Voici le début d'un recueil. Retient-il l'attention malgré son caractère hétéroclite sinon éclectique ? Il s'intègre dans un ensemble appelé Le code Arthur Rimbaud. C'est un jeu de pistes où la farce n'est jamais loin.
La naïveté est un bijou précieux qu'il faut garder toute sa vie.
Dans l’esprit de « If », de R. Kipling.
La vie d'un mot, de sa naissance à sa mort.
Affleure la folle farandole des affres ardentesqui déflore avec fièvre l'âme et les sentiments…
Peut-être que parfois le poète ressemble à un rêveur perdu dans une époque qui n'est pas la sienne.
Oubli.
Une poésie sur les amours passées et perdues.
Humble hommage au grand Charles, mais avec fin heureuse.
Les yeux en croix, le cœur brisé, le bruit et la fureur.
Quand la nostalgie de l'enfance rencontre l'anxiété liée au changement climatique…
« Le Menhir » est le nom d'un voilier.Le texte un clin d'œil à notre amie C.L.
Le retour avant sa mort.
Sur l'image L'oiseau (Myndie).
Texte inspiré par l'image de poldutor : http://www.oniris.be/modules/myalbum/photo.php?lid=%201623Oui, mais si les chaussons étaient séparés ? C'est cette idée qui a inspiré la forme du poème.
Inspiration image n° 1, L'étoile c'est par là. (Jean-Claude)Après repérage géographique et infos de l'actualité du lieu.Meilleur boulanger – forcené retranché – ferme-école – départements limitrophes – fleuve (ici rivière) – concert, etc.
Deux petits chaussons (poldutor)