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Passionnément |
Damy : Ostende |
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Magnifique contraste entre l'âpreté des décors ( ombres des quais, grognaient, mer blafarde) et la fragilité de cette fille (tendresse au cou, fragile, elle osait ). L'émotion est là, la pudeur aussi. Une belle plume qui transforme un fait d'hiver en pépites d'amour.
Merci pour ce partage. (8/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
margueritec : Écaillures |
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Plume ou pinceau ont jonglé avec les couleurs pour atteindre parfois un bouquet exotique ou érotique. Les mots se bousculent, se cognent comme pressés de vivre, d'éclore. L'ensemble est rythmé, ciselé. J'ai aimé. (7/4/2015) |
Beaucoup |
Bleuterre : Liqueur |
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espace temps intermédiaire entre la nuit et l'aurore, entre le rêve et le réel, le charnel et la pensée. Un souffle court mais très poétisé. (6/4/2015) |
Beaucoup |
Vincent : Le collier d'émotions |
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Quelle douceur ! Un crépuscule qui m'a emmené au jardin de la poésie. Un regard plein de tendresse posé sur un être aimé. On entend palpiter son cœur. J'aime ces quelques notes de piano qui rythment la fuite du temps, l'arrivée de la nuit qui efface les ombres. (3/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
Annedesr : Présence invisible |
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J'ai ressenti une réelle émotion en lisant ces vers. La quête d'un signe, d'une présence nous entraîne dans de belles images : " larme sur un pétale de fleur, l'aile noire d'un papillon, fumée d'encens s'exhalant de la terre, prière des blés juste dorés..." Beaucoup de pudeur pour exprimer cette souffrance ! Et puis" la plume", l'écriture est là... (1/4/2015) |
Beaucoup |
passager : Désespoir solitaire |
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les sens s'engourdissent peu à peu : silence, sans rien voir, voix captive ... Un repli sur soi, un retour à la position fœtale. Les décors sont nus, froids et la solitude est douloureuse. J'ai envie de pousser cette porte en bois épais et de susurrer à votre oreille : " votre poésie brise cette solitude, ce désespoir. Écrivez encore ! " (31/3/2015) |
Beaucoup ↑ |
Purana : La mariée du palmier |
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"Auprès de mon arbre, je vivais heureux..." Oui, on a tous là-bas, dans notre enfance,dans notre village natal un palmier, un pommier qui nous attend. Ce palmier est ici personnifié ( il chantonne, il gémit, il ouvre sa poitrine, il danse). Il a une âme.C'est un ancêtre ! Beaucoup de douceur dans le cœur du poète ! (30/3/2015) |
Beaucoup |
Arlet : Elle dit |
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Un monologue dépourvu d'artifices, simple et poétique. Même pauvre, elle est riche de sa sensibilité, de son passé. J'aime les sourires des enfants, son espoir, son utopie, sa larme pudiquement cachée. Et les autres indifférents parfois, que disent-ils ? (28/3/2015) |
Beaucoup ↑ |
bonjour : L'enfant do |
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Une symphonie du bonheur au diapason du sourire d'un enfant. Une musique intemporelle (clavecin), universelle (le tam-tam de l'oncle Tom). Un jour le petit Lucas découvrira que la musique accompagne les chasseurs quand sonne l'hallali. Il apprendra aussi qu'une blanche vaut deux noires ! J'aime cette partition, cet hymne à la douceur, à la vie. (26/3/2015) |
Beaucoup ↑ |
Curwwod : Statue équestre |
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Une très belle plume ! Calliope, Clio et Euterpe vous ont visité !
J'aime beaucoup le dernier tercet qui donne une certaine lucidité, une certaine fragilité à l'héroïne. (25/3/2015) |
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