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| Beaucoup ↓ |
Raoul : Des mufles doux |
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Un texte à lire comme une peinture cubiste qui déforme les images pour mieux saisir la réalité, tels les visages et les objets de certains tableaux de Malevitch ou de Léger.
Le lecteur, comme l'observateur, doit s'y plonger pour retrouver sous l'agencement des métaphores la vision alternative du poète retranscrite par un puzzle de pièces désass... (4/6/2022) |
| Beaucoup |
hersen : Losanges orange |
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Le narrateur observe un paysage, peut-être est-il artiste peintre, un regard impressionniste sur un village avec des formes et des couleurs. C'est une vision transformée en tableau géométrique et aplats de teintes chaudes.
J'ai bien aimé. (24/5/2022) |
| Beaucoup |
chacalchabraque : As de pic |
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Il n'est pas toujours facile de jouer avec les mots. Bien des auteurs croient qu'il suffit de "calembourder" pour s'amuser à poétiser, rares sont ceux qui sortent avec bonheur de l'exercice. Votre texte lui réussit parfaitement à conférer à ce poème une véritable qualité poétique; certainement parce que les trouvailles ne sont pas téléphonées et... (23/5/2022) |
| Un peu ↑ |
Cristale : L'éphémère |
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Je reconnais une certaine élégance à l'écriture, alléchante pour l'amateur inconditionnel de classique. Mais ce texte, sur le fond, nous sert quand même une série d'évidences et de métaphores convenues.
Entre autres:
"Eternel azur
l’horizon pareil à celui de l’automne
le temps du sablier s’effrite (22/5/2022) |
| Beaucoup |
Vincent : Vingt ans en Algérie |
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J'ai apprécié la lecture de ce texte nuancé, tolérant et sage.
Il explique bien le vécu de ces jeunes appelés "pour maintenir l'ordre" mais qui furent en fait engagé dans une véritable guerre. (16/5/2022) |
| Bien |
Miguel : Par ce don fraternel |
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Même si ce type de poème de contrition n'est pas ma tasse de thé je reconnais à cette flagellation la puissance de la conviction. Aprés, c'est une question de foi sur laquelle je ne me prononcerai pas laissant le narrateur à sa foi en une rédemption qu'il semble espérer au final de sa longue confession.
Je trouve dans la composition forte de ce... (7/5/2022) |
| Passionnément ↓ |
wancyrs : Le feu |
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J'ai longtemps hésité à déposer un commentaire sous ce texte déroutant mais dont je dois dire qu'il m'avait attiré. Alors je me suis posé la question : Est-il nécessaire de tout comprendre pour apprécier une poésie. L'art ne réside-t-il pas aussi dans la part d'énigmatique et de non intelligible lorsqu'il a la force et l'expression imagée telle ... (3/5/2022) |
| Beaucoup |
Quidonc : Invasion |
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Un texte dont l'écriture et le thème ne m'ont pas laissé indifférent, notamment dans le rapport que l'on peut faire avec l'actualité de ces premiers mois de 2022.
Les verts courts en forme de haïkus créent des images réalistes mais néanmoins poétiques dans leur intensité; comme une succession de diapositives qui, aprés les deux premières stroph... (30/4/2022) |
| Beaucoup |
Cyrill : Celui qui passait |
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Comment j'ai lu ce texte:
L'impression d'un homme qui veut se la jouer au pays des caïds. Le texte nous conduit dans un lieu ou la brutalité l'emporte sur la loi, ou il faut être fort pour s'affirmer. Ici, il faut naviguer entre la pègre et la police avec ses envies et ses peurs, pour exister.
Le texte est d'une force qui emporte le lecteur en... (30/4/2022) |
| Beaucoup |
Lebarde : La paresse |
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Loin d'être un défaut ou un vice, la paresse peut être un art de vivre. Paresser c'est prendre le temps de ne rien faire. J'aime ces moments ou on laisse couler les heures en oubliant même que l'on ne fait rien.
Merci pour nous l'avoir joliment rappeler dans ce sonnet nonchalant mais bien conduit avec le tercet final qui exprime bien ce plaisir... (26/4/2022) |
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