bref, beaucou... (14/5/2013) |
Bien ↓ |
Pouet : Gare de l'Ouest |
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Je suis venue lire plusieurs fois avant de me décider à commenter, car je n'accroche pas avec l'image des "colliers d'yeux", un peu glauque à mon goût - mais j'ai choisi de passer outre, que diantre ! et j'ai fini par apprécier l'atmosphère assez particulière de ce poème.
Que de tristesse en effet dans cette gare (ni du Nord ni de l'Est) que ... (14/5/2013) |
Bien ↓ |
WildPath : Petit torrent salé |
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Originale, cette forme en 4+2+1.
J’ai bien aimé ce voyage au fil des circonstances et des moments de vie, sous forme d’exhortation, s'achevant en final lyrique.
L’ensemble est plutôt fluide et bien imagé.
Mes vers préférés :
« Inspire l'innocence aux apprentis sourciers. »
« Rejoins le fleuve aisé loin des malentendus. »
« Jaillis du plu... (10/5/2013) |
Beaucoup |
placebo : Au cinéma... |
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J’aime beaucoup ces hexasyllabes, fluides et rythmés, qui racontent leur histoire par petites touches impressionnistes.
L’expression est imagée mais sobre, et pourtant, beaucoup d’émotion passe entre les lignes.
Une voiture … et le film s’arrête.
Court mais réussi, pour moi. (7/5/2013) |
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