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Un peu |
LioText : Navire d'imagination |
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Je trouve plutôt fade les images des derniers vers de chaque strophe. Elles amoindrissent les sizains alors qu'elles devraient leur donner de la couleur.
(papillons nouveaux - monde tout beau - poussent sur l'eau - âmes perdues en haut) c'est bien plat.
D'autant qu'il y a déjà la reprise de vers à chaque paragraphe.
C'est le dernier sizain qu... (8/7/2016) |
Beaucoup |
Zefhyr : Sa main dans mon dos |
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Il y a de l'ambigüité morale et subtile dans ce texte, jusqu'au choc de la dernière strophe.
Pudeur pour désigner le crime, pudeur pour exprimer l'indicible de la douleur "abominable" du souvenir.
La force de ce texte est dans la retenue, dans ce langage qui désigne la dérive de la tendresse paternelle vers l'acte inqualifiable. (6/7/2016) |
Beaucoup |
Marite : Errance en bord de mer |
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C'est descriptif mais évocateur. La structure 12/6 est intéressante par le rythme qu'elle imprime à la lecture et à l'oralité. Le piège des rimes est évité dans un poème contemporain qui s'apparente à du libre.
"Une île d'a côté est devenue fantôme" On voit bien l'image. (6/7/2016) |
Beaucoup |
Curwwod : Épilogue… |
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Un très bon texte néo qui a su faire preuve d'originalité sur un thème rebattu: La séparation.
Le vision sur ce sentiment de jalousie, sur cette perte de l'amour éternelle est amené avec précaution, discrètement, sans trop en faire, tout en portant le regard sur ce qui a précédé. Et c'est tout cela que j'ai apprécié à la lecture de ce poème. (4/7/2016) |
Bien ↑ |
madawaza : Il pleut |
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La déclinaison du thème intéressante et le parti pris de la conjugaison sur un verbe qui ne supporte en général que le "il" offre une originalité bien développée. J'aime bien la simplicité de la composition, répétitive mais jamais ennuyeuse. Finalement, on retrouve ici l'auteur de chanson. (2/7/2016) |
Bien ↑ |
Synopz : Un coup |
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Je n'aime pas votre titre qui ne résume pas votre bon poème.
Une écriture originale qui fait que l'on s'attarde sans déplaisir sur ce texte fort.
Pour un libre pratiquement non ponctué, je regrette les majuscules au début de renvois de phrases comme à:
"Tant que ton corps ne sera pas lacéré là
Il volera de plein d'histoires"
Puisque... (2/7/2016) |
Beaucoup |
hersen : J'ai vu le vent |
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Ce vent qui a poussé le monde devant vous, on le sent, on le voit, on le perçoit tout au long du poème. Vent enchanteur, vent sec, vent enjôleur ou vigoureux, tous ces aspects sont présentés dans une poétique à la fois efficace et parlante.
Une sensation que vous avez réussi à me faire partager. (1/7/2016) |
Beaucoup ↓ |
Solstitium : Louise |
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Une belle déclaration pour ce qui semble être un amour perdu. Le ton évite heureusement l'emphase excessive.
Le quatrième et le cinquième quatrain ont ma préférence, mais ce poème est un ensemble que j'ai apprécié de découvrir.
Un des vers qui me plaît.
"J'ai cru que tu pouvais faire inonder Venise,"
Avec un peu de recherche vous auriez... (29/6/2016) |
Beaucoup |
LenineBosquet : Le bon G |
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J'aime bien ce langage et son ironie distanciée.
Pas bien compris ce qu'il y a de spécifique aux gones mais probablement un aspect régional qui m'échappe.
En tout cas, il y a de la vivacité et une écriture alerte.
Plutôt que engoncé, j'aurais mis enfoncé qui me paraît plus juste "vocabulairement" parlant. Engoncé c'est pris dans quelque ch... (28/6/2016) |
Beaucoup ↑ |
troupi : La côte des squelettes |
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Même sans connaître ce lieu on entre dans ce poème progressivement et petit à petit on est pris par cet environnement que vous restituez par de belles images métaphoriques qui demeurent cependant très concrètes pour nous faire apprécier l'endroit. Je ressens comme une rêverie qui plonge ses racines aux débuts du monde.
Merci pour ce superbe tex... (27/6/2016) |
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