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Beaucoup |
Arielle : Aux quatre vents |
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Comme une statue qui cache une face inachevée (ronde-bosse).
Comme un fil ombilical invisible mais présent (ta créature) et coupé (ciseau).
Comme un vide, un désert (sable de ton absence).
J'aime également l'opposition entre l'étui, la gaine qui retient prisonnière du passé la créature et, la liberté octroyée au modèle. (1/7/2014) |
Beaucoup |
Myndie : Strasbourg |
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Fleuve frontière, fleuve altier, fleuve miroir, rivière de diamants dans un écrin de mots ciselés ! (30/6/2014) |
Beaucoup |
margueritec : Ascétique lumière |
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Le temps d'un poème, j'ai retrouvé la beauté du commencement (les temps originels) dans le désert, la forêt, l'océan, la pierre. J'étais indien d'Amazonie, inuit, touareg... Aurore ou crépuscule ouvraient mes paupières sur l'infini, sur le temps. (28/6/2014) |
Beaucoup |
Arielle : Un doigt d'éternité |
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Petite musique de nuit, sensuelle, évocatrice dont chaque note est un mot posé délicatement sur la portée. (28/6/2014) |
Passionnément |
Edgard : Arrête Marilyn |
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La fleur des champs ne peut pas vivre dans un soliflore ! C'est un coquelicot fragile ! Ces vers, j'avais envie de les fredonner, une larme au coin de l’œil. Merci pour ce partage si bien écrit. (28/6/2014) |
Beaucoup |
Fanch : La vie d'en ville |
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la ville et ses passants, le pas pressé . La ville et ses néons, ses vitrines. La ville et son univers chimérique du paraître, de l'avoir.
La ville et ses contrastes d'ombres et de lumière...
Des images que j'ai rencontrées sous ces vers . (26/6/2014) |
Beaucoup |
Miguel : Je l'eusse cru du roi |
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L'alexandrin au service d'une belle poésie qui se lit comme une fable.
La construction du texte rend la lecture agréable jusqu'à la chute. (18/6/2014) |
Beaucoup |
irisdenuit : Un signe de mon père |
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Sous la plume, les mots traduisent pudiquement le grand vide ressenti et l'espoir d'un signe qui briserait la peur du néant.
Voilà dix ans déjà que je partage les sentiments que ce poème ravive. (17/6/2014) |
Bien |
MissNode : Mimodrame |
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L'amour comme une comédie légère ! L'attente ou la recherche du prince charmant se décline en tercets frais comme des pétales d'églantine. (12/6/2014) |
Bien |
Lucioles : Lettre à mon père |
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Le lecteur est touché par la sincérité, la simplicité des mots qui sortent d'un cœur blessé. Nul besoin de subjonctif imparfait pour traiter le sujet ! (12/6/2014) |
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